Hey!!!! Je suis de retour après cette longue absence. Mes partiels ne sont pas tut à fait finis mais comme je n'en ai que trios cette semaine j'ai eu un peu de temps pour écrire et voilà le résultat. Oui bon je sais ce n'est pas fameux mais ce chapitre était nécessaire pour faire avancer l'histoire et moi je bloquais dessu depuis très longtemps alors je suis plutôt contente de l'avoir (enfin) terminé. Je m'excuse à l'avance pour sa qulité moyenne voire très basse et je vous promet que je ferais mieux la prochaine fois (et das la mesure du possible plus vite). Je vous souhaite une bonne lecture. Chapitre 5 :
« Blaise je t’en prie ! Dis moi !!! S’il te plaît ! -Je t’ai déjà dit que ça ne dépendait pas que de moi. Je ne suis pas le seul impliqué et je ne me sens pas le droit de te raconter ça sans leur demander leur avis avant. Me répond mon ami en relevant à peine le nez du magazine qu’il feuillette.
-Je te donnerai du nutella (1). Je sais que tu trouves qu’il n’y en a jamais assez à la cantine.
-Attention Drake on ne plaisante pas avec le nutella ! Et puis si tu crois que je vais flancher pour une vulgaire pâte à tartiner, tu me connais bien mal. (NdA : je trouve que Blaise a une résistance à la corruption qui impose le respect^^, franchement qui peut résister de la sorte quand Draco Malfoy en personne offre du nutella ? Enfin bref, ce n’est pas vraiment le sujet qui nous intéresse.) »
Je laisse mon front rejoindre la table en signe d’impuissance et de frustration. Cela doit bien faire deux heures (sans compter le petit déjeuner) que tente de convaincre Blaise de me raconter son histoire avec Weasley. J’ai tout essayé : la gentillesse, la politesse, le charme, les menaces et la corruption. Tout. Et rien n’a fonctionné, même mon attaque spéciale « neunoeil de cocker » a été un fiasco (et pourtant c’est une technique qui a fait ses preuves par le passé).
« Mais pourquoi tu tiens tellement à savoir ? me demande Blaise-je-suis-et-resterai-muet-comme-une-carpe-Zabini.
-Parce que tu es mon ami et qu’on est censé tout se dire. Or il se trouve que tu as préféré garder pour toi le fait que tu avais un petit ami et que c’était en plus quelque chose de très sérieux. Alors il est normal que je veuille savoir comment tout ça a commencé et pourquoi tu n’as pas jugé bon de nous mettre au courant. »
L’autre raison c’est qu’avec tous les mystères qui m’entourent en ce moment, j’espérais vraiment avoir la réponse à au moins l’un d’entre eux. J’en ai marre moi des suicides neuronaux ! D’ailleurs pourquoi faut-il qu’ils arrivent tous en même temps ? Ils auraient pas pu répartir les grandes révélations de manière un peu plus homogène tout au long de l’année ? Comme ça mon pauvre cerveau aurait pu récupérer un peu avant de regriller et j’aurais moins de matière grise à reconstituer à la fois.
« Ecoute Drake, je suis vraiment désolé de ne rien t’avoir dit à propos de mon couple mais je ne pouvais pas le faire sans te mentir alors j’ai préféré faire comme si de rien n’était en commun accord avec Ron.
-Franchement Blaise, qu’est-ce qui peut être si inavouable dans votre rencontre pour que tu ne puisses pas en parler même à tes meilleurs amis ?
-Je t’ai déjà dit que…
-Oui oui je sais, ça ne concerne pas que toi et bla bla bla. Mais tu comprendras aussi que je me sente blessé de ne pas avoir été mis au courant. Tu ne peux vraiment rien me dire ? Même pas en censurant certains passages ?
-Je suis désolé Drake.
-Ouais tu peux. (même la culpabilité ne marche pas sur ce mec, s’est un roque !) Tu voudrais pas te faire pardonner en me donnant quelques tuyaux pour ce soir ? Du genre qui sera présent ce soir à la petite réunion de ta moitié. Ou encore ce qui m’attend quand je débarquerai au rendez-vous.
-Ron m’a fait promettre de ne rien dire. Répond Blaise avec un air ennuyé.
-Rah mais c’est pas vrai ! Il te mène à la baguette le rouquin ! -Hum si on veut. En tout cas il m’a promis qu’il ne s’occuperait plus de la mienne si je disais quoi que ce soit. (il est fort le Ronny dommage que j’ai pas ce moyen de pression moi)
-Oulà dur. Bon est-ce qu’au moins tu pourrais me donner quelque tuyau sur les trucs à dire et à éviter ?
-Ça je dois pouvoir. Alors le premier conseil que je te donnerai c’est de ne pas faire ces charmantes et sarcastiques plaisanteries dont tu as le secret, tout le monde n’est pas forcément aussi ouvert d’esprit que Pansy et moi.
-Quoi, c’est pas drôle ?
-Disons que quand on n’est pas habitué, ça peu être vexant.
-Je vois. Quoi d’autre ?
-Reste cool même si ce que tu entends ne te plaît pas. Personne n’apprécie jamais qu’on lui gueule dessus.
-Je devrais pouvoir y arriver. Autre chose ?
-Là je ne vois pas, mais si quelque chose me vient à l’esprit pendant la journée, je te dirai. En attendant si tu voulais bien me laisser lire ma revue tranquille ça me ferait des vacances. »
Je prends un air outré mais il ne fait déjà plus attention à moi. Je n’ai plus qu’à m’occuper en attendant la reprise des cours et je ne vois vraiment pas ce que je pourrais bien faire. J’ai déjà fait à Pansy le coup du « OUIN ! Blaise et méchant avec moi ! » ce matin et je penses que si l’idée me prenait de recommencer elle le vivrait plutôt mal (et ma joue aussi parce qu’elle m’a promis une belle baffe si je venais encore l’empêcher de finir son devoir de philo).
Je me décide donc à aller glander prés de ma salle de cours (tant qu’à rien faire autant que ce soit là bas au moins je serais à l’heure) quand le si agréable son de l’annonce par micro se fait entendre.
Dung dung dong (NdA : je sais que là ça ressemble pas à grand-chose mais faites marcher votre imagination vous devez bien avoir déjà entendu dans votre vie un truc dans le genre ne serait-ce qu’à la sncf ou dans le métro^^)
« Mr Draco Malfoy est demandé dans le bureau du directeur. Je répète Mr Draco Malfoy est demandé dans le bureau du directeur. »
Tien on dirai bien que ce cher Dumby vient de me trouver une occupation. Blaise relève le nez de sa revue et me regarde avec un air interrogatif.
« Je ne savais pas qu’il était là. Il n’est pas censé être à une conférence en France ?
-Il faut croire qu’il est rentré plus tôt que prévu.
-Tu as une idée de ce qu’il peut te vouloir ? Ça doit quand même être important pour qu’il te demande dés son retour.
-Je ne vois pas ce que ça peut être, il a peut-être entendu parler de cette histoire avec Finch-Fletchey, je crois qu’il se sent un peu le devoir de me servir de figure parentale depuis que je ne peux plus vraiment compter sur mes très chers géniteurs.
-Tu risques d’avoir droit à un bon sermon si c’est le cas.
-Tant qu’il ne me fait pas un cours d’éducation sexuelle, je peux tout endurer. On se voit en cours. »
Je m’éloigne alors accompagné par l’éclat de rire de mon ami. Cet appel tombe vraiment à point, non seulement il me fournit de quoi combler mon temps libre mais en plus je dois bien avouer que je suis bien content de revoir le vieux fou qui nous sert de directeur. Eh oui malgré toute la bizarrerie du personnage, j’ai fini par m’attacher à lui, c’est grâce à lui et à sa protection que des élèves comme Pansy ou moi peuvent mener une vie normale. Cela doit bien faire trois semaines qu’on ne l’a pas vu avec tous les séminaires et conférences auxquels il doit participer et il commencer à manquer à tout le monde, McGonnagall étant bien moins drôle que Dumbledore.
C’est donc dans cet état d’esprit que je me retrouve bien vite devant le bureau du directeur prêt à entamer une de ces conversations sans queue ni tête dont il a le secret.
J’ai déjà la main sur la poignée de la porte quand un grand cri me fige littéralement sur place. Une grosse dispute a lieu dans le bureau où je n’ose plus entrer pour le moment. Je ne bouge pas d’un poil de peur de me faire repérer.
« Vous ne pouvez me faire ça Professeur !!! Vous m’aviez promis que tout serait réglé à votre retour ! »
Je me glace en reconnaissant la voix de Potter. Il a l’air bouleversé et au bord de la crise de nerf et moi je sens que mes neurones vont encore ne prendre un sale coup si je reste ici. Je vais m’éloigner d’ici et attendre bien sagement qu’ils aient fini, comme ça je garderai ma pleine capacité de réflexion…
« Harry, tu dois bien comprendre que j’ai fait tout ce que j’ai pu mais…
-Eh bien ce n’était apparemment pas assez ! »
Je reste finalement cloué sur place. Comment Potter peut-il parler comme ça à son proviseur ? Même moi dans mes grands jours je n’oserais pas. Qu’est-ce qui peut bien justifier un tel accès de colère ? Je vais rester écouter un peu finalement (eh oui la curiosité est plus forte que la préservation de ma matière grise…pour ce qu’il en reste de toue façon…).
« Harry je t’en pris, calme toi. Tu ne feras pas évoluer les choses en te mettant dans tous tes états de la sorte.
-Il vaut mieux que ce soit maintenant que plus tard, croyez moi.
-Je te promets que je vais arranger tout ça très vite. Cette histoire ne peut pas durer éternellement.
-Professeur, évitez de faire des promesses que vous ne pourrez pas tenir, c’est mauvais pour mon moral. Vous n’arriverez à rien avec la méthode que vous avez choisie, cependant je pense que vous avez raison sur un point, ça ne va pas durer éternellement.
-Que veux-tu dire ?
-Qu’à ce rythme là je ne vais pas tarder à en finir d’une manière ou d’une autre.
-Harry, il serait peut-être plus sage que tu arrêtes tout ça maintenant. Je vois bien que tu n’en peux plus. Tout le monde comprendrait, nous pensons d’ailleurs que cela fait longtemps que nous aurions du te demander de mettre un terme à toute cette histoire.
-C’est hors de question ! Vous ne pouvez pas me demander une chose pareille ! J’ai travaillé trop dur pour en arriver là et je ne laisserai à personne la tâche de finir ce que j’ai commencé. De plus vous savez parfaitement que même si je voulais, je ne pourrais pas, cela rendrait la situation encore plus compliquée et tendue qu’elle ne l’est déjà.
-Et toi tu sais parfaitement que si tu le demandais nous pourrions prendre des dispositions.
-Je ne peux pas arrêter maintenant, il y a trop de choses en jeu surtout maintenant.
-Harry, nous t’avons déjà dit que ce n’était pas ton rôle de…
-Je sais mais quand je fais une bêtise, je la répare. De toute façon, même si je n’avais pas fait une telle erreur, j’aurais fait tout mon possible.
-Je me doutais bien que tu réagirais comme ça mais j’ai toujours l’espoir que tu changes d’avis. Dans tous les cas, soit très prudent.
-Ne vous en faites pas, j’ai toujours pris toutes les précautions nécessaires. Si vous n’avez rien de plus à me dire, je vais aller en cours, il ne faudrait pas que j’arrive à nouveau en retard en physique chimie, Rogue ne me le pardonnerait pas. »
Comme si je venais de décharge électrique, je m’éloigne de la porte où je m’étais collé pour écouter cette conversation et me précipite sur un des fauteuils en plastiques de la mini salle d’attente qui jouxte le bureau directorial. Je pense qu’il vaut mieux pour moi que personne ne sache que j’ai passé les dix dernières minutes à laisser traîner mes oreilles là où je n’aurais pas dû.
Je ne comprends strictement rien à ce que je viens d’entendre. Potter aurait un rôle à jouer quelque part ? Qu’est-ce que ça peut bien être toute cette histoire ? Rhhaaaaa !!! Maudite curiosité ! Tout aurait été bien plus simple si j’avais tout simplement attendu mon tour, mais non il a fallu que je joue les espions et que je rajoute encore quelque chose à la liste des mystères entourant Harry Potter ! Dire que je vais encore me prendre la tête sur ça toute la journée alors que j’aurais tout simplement pu me soucier de ce que Weasley me prépare pour ce soir.
Tout à mes réflexions, je n’ai pas remarqué que Potter a quitté le bureau de Dumby et que ce dernier se tient sur le pas de sa porte, attendant visiblement que je m’intéresse à lui.
« Eh bien Draco, quel sujet passionnant a-t-il le mérite de te plonger dans tes pensées de la sorte ?
-Hein ? (quelle réponse pleine d’esprit, il faut vraiment que je prenne le temps de soigner correctement mes pauvres neurones).
-Et si tu entrais que nous puissions parler de tout ça ? »
Je ne répond rien et me contente de me lever pour entrer dans la pièce qui ressemble plus à un salon qu’au bureau du proviseur d’un lycée.
« Alors, qu’est-ce qui accaparait à ce point ton attention ? me demande-t-il avec un sourire bienveillant. Si c’est un garçon, je te préviens tout de suite que tu n’en sortira pas aussi bien que la dernière fois si jamais on te retrouve encore à moitié nu avec lui dans une salle de classe vide.
-Je vois qu’on vous a mis au courant de cette histoire. Je répond pas plus gêné que ça. Ne vous inquiétez pas, je ne compte pas renouveler l’expérience, les résultats sont plutôt mauvais dans l’ensemble (ça c’est le moins qu’on puisse dire quand on perd en à peine une heure son copain, sa crédibilité auprès des professeurs et le peu d’autorité qu’on pouvait avoir sur ses amis).
-Je suis ravi de l’apprendre. Je peux donc passer au sujet de ta convocation dans mon bureau.
-Oh, ce n’était pas pour me parler de mon comportement indigne alors ?
-Non, les autres professeurs ont dû faire ça bien mieux que moi et puis je considère que tu es assez vieux pour décider de tes actes et en assumer la responsabilité ensuite.
-Ouf je suis rassuré, j’avais peur que vous ayez décidé de me faire tout un sermon sur la sexualité et tout ce qui va avec.
-Malheureusement, je n’ai rien de si amusant à mon programme. Répond-t-il d’un air soudain abattu.
-J’ai comme l’impression que je ne vais pas aimer les prochaines minutes. Je me trompe ?
-J’aimerais pouvoir te dire oui.
-Ok. Bon alors ne faites pas durer le suspens, qu’est-ce qui se passe ? (Je sens venir le pire)
-Le procès de ton père va passer en appel, il va falloir que tu retournes témoigner. »
Je reçois cette nouvelle comme un boulet de canon. Mes jambes refusent de me porter plus longtemps et je me laisse tomber dans un fauteuil. Ce n’est pas possible, toute cette merde ne va pas recommencer.
« Je croyais pourtant qu’on en avait fini et qu’il n’y avait pas matière à revenir sur cette affaire.
-Il faut croire que l’avocat de Lucius mérite son salaire. Le plus important à partir de maintenant c’est de garantir ta sécurité. Les mangemorts vont tout faire pour que cette fois tu ne puisses pas témoigner, tu ne dois leur donner aucune occasion de s’en prendre à toi. Je vais donc devoir te demander d’arrêter le bénévolat, le professeur Lupin a déjà été mis au courant de la situation. Tu vas aussi devoir limiter ton nombre de sorties et quand tu quitteras l’enceinte de l’établissement, tu devras toujours être accompagné. -Putain, c’est lui le criminel ! Pourquoi c’est moi qui me retrouve privé de liberté ?
-Draco, tu dois bien comprendre qu’en ce moment tu es l’homme à abattre pour Voldemort. Ton père est l’un de ses hommes de main les plus important et il ne va pas s’en laisser priver comme ça.
-Je sais mais vous comprendrez que je ne saute pas au plafond en apprenant que les rares sorties auxquelles je vais avoir droit seront chaperonnées. Et puis je me souviens aussi que les journaux n’ont pas été tendres avec moi la dernière fois. J’ai été traité de tous les noms parce que l’étiquette « meurtrier » ne collait pas avec sa bonne réputation.
-Cette fois ce sera différent, Lucius a déjà été reconnu coupable une fois et sa réputation n’a plus rien de bon.
-Et quand est-ce que le procès aura lieu ?
-Dans deux semaines.
-Si tôt ?
-Je sais que cela ne te laisse que peu de temps pour te préparer à affronter cette épreuve mais ce n’est pas une mauvaise chose, il vaut mieux en finir au plus vite. »
Après avoir écouter les conseils de Dumbledore pendant plusieurs minutes, je n’ai pas eu le courage de me rendre en cours. J’ai donc décidé de prendre mon après midi pour réfléchir à tête reposée à toutes les informations que j’ai intégré aujourd’hui. La conclusion à laquelle je suis arrivé est la suivante : j’en ai marre ! (je sais pas très constructif tout ça)
J’en ai réellement marre de ne rien comprendre à ce qui m’entoure. J’en ai marre d’avoir un père comme le mien. Est-ce que je suis condamné à avoir une vie où tout me dépasse que ce soit les mystères ou la justice ?
Le bruit d’une course folle me tire de ma dépression. J’ai à peine le temps de relever la tête de mes genoux (NdA : la position spéciale dépression de Draco : recroquevillé sur lui-même contre un mur) que deux bras m’ont remis sur pieds et me traînent tandis que les voix associées de Blaise et Pansy (qui d’autre ?) me réprimandent :
« Non mais t’étais où tout l’après midi ? Qu’est-ce qui t’a pris de sécher les cours ?
-Ne répond pas tu n’as aucune excuses. En plus, tu es en retard au rendez-vous que t’a fixé Ron.
-Si tu crois que c’est comme ça que tu vas avoir son soutient dans ton entreprise de séduction de Harry Potter tu te trompes lourdement. -Tu as intérêt à bien te rattraper, c’est moi qui te le dis. » Mes amis enchaînent les répliques à une telle vitesse que j’abandonne tout espoir de répondre et me laisse guidé dans les couloirs jusqu’à la vieille salle de réunion.
Une fois arrivés à destination, ils ne me laissent même pas l’opportunité de reprendre mon souffle et me poussent à l’intérieur sans ménagement. J’évite de justesse un chute humiliante et me dresse bien droit au milieu de la pièce.
« Tu es en retard Malfoy. »
Je remarque alors le nombre de personnes présentes et je manque avaler ma salive de travers au fur et à mesure que mon regard parcours la table en forme de U. Six paires d’yeux, appartenant à Ron, Ginny, Fred et Georges Weasley, Hermione Granger et Neville Longdubas, sont posées sur moi avec un air inquisiteur au fond des pupilles.
Bon sang mais qu’est-ce que je fais là moi ?
A suivre... Et voilà tout ce temps pour ça. J'espère que vous n'êtes pas trop déçus. Je tiens à préciser qu'à la base je n'avais pas du tout prévu ça pour ce chapitre et qu'on aurait dû passer de la case tentative de corruption de Blaise à la case Draco seul contre tous sans détour par le bureau de dumby. Mais j'ai un peu changer le déroulement des évènements futurs et les conséquences s'en ressentent sur ce chapitre. J'attends vos avis bon ou mauvais avec impatience. A la prochaine Nightsky |