Par contre après celui là je ne poste rien pendant un petit moment, on arrive à la toute fin, d'un côté ça se sent vous allez voir ^^ Mais je suis en plein dans le chapitre 30 et je ne veux pas tout presser >.< C'est qu'il y a un paquet de truc à assurer là xD Avec tout ces retournements de situations et toute cette masse de personnage en délire ! D'ailleurs, je vous laisse avec.. Enjoy ;)

Rating : T

Disclaimer : Les personnages d'Harry Potter appartiennent à cette merveilleuse J.K.Rowling.
Aaron Brightside m'appartient entièrement !

Rappel : /!\ À savoir que les points de vue changent à chaque chapitre.

Bonne lecture ! Un régal ce chapitre.. un régal..

__________________________________

[Drago Malfoy]



Mes pieds me menaient dehors. Je voulais voir Potter mais je ne savais pas où est ce qu’il pouvait bien être. Cet après midi nous avions un cours de potions mais je me mettais facilement à sa place : je ne pense pas qu’il veuille y apparaître s’il se reçoit encore une fois des remarques vulgaires.

Donc soit il s’enterre dans son lit, soit il est dans un coin tranquille, à l’abri des regards. Je me demande s’il est seul. Est ce qu’un garçon est venu le voir pour le séduire ? Sans doute. J’espère seulement qu’il n’y a pas prêté attention et qu’à moi il en prêtera, même un peu. J’aimerai juste qu’il me laisse l’espoir de lui parler, rien qu’un mince espoir.

Je m’assied sur les marches de l’entrée du château, le visage entre mes mains, celles-ci sur mes genoux. Même si je le trouvais, qu’est ce que je pourrais bien lui dire ? Que je ne suis pas sûr de ressentir quelque chose pour lui ? Que je tombe probablement amoureux de lui ? Ressent-il autre chose que de la haine ou de la colère envers moi ? Suis-je plus qu’un ennemi à ses yeux et dans son cœur ?

Voilà où ça me mène, tout ça. Je parle comme un philosophe romantique. Blaise se foutrait de moi s’il m’entendait penser !

Je me levai doucement et commençai ma recherche. L’élu, il me fallait trouver celui qui semblait être l’élu de mon cœur, même si mon esprit n’en était pas encore conscient. D’un côté, comment s’avouer si facilement qu’on est peut être en train de tomber amoureux de son pire ennemi et rival de toujours.
Pourtant je ne me trompe pas, Blaise lui même l’a remarqué, je me comporte trop anormalement envers Potter pour ne pas ressentir de sentiments amoureux envers lui. Que penseraient mes parents s’ils savaient ?!

Un bruit d’agacement sortit de ma bouche que déjà je rebroussais chemin, je me rendis derrière le château, longeai le lac et allai dans le petit parc fleuri. C’était un endroit très silencieux, personne n’osait s’aventurer par ici car ça grouillait de gobelins et autres vermines. Pourtant c’était magnifique, chaque plante semblait émaner une aura de lumière étincelante, les arbres offrait à profusion des fruits et des fleurs et l’herbe était douce et verdoyante.

Je ne restais pas longtemps à l’intérieur de ce jardin secret car je doutais fort qu’Harry connaisse cet endroit et y passe son après-midi comme je le connais un peu. Je me dirigeai vers la volière à présent, mon cœur tapant fort contre ma poitrine. Je sentais au fond de moi qu’il était là.
Pourquoi aller ailleurs quand votre animal y est ? Car après tout ce sont les meilleurs amis de l’homme, et ils nous comprennent mieux que personne.

Plus que convaincu, je grimpais les marches trois par trois et me figeai, le cœur battant à tout rompre, une fois arrivé en haut. Mon doute était bel et bien fondé, j’entendais Harry parler à Hedwige, sa chouette. Je ne voulais pas qu’il sache que j’étais présent alors je restai un petit peu plus longtemps contre le mur de l’enceinte, me permettant ainsi de l’entendre sans être vu.

« Serait-ce lui ? J’en doute quand même un peu… Il est plutôt du genre hostile, tu ne trouves pas ? » Hedwige lui lança un hululement joyeux puis il continua : « Remarque, ce sont souvent ceux qui se haïssent qui finissent ensemble. Serait-ce lui, le trésor caché qui m’attendra toujours ? »

Je me sentais visé. Bizarrement, je sentais qu’il parlait de moi. Mais comment en être sûr ? J’avais l’irrésistible envie de m’aventurer en terre sauvage, de rentrer et de lui parler, ce qui pourrait devenir amusant car lui tenterait de savoir si la personne qu’il cherche est moi, et moi je tenterais de le lui faire comprendre sans l’avouer directement.

Mais avant que j’eus le temps de faire un geste, Harry entra dans mon champ de vision, Hedwige sur son avant bras. Quand il me vit, il poussa un petit cri de peur :

« Drago ?! Qu’est ce que tu fais là ? »

« Je te signale que la volière n’appartient pas qu’à toi, Potter. »

Non ! Non ! Non !! Pourquoi faut-il que je l’agresse toujours comme ça ? Je suis vraiment horrible…

Il fit comme s’il ne m’avait pas entendu et chuchota à Hedwige quelque chose puis la fit s’envoler. Et il se tourna vers moi, calmement :

« Tu ne m’espionnais pas quand même ? » Demanda-t-il, soudain soucieux.

« Si c’était le cas ça ferait quoi ? »

« Tout dépend de ce que tu as entendu et compris, à toi de me le dire. » Me lança-t-il comme un défi.

Devrais-je lui dire ? Tout lui avouer ? Est-ce que je devrais lui demander ce qui le ronge ?

« Bon, j’en conclu que tu n’as rien entendu. » Dit-il enfin après un long silence, puis il partit.

Je mis un moment avant de savoir quoi faire, quand je décidai de le suivre, mais pas discrètement. Au contraire je me fichais de savoir s’il me voyait. Je voulais lui parler, il le fallait. S’il avait envie de me parler, il le ferait aussi.

Au bout d’un moment il se retourna et me fixa en fronçant les sourcils :

« Tu joues à quoi, Malfoy ?! »

« A rien du tout. Je marche, c’est tout. »

Peu satisfait de ma réponse, il continua sa marche mais plus rapidement cette fois. Il passa par le jardin fleuri et j’étais étonné de voir qu’il connaissait parfaitement le chemin pour en sortir, car il faut l’avouer cet endroit  est un petit labyrinthe délicieux pour les aventuriers.

Il se dirigeait vers la cour extérieure du château et s’y plongea. Il faisait de plus en plus sombre et je me demandai l’heure qu’il devait être. Nous devions sans doute être en milieu d’après midi… Et le cours de potions devait prendre bientôt fin. Je n’y suis pas allé mais de toute façon les cours m’importent peu en ce moment. Je ne sais d’ailleurs pas ce qui m’importe le plus, mais Harry a une place trop importante dans mon esprit pour que je ne m’en préoccupe pas.

Il paressait savoir où il allait. Sans doute voulait-il que j’arrête de le suivre, et pour cela il lui suffisait simplement de se rendre dans la salle des Gryffondors, pièce où je ne pouvais accéder. Mais le chemin qu’il emprunta ne semblait pas prendre cette direction.

Je compris enfin où il me menait quand j’eus franchis la cour pavé du jardin fleuri, il continua vers la gauche, où une fontaine laissait couler une eau fraîche entourée d’un par terre de tulipes. Il semblait savoir où il allait et cela me surprit : il connaît donc cet endroit, tout comme moi ?

Chose inattendue, il s’assit sur un banc de pierre placé près de la fontaine, dos à elle. Et puis il me fixa sans me dire un mot.

« Tu fous quoi ? »

Non, il faut croire que j’ai décidé d’être agressif et direct avec lui aujourd’hui.

« Je t’en pose des questions ? » Me rétorqua-t-il.

« A l’instant. » Je lui réponds en m’avançant vers lui.

Puis, sans attendre un geste ou une parole je m’asseyais à ses côtés, ni trop proche de lui, ni trop éloigné. Je ne savais pas vraiment quoi lui dire, et si c’était à moi de parler.

« Avoue que tu as entendu ce que je disais dans la volière et que maintenant tu veux m’emmerder avec ça, Malfoy. Ça irait plus vite et comme ça on serait tranquilles tous les deux. »

« Tu as parlé d’un trésor, après je ne m’en souviens plus. »

Oui je lui ai menti, car j’ai entendu autre chose, mais je ne voulais pas le lui dire, ça me fait un avantage. Je me demande ce qui se passe dans sa tête, ce que j’aimerai lire dans les pensées des gens !

Ses yeux me fixèrent longuement puis il répondit enfin :

« Tu as dû mal comprendre, tu me prends pour un pirate à la recherche d’un trésor pillé ?! » Ria-t-il.

Rigole toujours andouille, je sais très bien que tu me caches la vérité et masques tes pensées…

« Ceux qui se haïssent finissent toujours ensemble, Potter. »

Cette phrase le cloua sur place et son rire s’arrêta. Il me fixait incrédule et voulait apparemment dire quelque chose mais ne savait pas quoi.

« Arrête de gober les mouches. Tu parlais de qui tout à l’heure ? »

« En quoi ça te regarde. » Répondit-il en se levant et reprenant un air calme.

« Je peux t’aider à trouver qui c’est ton trésor caché. » Dis-je avec un sourire.

« T’as juste envie de te payer ma tête. » Grogna-t-il en partant.

Mince, j’aurais du être un peu moins arrogant, mais c’est si bon… Il va falloir que je le rattrape, je ne veux pas qu’il m’échappe encore, c’est assez dur le trouver celui-là ! Mais que puis-je lui dire pour lui faire comprendre tout ce qui se passe en moi ?

Mon corps réagit plus vite que mes pensées et je suis déjà en train de courir derrière lui, je lui enserre le bras de ma main et le fait pivoter vers moi.

« Hé ! »

« Potter, faut qu’on cause. » Lui dis-je, d’un air sérieux.

Mon soudain sérieux le fit hausser un sourcil, il me dévisagea de long en large et puis répondit enfin :

« Qu’est ce que tu me veux ? »

« Tu ne voudrais pas … marcher en parlant ? Ce serait plus simple. » Je lui demande peu rassuré.

Il doit se demander pourquoi je lui demande ça, je parais fou ! Mais qu’est ce que je vais lui dire ?! Je n’ai rien à lui dire ! Après tout j’ai juste une attirance envers lui, j’ai ce petit truc à l’intérieur de moi qui fait que mon regard ne peut s’empêcher de le fixer quand il est là. Mon cœur bat la chamade quand je le vois. Je me sens nu et idiot devant lui. J’ai ce quelque chose qui grogne quand j’envie quelqu’un qui a un bon contact avec lui. Après tout ce n’est que ça …

Il me regardait assez inquiet, nous avions pris un rythme de marche assez modéré et je me demandais où nous irions après avoir passé les jardins et le parc du château, je le raccompagnerai jusqu’à la grande salle ou sa salle commune ? Et surtout, que vais-je lui dire d’ici à ce qu’on mette fin à la conversation ?

« Drago ? »

D’entendre mon prénom me fit passer un frisson et je sortis de mes pensées en une seconde :

« Excuse-moi, je ne sais pas comment te dire tout ça. »

« Commence par le début, ce serait pas mal. » Ricana-t-il.

J’avais envie de répliquer mais je me tus, après tout il n’a pas tort, et il faut que j’arrête d’être agressif et de m’emporter.

« Ca m’aiderait si tu me disais ce qui te trouble. »

« Pardon ? Quel est le rapport ? » Me demanda-t-il, incrédule.

« Cherche bien. »

Il semblait ne pas apprécier quand je jouais aux devinettes, mais ma réponse le laissa silencieux pendant un moment. Et nous approchions de plus en plus du château, par l’entrée principale.

« Ton pote Zabini m’a dit quelque chose l’autre soir. Depuis je cherche de qui il me parlait, c’est tout. Tu dois sans doute être au courant de ça n’est ce pas ? » Me demanda-t-il, voulant soudain mon aide.

« En effet, je sais des trucs là-dessus. » Dis-je en prenant un ton dégagé. S’il ne se doutait pas encore de moi il aurait tout le temps de comprendre s’il me demande des indices ou de l’aide.

« Tu connais qui c’est ? » Me questionna-t-il sans attendre. Il est apparemment pressé de découvrir l’identité de son amour secret. « C’est un homme ? » Bingo. A moi de jouer.

« Oui c’en est un, et il est très séduisant, à mon avis tu l’as déjà vu plusieurs fois. »

« Il est dans quelle maison ? En quelle année ? »

« Hé doucement Potty, tu n’as droit qu’à trois questions. »

« Tu te fous de ma gueule ?! » S’écria-t-il, aberré.

« À moins que tu aies de quoi payer... » Je lui réponds, avec un air suspicieux.

« Arrête tes conneries et aide moi, sinon je n’écoute même pas ce que tu as à me dire ! » Me coupe-t-il. Un vrai môme ce mec…

« …en nature, bien sûr. » Je finis de dire en murmurant, et il fit une grimace.

« Je veux juste savoir son prénom alors. »

Merde. Je ne sais plus comment improviser là. Et si je testais ? Si je lui répondais « Drago », juste pour voir sa tête, et puis pour voir sa réponse. Non, je ne peux pas me démasquer comme ça, c’est  trop amusant, il faut que je lui fasse deviner subtilement. Très subtilement.

« Je te le donnerai si tu me suis. »

Nous étions déjà dans le château, dans le hall. Beaucoup de chemins s’offraient à nous et je voulais échapper au plus vite aux regards qu’on nous lançait. Forcément que c’est très étrange de me voir déambuler avec ce pouilleux mais qu’y puis-je ? Mon cœur m’ordonne de faire quelque chose et oublier ce que je ressens pour lui n’en fait pas partie. En plus ça devient amusant.

Il me suivit dans les escaliers et puis me demanda où je comptais l’amener.

« Je n’en sais rien, en fait. J’essaie de trouver un endroit assez calme et vide. »

« Je sais où, moi. » Me dit-il avec un sourire malice.

Ca me fait étrange de partager cet après midi avec lui, même si on ne fait pas grand chose, je me sens comme un gosse, qui cherche quoi dire à son amant. Un gosse qui ne se préoccuperait pas de ce qui se passera après et qui profite du moment présent.

Il m’amena devant un mur de pierres et je compris enfin où nous étions :

« La salle sur demande, comment je n’ai pas pu y penser. »

« Parce que tu utilises ton cerveau à dire des conneries. »

« Potter, t’as pas tenté de te mettre devant ce mur et de demandait qu’il y ait celui que tu cherches à l’intérieur ? »

Ma question le tétanisa et il me jeta des yeux ronds :

« Mais t’es pas si con, en fait. »

Puis nous entrâmes dans la porte qui venait d’apparaître.

« Je ne pense quand même pas que ça fonctionnerait. Comment une personne apparaîtrait d’un coup, sans son consentement ? » Demanda-t-il comme pour lui même.

Je fermai la porte et le rejoint au fond de la pièce. Elle était assez petite, tapissée de rouge et ne contenait aucun meuble.

« C’est vide ici, tu aurais pu égayer la pièce avec une statue ou un bouquet de fleurs quand même. »

« Si messire Malfoy souhaite des fleurs… » Dit-il d’un ton moqueur. Et soudain un petit meuble apparu avec une vase blanc posé dessus. Un petit bouquet de roses rouges à l’intérieur. « Alors, je peux savoir son prénom maintenant ? »

Comment lui dire ça comme ça directement. Il partirait à ma réponse, ou bien ne me croirait pas et ne voudrait pas terminer notre conversation. Il faut qu’il arrête de me demander de dire mon prénom ! Surtout que j’en meure d’envie.

Je m’avançai vers le meuble au vase et caressa les pétales d’une rose. Il y avait de fines gouttes d’eau sur celles-ci et leur parfum m’enivra d’une douceur gourmande.

« Tu ne le connais pas ? » S’enquit-il, en faisant quelques pas vers moi. Il jeta un œil à ce que faisaient mes doigts puis scruta mon visage. « Malfoy aide moi s’il te plait, je n’arriverai pas à trouver tout seul. » Je tournai mon regard vers lui et il finit, insistant : « Je t’écouterai après si tu veux. On sera quitte. »

Mes yeux retournèrent se poser sur le bouquet de roses, mes doigts ne cessant de caresser les pétales. Que pouvais-je bien inventer désormais ? Il fallait pourtant que je lui dise. Après tout c’est tout le pourquoi de cette situation, c’est moi qui ai voulu tout ça. Tout ça pour lui dire ce que je ressens.

« Il n’a pas un prénom facile. Ce n’est pas un homme facile d’ailleurs. »

« Pas facile ? Il est compliqué ? Plutôt chiant et têtu ou… ? » Dit-il soudain déchaîné. Je sentais que son cerveau chauffer, à la recherche de son amoureux secret.

« Très chiant oui. »

« Que sais-tu d’autres ? Son prénom ne te revient pas ? Même pas un bout ? »

« C’est un mec assez mystérieux, hautain, il parle peu et quand il parle c’est l’arrogance incarnée. »

« Ah mais qui est-ce putain ?! » Jeta-t-il en levant les mains sur sa tête. Il fit les cent pas derrière moi, en énumérant des prénoms en tout sens.

« Comment est-il physiquement ? »

LA question. Blond, irrésistible, pas très musclé mais a du charme, a de superbes fesses et sait utiliser tous ces organes comme il l’entend. J’avais envie de répondre cela mais il me prendrait pour un fou et n’y aurait pas accordé d’attention, pensant que je déraille pendant un instant.

« Tu le connais bien ? Parle-t-il de moi souvent ? » Demanda-t-il à voix haute, comme pour lui-même.

Je me tournai vers lui, il était en train de me regarder mais était concentré à l’intérieur de lui. Je m’avançai vers lui et à ma venue il se rétracta et recula jusqu’à ce qu’il arrive au niveau du mur. Là je mis mon bras gauche contre le mur, près de sa nuque et je lui murmurai :

« Il n’a d’yeux que pour toi, Harry. Il pense tous les jours à toi, et rêve de toi toutes les nuits. Il te regarde à chaque fois que tu es dans son champ de vision. Son cœur bat très fort quand il s’approche de toi et il se comporte souvent comme un idiot parce que tu le troubles. Physiquement je dirai qu’il n’est pas mal du tout mais ce qui importe le plus c’est comment toi tu le trouves physiquement. »

« Hé, t’es flippant là. »

« Pourquoi, tu as trouvé qui c’est ? » Je demande, désormais vraiment proche de son visage. Je sentais le souffle de sa respiration contre mon visage et l’odeur du dehors incrustée dans ses vêtements.

« Je ne sais pas bien… » Répondit-il, penseur. « Est ce que c’est toi ? »

Mon cœur, je ne le sens plus.

Mes poumons, ils m’ont sans doute lâché.

Ma tête, elle tourne en tout sens.

Mes pensées, je n’arrive plus à en rattraper le fil.

À l’intérieur de moi tout tourbillonne et c’est un délice infini.

« Si c’est toi, dis le moi Drago. » Insista-t-il, voulant percer le mystère.



_____

Allez, vous avez bien déguster pour le moment. Je reviendrai la semaine prochaine - avec un peu de chance :p - avec la suite et peut être la fin ^^

Merci, merci de lire jusque là et malgré mes absences, ça compte beaucoup.