Salut tout le monde!!! Eh non vous ne rêvez pas je publie bien la suite de Les apparences. Comme quoi tout peut arriver même Nightsky qui poste un nouveau chapitre avant la fin de l'année universitaire (on dit merci la grève des enseignants^^). Bref s'il me reste encore des lecteurs après tant de temps j'espère que ça vous plaira. Pour être honnête je ne suis pas super fière du résultat mais ça fait déjà une semaine que j'essaye de l'améliorer et si je continue comme ça je vais tout reprendre à zéro et vous devrais encore attendre un temps indéfini pour ce nouveau chapitre. Donc voilà. Bonne lecture Chapitre 8 : « Silence dans la salle ! » A cette injonction et aux trois coups de marteau qui la suivent, les conversations s’arrêtent et les visages se tournent vers le juge bien droit sur sa chaire. En ce qui me concerne je ne bouge pas, j’attends simplement que l’on m’appelle à témoigner et de pouvoir enfin en finir avec toute cette histoire. Comme tout le monde à présent j’écoute les paroles du juge, des avocats et de tout ce petit monde qui fait vivre un tribunal. Plusieurs rangs devant moi, je peux voir les longs cheveux blonds de mon père qui se tient bien droit à côté de son avocat véreux mais doué. Je n’ai pas besoin de voir son visage pour savoir que son expression est fière et proclame bien haut : « Même après plusieurs années de prison je reste un Malfoy (donc forcément plus classe que vous) ». Je sais aussi que dés le moment où je m’aviserai de croiser son regard un sourire mauvais mais discret (la Malfoy touch qui se transmet de génération en génération) viendra agrémenter le tout dans le but de me perturber. Mes mains sont moites et mon cœur bat à un rythme effréné. C’est déjà la deuxième fois que je me tiens ici dans le but d’envoyer mon père en prison et je n’y prends pas plus de plaisir aujourd’hui que je n’en ai pris la première fois. Dumbledore à mes côtés, place une main apaisante et encourageante sur mon épaule tout en m’adressant un sourire doux. J’entends alors mon nom et, après une grande inspiration, m’avance dans l’allée centrale la tête haute, prêt à affronter le pire. Et le pire arrive. L’avocat de mon père n’est pas seulement doué, il est brillant. Il m’interroge de telle façon que mes réponses semblent ridiculement fausses et contradictoire. Il réussit même presque à me faire balbutier, moi, un Malfoy. Je passe le reste du procès dans une sorte d’état second et c’est à peine si j’en sort pour entendre le jugement final : non coupable. Mon père est libre. Avec un sourire où s’exprime toute la cruauté de son être, il s’adresse au juge : « Merci votre honneur. Après tout ce temps je vais enfin pouvoir retourner à une vie normale. Puis-je espérer que mon fils en fasse partie ? -Eh bien Mr Malfoy, dans la mesure où sa garde vous a été retirée pour un acte dont vous n’êtes finalement pas coupable, elle vous sera restituée cette décision prend effet dés maintenant. » Sans un regard sur moi et mon désespoir, le juge abat son marteau pour clore le jugement et le son résonne en moi comme un piège mortel qui se refermerait sur ma gorge. Je m’éveille en sursaut, juste assez tôt pour m’empêcher de tomber du lit. Ma respiration est hachée et mon corps couvert de sueur. Mes mains tremblent alors que je cherche en vain l’interrupteur de ma lampe de chevet. Il me faut bien encore quinze minutes supplémentaires pour me convaincre que je suis toujours en sécurité à Poudlard et que le procès n’est pas avant une semaine. Cela fait maintenant une semaine que ce rêve me tourmente et à chaque jour me rapprochant du procès de mon père, il devient plus détaillé, plus vivant et donc plus invivable. Je sais très bien que je ne pourrais pas me rendormir après ça. Quelle semaine de merde. Non seulement je dors à peine mais je dois déployer des trésors de patience et de self contrôle pour ne pas envoyer mon poing dans la gueule de Potter chaque fois qu’il me parle comme à la chose la plus répugnante existant sur terre…enfin quand il daigne m’adresser la parole. Heureusement les griffys sont bien plus agréables à fréquenter que leur pote même s’ils ne sont pas particulièrement reposants. Résigné à mon incapacité à faire une nuit complète ou même simplement à me reposer étendu sur mon lit, j’envoie valser ma couette et me dirige vers mon armoire. Au fond de celle-ci se trouve une vieille boîte à chaussure dans laquelle repose une bouteille de vodka non entamée, vestige d’une soirée organisée par Blaise pour m’apprendre à boire comme un homme. Je ne sais pas si ce soir là j’ai maîtrisé l’art subtil de se saouler mais j’ai appris comment gérer un ami ivre agonisant sur un tapis et celui-ci n’a plus voulu retenter l’expérience. Qui a dit qu’un Malfoy ne savait pas boire ? L’étiquette de la bouteille indique une marque bon marché et je me demande un moment si la vodka est toujours buvable, ça fait quand même un moment qu’elle traîne entre un vieux T-shirt égaré et des chaussures que j’ai juré de ne plus jamais remettre pour la sauvegarde de mes pieds. Après une moment d’hésitation je décide qu’après tout si l’alcool est plus fort ce n’est pas bien grave tout ce qui est capable de m’ensuquer est le bienvenu. Sans attendre plus je fais coulisser le bouchon et porte le goulot à mes lèvres en essayant de ne pas prêter attention à la forte odeur qui vient me titiller les narines. Après avoir avalé quelque gorgées du liquide, et manqué cracher mes poumons en raison du très fort degrés d’alcool, je me sens déjà un peu mieux (il faut dire qu’une grande partie de mon attention est consacrée à faire abstraction du goût immonde de cet alcool à bas prix). Les effets se font ressentir assez rapidement et il me semble vite essentiel d’aller prendre un peu l’air histoire de compenser la chaleur qui me gagne. Tout en continuant à vider avec application la bouteille, je me promène dans les couloirs jusqu’à une cour où je me laisse lourdement (mais tout de même assez élégamment) tombé sur un banc de pierre. Bien installé sur celui-ci, je repense à ces derniers jours. Je suis toujours abasourdi de voir à quel point ma vie a pu changer en si peu de temps. Comment une simple rencontre dans le cadre d’un travail de bénévole a-t-elle pu avoir de telles répercussions ? Il faut croire que le changement tient à pas grand-chose. Ou alors… peut-être que le changement était déjà là mais que je ne savais pas le voir. Huhum…c’est profond ce que je pense. Et j’arrive encore à raisonner comme ça alors que j’ai bu plus de la moitié de ma bouteille. Héhé trop fort moi, même pas bourré. J’lui en foutrait moi à Blaise des « j’vais t’apprendre à boire comme un homme » ! J’en ai pas besoin. La preuve je pense de manière cohérente là. Oh des étoiles ! Elles sont belles. Pas très stables mais d’un autre côté elles sont dans le ciel c’est normal qu’elles bougent. Il me semble entendre un bruit. Mince peut-être un préfet qui fait sa ronde. Je vais me faire gronder. …Attends y a quelque chose d’important là…Ah mais oui ! Pas grave moi aussi j’suis préfet ! Mais on va quand même cacher la bouteille j’ai pas envie de partager. Oh mais tient une tête connue ! « Alors Potty on dépasse le couvre feu ? Tu vas avoir des ennuis. - Malfoy ? C’est toi ? demande une voix que je connais. -Non c’est Dumby. Qui veut un bonbon au citron ? -Tu ne devrais pas être là. -Toi non plus Potty. Surtout que t’es pas préfet, alors que moi oui. -Dis comme ça je ne suis pas bourré non plus alors que toi si. -C’est pas vrai !!! (Je viens de crier comme un sale gosse en tapant du pied et avec une voix pas franchement malfoyenne, peut-être que je suis un peu pompette mais juste un peu). -Tu es sûr de toi là ? -Euh… Je suis sûr que tu dois pas être ici après le couvre feu. Tu vas être puni ! -Je pense pas, j’ai une autorisation de Dumbledore. -Pfff. Chouchou. Rentre dans ta chambre. » Sur ces mots je ressorts mon amie la bouteille de derrière mon pied (non je n’ai pas trouvé de meilleur cachette en cinq seconde) et avale une nouvelle lampée. Quand je baisse la tête c’est pour découvrir que contrairement à toute attente Potter est encore là et pose sur moi un regard interloqué. « Tu fêtes quoi au juste ? me demande-t-il. -Mes retrouvailles prochaines avec mon noble géniteur je sens que ça va être une grosse marade. -Tu vas bien ? -Qu’est-ce que ça peut te foutre ? Après tout je suis la personne que tu déteste le plus au monde, alors dégage et laisse moi me saouler tranquille. -Malfoy je… -Tu rien du tout ! Je n’accepte pas non comme réponse ce soir ! » Après un long moment d’hésitation où son regard va et vient entre la bouteille dans ma main et mon visage que j’espère assez autoritaire, le brun fait quelque chose de tout à fait inattendu, il tend le bras vers moi et attrape le goulot. Ses doigts frôlent les miens dans le mouvement et je ne sais pas trop comment j’arrive à me convaincre que si je frissonne c’est parce qu’il y a des courants d’air (si si je vous jure les courants d’air dans une cour extérieure par une nuit de fin d’automne c’est très rare ce qui explique que je ne frissonne pas plus souvent). Pendant que je débat avec ma mauvaise foi sur l’origine de mon frisson, Potty porte le goulot à ses lèvres et avale une petite gorgée…qui le fait immédiatement tousser comme un échappé de la noyade (je crois que j’ai trouvé un nouvel élève pour Blaise). « Ridicule. T’as jamais bu de ta vie ou quoi ? -Jamais rien d’aussi dégueulasse ! -Ça t’apprendra à squatter la boisson des autres sans leur demander leur avis. Aller prends en plus je me sens l’âme généreuse. Et fait pas cette tête ça va aller maintenant que ça t’a grillé le sens du goût. -Tellement tentant dit comme ça. » Je réalise alors que pour la première fois depuis cette journée de bénévolat Potter me parle comme il le ferait avec un de ses amis (ou du moins quelqu’un de sa connaissance) et ça m’intrigue. C’est pas normal, il y a quelque chose de louche la dessous, je suis sûr qu’il va me faire un sale coup. « Bon c’est quoi l’embrouille ? -Pardon ? me répond-il en clignant des yeux ronds. -Potty me prend pas pour un con ! Tu m’as pas parlé comme à un être humain depuis des jours et d’un coup tu viens boire avec moi. Qu’est-ce que tu complotes ? -Tu veux pas arrêter de m’appeler Potty, c’est moche. Mon prénom est plus sympas quand même. Tu trouves pas Draco ? » Il a utilisé mon prénom. Il a utilisé mon prénom. Si j’avais pas un brin de fierté toujours vaillant en moi je ferais une dans de la victoire. A la place je me contente de me sentir heureux et d’oublier ma question de toute façon je suis préfet et un protégé de Dumbledore il ne peux rien m’arriver de mal. Je ne sais pas trop comment ni en combien de temps, mais nous réussissons à finir la bouteille dont le cadavre gis maintenant à côté sur le sol tandis que nous sommes avachis sur le banc et nous faisons un sort à la petite flasque qu’il cachait dans sa veste (c’est qu’il a des manies d’alcoolo le petit Harry). Je crois qu’on parle mais je ne suis pas sûr. Par contre on a trouvé qu’il faisait froid cette nuit et que comme je suis en pyjama (beau, classe mais aussi très léger) il fallait me tenir chaud, je crois vaguement avoir longuement insisté sur ce point. Je me rends alors compte que sans m’en être aperçus je me suis collé à Harry et qu’il ne dit rien, ce qui est plutôt agréable. Nos regards s’accrochent et tout d’un coup je vois le vert de ses yeux se rapprocher de plus en plus et… Et puis plus rien. Le trou noir. §§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§ Comme à mon habitude je suis le premier dans le réfectoire. Et comme à mon habitude je me perds dans les arabesques du lait dans le café. Cependant plusieurs choses sont différentes des autres matins. En effet, les autres matins je n’ai pas la gueule de bois (après seulement une demi bouteille de vodka c’est assez honteux quand même). Les autres matins je ne maudit pas chaque bruit un peu désagréable parce qu’il me vrille les tympans. Les autres matins je ne suis pas en train d’échafauder des plans pour récupérer de l’aspirine sans avoir à expliquer que je me suis saouler dans l’enceinte de l’établissement. Mais surtout, et c’est là le plus important, les autres matins je ne me suis pas réveiller aux côtés de Harry Potter. Comment cela est-il arrivé me direz vous. Quoique je sens que la question qui vous intéresse le plus c’est qu’est-il arrivé exactement ? Eh bien laissez moi être particulièrement décevant en répondant que je n’ai de solution à aucune de ces deux questions. Je sais juste que nous étions tous les deux dans mon lit, serré l’un à l’autre et, merci seigneur, complètement habillés. Une chose est sûre par contre le déni ne fait plus vraiment partie de mes options. A la grande consternation de ma mauvaise fois légendaire et génétique je dois bien m’avouer que je ressens plus pour Harry qu’une curiosité malsaine et dévorante comme j’ai toujours voulu le penser. Rhaaaaaa !!!! Non mais franchement pourquoi a-t-il fallu que j’ai l’alcool lucide hein ? Pourquoi a-t-il fallu que je me sente frissonnant et guilleret quand il a décidé de boire avec moi ? Pourquoi a-t-il fallur que la simple utilisation de mon prénom me rende euphorique ? Et pourquoi a-t-il fallu que je me sente triste quand il est parti comme un voleur ce matin ? Dans mon élan d’auto apitoiement je laisse ma tête tomber sur la table évitant de justesse mon bol de café brûlant. C’est dans cette position que me trouvent mes amis quand ils daignent enfin sortir de leurs lits. Bah c’est pas comme si j’avais encore besoin de préserver ma dignité auprès d’eux. Le petit déjeuner se passe sans que je prenne la peine de répondre à aucune de leur question sur mon état lamentable (faut pas non plus pousser mémé dans les orties hein) et c’est en tant que loque humaine que j’assiste au cours du matin sans croiser le brun qui obsède mes pensées. Vers midi, et grâce à deux petits cachets que j’ai discrètement subtilisés à Pansy, j’ai retrouver un peu de ma forme habituelle et suis en tout cas assez vaillant pour faire croire que tout va bien et inventer une vague histoire d’insomnie pour expliquer mon comportement (ce qui n’est pas totalement faux d’ailleurs). « Franchement Dray, déclare Blaise en agitant un morceau de rôti au bout de sa fourchette, tu devrais demander à Pompom de te prescrire des somnifères. Dans ta situation je suis sûr que tu y as droit. Et puis ça t’éviterais de finir tout les jours un peu plus dans le cirage, t’as une tête à faire peur. -Il a raison. Réplique Hermione. Si ça continue comme ça tu vas finir par faire peur aux premières années. C’est impressionnable ces petites choses là. -D’un autre côté ça l’aidera sûrement à tenir ses ennemis à distance. -Merci tous les deux votre soutient me fais chaud au cœur. Je me sens tout de suite mieux. » Mes deux amis se répandent en excuses d’une sincérité douteuse mais je n’écoute déjà plus. Harry vient de rentrer dans le réfectoire et c’est le moment ou jamais d’aller lui demander plus de précisions pour la nuit qui vient de se passer. Je marmonne un mot d’excuse pour arrêter les deux larrons et quitte la table sans attendre de réponse. De toute façon je sais qu’ils ont compris ce que j’allais faire et qu’ils ne protesteront pas puisqu’ils attendent impatiemment depuis une semaine le moment où Harry et moi nous décideront enfin à nous reparler (s’ils savaient les pauvres ils en feraient une syncope). En quelques pas je suis devant lui. Cependant, il ne me laisse pas le temps de parler. « Qu’est-ce que tu me veux Malfoy ? » Ma détermination est un peu mouchée par le ton dur ainsi que l’utilisation de mon nom de famille et je reste un moment sans réaction. Ce n’est pas que je sois lent comme garçon mais sa réaction est assez inattendue (on peut dire que Potter me surprend en ce moment). « Malfoy j’ai pas toute la journée. -Hum voilà Harry je… -Harry ? Qui t’a permis de m’appeler par mon prénom ? » Non mais il se fout de moi là ? Apparemment non à en juger par son air mauvais et ses sourcils froncés. Je sens la colère monter en moi et friser l’explosion ? Comme je suis du genre pudique (et avouons le un peu soucieux de ma réputation) je ne tiens pas particulièrement à ce que tous les élèves présents entendent ce que j’ai à dire à l’instant et c’est sans réfléchir que je saisi le bras du brun et le traîne dans les couloirs. Il essaie de se dégager mais je suis assez fort pour le retenir jusqu’à une classe vide où je le pousse brutalement. Avant qu’il ait pu se plaindre, je lui envoie mon poing dans la figure. Aaaah ! Putain ça fait mal ! (note personnelle pour plus tard : apprendre à donner des coups sans se péter un doigt et sans utiliser la main qu’on a entailler en boxant bêtement un miroir). « Mais merde Malfoy qu’est-ce qui te prend ? -A moi ? Qu’est-ce qu’il me prend à moi ? Non mais on est en plein délire ! Il me prend que j’en ai marre qu’un salopard de mannequin à la con joue avec moi comme avec un yoyo ! Bordel Potter qu’est-ce qui tourne pas rond chez toi ? Si tu veux rien avoir à foutre avec moi faux pas venir jouer le mec au grand cœur en premier lieu ! Viens pas me parler comme si j’avais de l’importance pour ensuite me jeter comme un malpropre. Et puis merde à la fin ! Qu’est-ce que j’ai fait pour que tu me détestes comme ça ? -Malfoy écoute je… -Non c’est toi qui m’écoutes. » Je prend un peu de temps pour me calmer et choisir mes mots judicieusement. « Je vais te donner un choix à faire et je te conseille de bien y réfléchir parce qu’une fois ta décision prise je ne te laisserai pas le loisir de changer d’avis. La première option c’est de couper les ponts avec moi. On reprend notre petit jeu de l’indifférence comme si nous n’étions rien l’un pour l’autre. La deuxième c’est de me dire la vérité. Parce que je ne suis pas débile Potter je sais qu’il se passe quelque chose et que tu es lié à cette histoire peut être même au centre de celle-ci. Et malgré tout ce qu’on peut penser, je te connais, je sais que tu caches quelque chose et je vois que tu en souffres même si tu ne veux pas l’admettre. Alors Harry que comptes-tu faire ? -Tu ne peux pas me demander ça. -Et toi tu ne peux pas continuer de la sorte. Tu sais tes amis se font tous du soucis pour toi mais je ne crois pas qu’ils aient encore réalisé que tu es sur le point de craquer. Je ne crois pas qu’ils aient encore remarqué que tes yeux font mentir tes sourires. Parce que tout ça tu vois il faut être quelqu’un comme moi pour le voir, quelqu’un qui connaît les masques que l’on s’oblige à porter, quelqu’un qui sait exactement ce que c’est que de prendre une décision qui bouleversera le cour de sa vie à venir. -Tout ce que tu dis est bien beau mais ce n’est que le fruit de ton imagination. Je vais très bien et il n’y a aucune raison pour que je craque un jour. -Menteur. Quelqu’un qui va bien ne boit pas avec son plus grand rival quand il le trouve ivre dans son établissement scolaire. Quelqu’un qui va bien ne se ramène pas au bahut avec la tête d’une femme battue et ne s’évanouit pas au milieu de la journée. Alors arrête de me prendre pour un con et dis moi clairement ce que tu décides. L’indifférent ou le confident c’est à toi de choisir. Alors Harry qu’est-ce que ça sera ? » A suivre... Très cher lecteur (on va partir du principe que tu existe) arrivé(e) à ce point de l'histoire (on va aussi partir du principe que tu as lu jusqu'à la fin) tu dois avoir des envies de meurtre sur l'auteur. Et tu as bien raison. Non mais c'est vrai quoi, c'est quoi ce black out total de Draco au moment où ça devient intéressant et au nom de Merlin pourquoi ce chapitre finit-il ainsi? Eh bien sache une chose cher lecteur, bien que l'auteur t'aime beaucoup, elle est d'une nature profondément sadique et elle aime bien un peu de mystère de temps en temps. En plus elle ne craint pas tellement d'attaque sur sa personne parce qu'elle s'est super bien cachée. Donc pour faire part de ton mécontentement il ne te reste plus qu'une solution; la review (niark niark). A la prochaine dans un nouveau chapitre. Bisous à tus ceux qui ont le courage de me lire. Nightsky |