Bonjour!!!!! Devinez qui vient tou juste de finir d'écrir ce nouveau chap et qui a tout juste le temps de le poster avant de devoir ranger son ordi. Comment ça vous voyez pas? Ah mince ça va poser un problème. Euh.... Bon ben je vais vous donner la réponse: c'est moi! Vous vous en doutiez vraiment pas? Enfin bref... voilà je voulais absolument poster aujourd'hui sinon je pourrai pas le faire avant un moment. Donc avant de vous laisser à ma prose inqualifiable (surtout de connerie) je tiens à remercier tout spécialement lou x qui non contente d'avoir été la seule à reviewé l'a fait deux fois ce qui m'a bien motivée pour ce chap ci donc lou tu peut le considéré comme un cadeau pour toi. Je vous laisse tranquille maintenant. Bonne lecture.
Chapitre 7 : Découvrir la haine. Après une nuit de sommeil pas vraiment réparateur (imaginez vous poursuivi par une bande de griffys déchaînés même dans vos rêve et vous comprendrez mieux ma situation), me voilà de retour à la case réfectoire et surtout à la case réflexion philosophique sur mon café du matin. Je sais que je suis censé mangé avec mes nouveaux amis ce matin et c’est précisément pour cette raison que je regarde mes pancakes comme un con affamé au lieu de les manger. Mon Dieu mais qu’est-ce qui m’a pris de me fourrer dans cette galère ? Est-ce que le jeu en vaux vraiment la chandelle ? « Blaisounet ? résonne alors une voix à la colère dangereusement contenue dans mon dos. » Sans me démonter (il en faut un peu plus pour intimider un Malfoy tout de même) je me retourne pour faire face. A cet instant précis, la seule vision de mon ami, le fier, le jovial Blaise Zabini dans un état de nerf intense, les mâchoires serrées et le poings vibrants me rappelle qu’il y a tout de même de belles compensations à jouer ce petit jeu, je n’aurais jamais réussit à le mettre dans cet état tout seul. « Bonjour Blaise. Bien dormi ? Quoi que tu étais avec Weas… avec Ron donc je suppose que vous n’avez pas fait que dormir, hein ? -Dray ce rôle te va très mal. -Quel rôle ? je demande tout candide. -Celui du petit innocent qui n’a rien fait de mal. Je sais que c’est toi. -Mais voyons de quoi m’accuses-tu ? Je ne vois pas ce que je pourrais avoir fait pour mériter cette colère de si bon matin. -Oh arrête ça tu veux ? Qui d’autre que toi aurais pu souffler ce surnom ridicule à Ron ? -Oh si on parle de ridicule et humiliant, il vaut mieux se tourner vers deux jumeaux de notre connaissance que vers moi. Tu ne crois pas ? -Et ce serait purement par hasard qu’ils auraient trouvé exactement le même surnom que celui que Pansy m’avait donné. -Bah tu sais avec Blaise comme prénom de départ y a quand même pas grand-chose d’autre à faire. -Tu veux que je te dise, Fred et Georges auraient été beaucoup plus inventifs que ça. Et puis arrête ton char je sais que c’est toi. Mais dans ma grande bonté je ne te tuerai pas. -Mon Dieu, tant de générosité me bouleverse ! A quoi dois-je une telle aptitude au pardon ? -Oh comme tu l’as si bien remarqué tout à l’heure je n’ai pas dormi seul cette nuit. Ron est vraiment incroyable comme amant il peut faire… -STOP !!! Je ne veux pas entendre ça alors que je n’ai même pas mangé. -Et il est tellement… -Blaise si tu n’arrête pas tout de suite de parler je t’étouffe avec la première tranche de jambon qui me passe sous la main. -Pourquoi du jambon ? demande alors Neville dont je n’avais pas remarqué qu’il était venu s’asseoir à côté de moi pendant ma conversation avec mon ami. -Parce que c’est plus écoeurant que les pancakes à sept heures du matin. -Mais c’est qu’il a plutôt des bonnes idées le blondinet. S’exclame joyeusement l’un des jumeaux (ne me demandez pas lequel) qui viennent se joindre à nous. -Ça te dirait d’en partager quelques une avec nous ? demande l’autre. On travaille sur pas mal de projets en ce moment. Quand ce sera fini on compte les tester sur les élèves. Comme on ne peut décemment plus t’utiliser comme cobaye autant que tu nous serves à quelque chose. -Ah non hein ! s’exclame Hermione derrière moi. Vous êtes déjà bien assez de deux pour toutes vos bêtises. Il est hors de question que j’ai un autre farceur sur les bras. -Ah, maman Mione a parlé. Nous ne pouvons rien y faire George. -Hum… D’un autre côté Fred, c’est pas comme si on avait l’habitude d’écouter tous ses ordres. -Les gars vous pourriez être plus sympas avec Mione. Soupire Ron qui la suivait (décidément ils arrivent en groupe les griffys). Blaise, pourquoi tu m’as pas attendu ce matin ? Pour une fois qu’on pouvait arriver ensemble au p’tit déj’ sans risquer de provoquer une crise cardiaque à tes amis. -Je suis désolé Ronny mais j’avais deux trois petites choses à dire à Draco. Je te promet que demain je ne te lâche pas…peut-être même que je ne te laisserai pas sortir du lit. Déclare mon ami avec un sourire tout sauf innocent plaqué sur le visage. » L’effet voulu est immédiat, Ron est presque aussi rouge que ses cheveux (c’est timide ces petites choses là on dirait). Mais il ne se laisse pourtant pas démonter et réplique aussitôt : « Et qui te dit que je te laisserai assez de force pour me retenir au lit ? » Mais c’est qu’il est doué ! Et le regard plein de sous entendu ajouter à cette phrase fait mouche : Blaise manque s’étouffer avec son jus d’orange qu’il recrache élégamment par le nez (NdA : et c’est tout sauf agréable vous pouvez me croire^^). La table entière éclate de rire tandis que Ron se glisse à côté de son petit ami pour lui tapoter le dos gentiment. Une fois l’hilarité passée, et chaque membre de notre petit groupe arrivé, chacun se décide à écouter l’appel du ventre et à se servir en nourriture et moi je peux enfin attaquer voracement mes pancakes. Il ne reste bientôt plus que des miettes dans les assiettes quand Hermione s’exclame joyeusement : « Harry ! Enfin de retour ! » Je relève la tête si rapidement que je me demande comment je ne me suis pas bloqué les vertèbres cervicales, et mon regard se pose sur lui. La première chose qui me traverse l’esprit, c’est qu’il est vraiment beau. Il porte un costume noir aux reflets verts. La veste en est ouverte sur une chemise blanche débraillée et dont les boutons sont en partie défaits. Il a toujours sur le visage les traces bleues voire violettes mais celles-ci sont atténuées et le tout lui donne un côté mauvais garçon tout à fait charmant. Mais cette première impression est vite remplacée par autre chose quand nos yeux se rencontrent, il y a un problème. Je ne sais pas comment je le sais mais le fait est qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Dans ses grands yeux verts bouillonne une myriade d’émotions dont les dominantes sont la colère et…la peur ? « Comment s’est passé ta séance photo ce matin ? Ce sont les fringue que tu portais ? demande Ginny. -Harry, je parie que tu es encore parti sans rien dire à personne là bas. Et ton agent t’a déjà dit que tu devais rendre ces vêtements, pas partir avec. Tu es vraiment incorrigible. -En voilà encore un qui n’écoute pas les sages paroles des maman Mione. Et sinon ‘Ry c’est quoi comme marque ? -Qu’est-ce qu’ils font ici ? demande Potter en nous montrant Blaise, Pansy et moi du menton. -Ah oui. C’est vrai que comme tu étais pas là hier soir on n’a pas pu te mettre au courant. Blaise leur a tout dit à propos de notre relation et ils l’ont très bien pris. Donc on a décidé de les intégrer au groupe. C’est toujours agréable de se faire de nouveau amis. -Et je peux savoir par quel détour de votre imagination vous en êtes arrivé à la conclusion que Malfoy et moi pourrions être amis ? » Sa question énoncée avec une colère contenue déclanche un silence choqué et gênant. Je me sens comme si une masse venait de me tomber dessus et qu’elle avait paralysé toutes mes capacités de réaction. Je reste bêtement droit sur ma chaise, les yeux fixés sur mon ancien rival. Il semble hors de lui, ses pupilles envoient des éclairs et ses mains tremblent. Mais qu’est-ce que j’ai bien pu faire pour mériter ça ? « C’est quoi ton problème Potter ? (Ah je crois que je suis passé en mode réaction automatique) -Malfoy, prend un miroir, regarde dedans et tu connaîtra mon problème. -Harry ! s’écrie Hermione courroucée. Mais qu’est-ce qui te prend ? -Il me prend que mes amis ont invité le gars que j’aime le moins sur cette terre à prendre son petit déjeuner avec nous. Il me semble que c’est suffisant comme raison pour être ne colère. » Et sans laisser personne ajouter quoi que ce soit, il tourne les talons et sort du réfectoire. Ron et Blaise, faisant preuve d’une réactivité hors de commun, se lancent à sa poursuite tandis que tous les regards se tournent vers moi d’un air désolé. En ce qui me concerne je ne peux toujours pas ne serait-ce qu’esquisser un mouvement. Je ne comprends pas ce qui s’est passé et encore moins pourquoi ça m’affecte autant. Et merde !!! Mais pourquoi est-ce que j’ai envie de pleurer ? C’est débile ! Je le sais que Potty me déteste alors pourquoi je suis si anéanti ? « Dray, ça va ? demande Pansy avec une lueur d’inquiétude dans les yeux. -Tout va bien. Cette réaction est juste un peu plus violente que ce à quoi je m’attendais, je suis juste surpris. » C’est ça, il ne faut pas que les autres réalisent que ça ne va pas. Je suis un Malfoy merde ! Pas un pauvre mec à l’amour bafoué ! Et je n’ai absolument pas envie de pleurer (en tout cas pas officiellement). « Draco, je ne comprends absolument ce qui vient de se passer. Je n’avais jamais vu Harry comme ça. Je suis vraiment désolée pour tout ça. -C’est rien Mione. Tu ne t’attendais tout de même pas à ce qu’il me tombe dans les bras au premier regard. On se fait des coups de pute depuis des années ça ne peut pas changer comme ça du jour au lendemain. Il aurait fallu préparer un peu plus le terrain si vous voulez mon avis. J’aurais du y penser hier. -… » Mais pourquoi ils me regardent tous comme ça ? Même les jumeaux ont l’air d’avoir avaler un clown triste. J’ai quand même pas une tête si affreuse. « Bon c’est pas tout ça mais il va être l’heure d’aller en cours et je ne voudrais pas être en retard. » Je me lève de table sans attendre de réponse et quitte à mon tour la salle des repas. Je décide de passer par la cour, ça rallonge le chemin mais ça me permettre de prendre un peu l’air. Mauvaise idée que celle là. Il se trouve que Blaise et Ron ont pensé au même endroit pour enguirlander Potter. De là où je suis-je ne comprends pas ce qui se dit mais j’entends les éclats de voix et je les vois distinctement se crier dessus. Les visages de mon ami et de sa moitié laissent voir une grande quantité d’émotions : la colère, le choc, la tristesse, l’impuissance et plusieurs autres que je ne distingue pas tout à fait. Celui de Potter quand à lui n’est rien d’autre qu’une grimace de rage et ça me fait mal de penser qu’elle m’est destinée. Tout à coup un cri plus fort que les autres m’arrive très distinctement aux oreilles : « C’est hors de question ! Je le hais ! Vous comprenez ce que ça veut dire ? » C’est bien sûr Potter qui a crier et ces quelques mots plein de hargne m’atteigne bien plus que je ne l’aurais jamais imaginer. Je n’entends plus rien à partir de là. Mes sens semblent être passé en stand by. C’est donc vrai que les mots peuvent faire mal. Mais pourquoi les siens ? Peut-être que… Non il vaut mieux ne pas y penser surtout après ce que je viens d’entendre. Je ne sais pas trop comment j’y suis arrivé mais me voilà dans les toilettes désaffectées de l’école et le miroir me renvoie une image à faire peur. Je ne pleure pas (encre heureux) mais j’ai tout du zombie qui vient d’appendre qu’il ne pourra plus jamais mangé de chaire humaine. Oui je sais ce n’est pas très engageant comme image mais à l’instant présent je ne suis pas très engageant non plus. Je déteste ce que je vois dans cette glace en face de moi, un sentiment de rage monte en moi et sans que j’ai compris comment, voilà que mon poing se retrouve au centre d’un réseau de fissures qui multiplient mon reflet en petites répliques éparpillées sur la surface plus si lisse. Un peu de sang tache les premiers fragments de verre et c’est en remarquant ce détail que je réalise que la partie de ma main en contact avec le pauvre objet qui était un miroir il n’y a pas si longtemps est extraordinairement douloureuse. En règle générale je n’aime pas souffrir. Eh oui aussi étonnant que cela puisse paraître je ne suis pas maso. Mais cette douleur là a le mérite de me ramener à la réalité et de me remettre les idées en place aussi sûrement qu’un coup de pied au cul aurait pu le faire. Je ne suis pas une putain de gonzesse à l’amour blessé ! Je suis Draco Malfoy et ce que les autres ne me donnent pas volontairement, je l’obtiendrai autrement et j’en profiterai pour prendre encore plus au passage. Potter ne veut pas me donner ne serait-ce qu’un peu de son amitié ? Peu importe je lui volerai son cœur et je le briserai comme il a brisé… …mais je m’égare là. Ce qui est important à l’instant présent c’est que j’ailles à l’infirmerie faire soigner cette main et que je trouve une excuse plausible pour Pomfresh parce que je ne crois pas que dire « Dans un excès de rage, j’ai détérioré le matériel de l’école soignez moi et laissez moi aller en cours tranquillement » soie la meilleure approche possible. J’envoie un message sur le portable de Pansy pour la prévenir et qu’elle m’excuse auprès du prof et prends la direction de l’infirmerie. A cette heure-ci il n’y a personne et Mme Pomfresh s’occupe à Dieu sait quelle paperasse. Elle est tellement absorbée qu’elle ne remarque pas tout de suite ma présence et je dois me racler bruyamment la gorge pour attirer son attention. « Mr Malfoy. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu le plaisir d’une de vos visites. Que puis-je faire pour vous ? -Eh bien en fait j’ai fait une mauvaise chute dans la cour et je me suis blessé la main. -Montrez moi ça. Vous êtes sûr que c’est à cause d’une mauvaise chute ? -Comment est-ce que cela pourrait être autre chose ? » Elle me regarde suspicieusement, c’est vrai qu’habituellement quand on tombe c’est sur la paume et aux deux mains que l’on se fait mal. Mais après tout je suis un quelqu’un de spécial, il est normal que je ne fasse rien comme les autres. Elle ne pose pas plus de questions et commence à s’occuper de ma blessure, ce qui est réellement désagréable maintenant que je suis à nouveau en possession de tous mes sens. Des morceaux de verres vicieux se sont incrustés dans ma peau et elle doit les retirer un par un à la pince à épiler. Vient en suite le désinfectant le pansement et tout le reste. Je laisse mon regard errer dans la pièce. C’est un infirmerie tout ce qu’il y a de plus classique : murs blancs, draps et rideaux de même couleur, placard métallique cadenassé pour les médicaments. Je remarque alors que les rideaux de l’un des lits sont tirés. Qui peut bien s’être fait porté pâle si tôt dans la matinée ? La veste posée sur la chaise à côté de la couche attire mon attention. Elle est noire avec des reflets verts. Je ne connais personne qui porterait ça ici à part Potter. Mais il n’est pas censé être en train de se prendre la tête avec ses amis à l’heure qu’il est ? « Madame, qu’est-ce que Harry fait ici ? -Oh messieurs Weasley et Zabini l’ont amener un peu avant que vous n’arriviez. Etant donné son état de fatigue actuelle je me demande encore comment il a pu tenir debout jusqu’ici. Je l’avait pourtant dit à Dumbledore que… » Mais elle s’interrompt sans finir sa phrase me laissant plus que frustré. « J’en ai fini avec vous Mr Malfoy, je vais vous faire un billet de retard et vous pourrez aller en cours. » Elle remballe tout son matériel et se dirige vers la salle annexe. Quelque chose me dépasse ici. On dirait que tout le monde sait ce que je veux savoir mais que personne n’est décidé à me le dire et c’est à moi de me débrouiller avec les morceaux de puzzle que je grappille de ci de là. Je profite de l’absence de Pompom pour me diriger vers le lit où Harry est étendu. Il est hors de question que son stupide petit numéro du réfectoire ne viennent ruiner mes plans de départs et je vais donc jouer les amis dévoués. Allez savoir ça peut toujours marcher… Surtout si je parle à Blaise l’air de rien du fait que j’ai veillé Potty à l’infirmerie, je suis sûr qu’il ne pourra pas s’empêcher d’en faire part au principal concerné. Je place donc une chaise au niveau de la tête de lit et tire le rideau. Je crois que c’est à peu près ce moment là que mes jambes ont choisi pour me lâcher traîtreusement. Fort heureusement j’étais juste devant ma chaise et elle m’a accueilli avec une grande gentillesse et sans se dérober, m’évitant ainsi la rencontre douloureuse du sol et de mon postérieur. Je dois dire pour ma défense que je m’attendais à découvrir mon ancien rival tout simplement endormi, posé sur les draps blancs à l’image des gourdes que l’on peut voir dans les Disney attendant niaisement que l’on veuille bien s’occuper d’elle (NdA : l’auteur tient à préciser que ces propos ne correspondent pas à son opinion personnelle et qu’elle ne fait que retranscrire ici les pensées d’une tierce personne^^). Mais au lieu de cela j’ai découvert un homme dont le visage, presque aussi pâle que le tissu sur lequel il est étendu, est tendu comme luttant contre la douleur. Les marques de coups qui me semblaient atténuées jusqu’ici, ressortent de manière choquante. Je ne sais pas comment je me retrouve avec la main de Potter dans les miennes en train de lui demander ce qui lui arrive et bien d’autres choses dont je n’ai pas vraiment conscience, je crois même lui avoir proposé mon aide. Je me rends alors compte de ce que je suis en train de faire et m’apprête à lâcher la paume de l’endormi avant que qui que ce soit ne me surprenne quand ce dernier ouvre grand les yeux et les plantent dans les miens. Je me relève brusquement renversant ma chaise dans un vacarme assourdissant. Mon intention première et de me reculer mais Harry a refermé ses doigts sur les mien et continue à me fixer avec une expression que je ne comprends pas. Je le vois ouvrir la bouche pour parler et me rapproche un peu pour entendre ses mots quand : « Mr Malfoy. Votre billet de retard est prêt, vous pouvez retourner en cours. » La pression sur ma main se relâche et un bruit mat m’apprends que Potter s’est laisser retomber dans son lit. L’infirmière apparaît alors dans mon champ de vision un petit papier à la main et une fiole dans l’autre. « Voilà pour votre professeur, dit-elle en me tendant le coupon, et ça vous le boirez pour calmer un peu la douleur. Les médicaments que je vous ai donné ne feront pas effet bien longtemps. -Euh… Merci, je vais y aller alors. Bonne journée. -Bonne journée Mr Malfoy ». Je sors de l’infirmerie comme si je fuyais quelque chose. Qu’est-ce qui vient de se passer là au juste ? Et pourquoi mon cœur a l’air de vouloir se lancer dans un solo de batterie effréné ? J’ai une envie folle de passer ma journée à errer dans le parc mais je crois que Pansy me le ferait payer… et Hermione l’aiderait sans aucun doute possible. La vie n’est décidément pas facile. Mais au moins maintenant j’ai plus de gens à qui aller poser mes questions peut-être que j’en trouverai un plus corruptible que Blaise. A suivre... Juste avant de partir (5 secondes chrono) je tiens à dire que j'adore ls reviews et qu'il est interdit de taper sur Harry vous comprendrez pourquoi plus tard. Gros Bisous j'aime tous ceux qui ont lu jusque là. Nightsky in a hurry |