- Jure-le-moi…
- Je te le promets ma Lily
- Merci
Et au bout de quelques minutes d’une longue étreinte, il me lâche et nous partons manger. Je retrouve Alice en pleine conversation avec Franck.
- Alors ? Demande Franck.
- Je pense à la botanique. Répond Alice.
- De quoi parlez-vous ?
- Du cours que l’on attend avec le plus d’impatience. Dit alice.
- Ah d’accord.
- Et toi ? Demande Franck.
- Je ne sais pas, je dirais la métamorphose. La fois où on est venu m’annonçait que j’étais une sorcière, c’est le professeur McGonagall qui me l’a dit. Et pour me le prouver, elle a changé l’horloge en une cage énorme avec à l’intérieur un de ses oiseaux qui vous sonne l’heure. S’étais vraiment impressionnant !
Le préfet arrive, coupant court à la conversation en nous donnant nos emplois du temps. Je découvre avec joie que mon premier cours est en commun avec les Serpentard quand James me coupe de mes pensées
.
- Qu’est ce qui te met de si bonne humeur, petite fleure ?
- Je croyais t’avoir dit de ne pas m’appeler ainsi.
- C’est vrai, mais je ne peux m’en empêcher… Alors qu’est ce qui te si bonne humeur ? Demanda t-il, avide.
Je le regarde, perplexe. Qu’est ce qu’il peut être agaçant ! Toujours à se mêler de ce qui ne le regarde pas !
Je décide donc de lui dire ainsi peut-être me laisserez t-il en paix !
- C’est vrai, tu ne peux pas t’en empêcher mais je vais quand même te le dire, En réalité, ce qui me met de si bonne humeur c’est le prochain cours.
- Potions ? ! Eh bien, c’est assez … bizarre !
- Non. Le fait d’être avec lui. Le coupais-je.
- Tu veux dire avec ton Serpentard ? Dit-il avec une haine profonde.
- Oui et c’est avant tout mon ami.
- Tu as de drôle d’ami, me coupa Sirius.
- Non, juste moins de préjugés que toi. Répondis-je. Vous ne juger les gens que par l’apparence et la couleur de leur blason, vous êtes vraiment stupides.
Sur ce, je me lève de mon banc où j’étais assise avec Remmus, Alice et ces quatre autres abrutis afin de me rendre à la bibliothèque. Mon premier cours commence dans un peu plus d’une demi- heure ; J’ai donc le temps de me détendre un peu et rien de mieux qu’un bon livre pour cela !
Je traverse l’immense Château, en réalité, je ne pense pas que s’en ai vraiment un, plutôt une immense labyrinthite où c’est un jeu d’enfants de se perdre ! Mais finalement, je continue d’avancer et trouve enfin la grande porte de la bibliothèque.
J’entrouvre légèrement la porte et la splendeur de la salle m’éblouit. Cette pièce est tellement grande malgré ses rangées d’étagère emplie de diffèrent volumes de tout genre. Je tourne la tête, et je vois la documentaliste, assise derrière son bureau, ces petites lunettes fixait sur son nez droit, ses cheveux blond relevait en un chignon strict. Elle lève les yeux vers moi et me sourit. Doucement elle se met debout et s’approche de moi.
- Bonjour Miss. Je suis Miss Pince. Veux-tu que je te fasse visiter la bibliothèque ?
- Oui, sil-vous plait. Répondis-je, d’une voix un peu timide.
Elle me fit visiter l’immense bibliothèque, m’expliquant où trouver les livres que je cherchai, comment les trouver, les ranger et tout le fonctionnement de la bibliothèque. Au bout de une demi-heure, je regagnai ma salle commune. Du moins, j’essaie. La salle commune se trouve au septième étage du château, l’entrée au détour d’innombrables couloirs.
Enfin les couloirs tant espérer se dessine devant moi.
Le portrait de la Grosse Dame s’agite devant moi, ses yeux se fixent sur moi et sa voix dure s’élève dans les couloirs dessert.
- Le mot de passe ?
***
-Courage.
Le portrait s’ouvre alors afin de me laisser renter dans la Salle commune de ma maison, visiblement d’humeur maussade en s’apercevant que les premiers cours de l’année vont commencer dans une dizaine de minutes. Je m’approche du grand canapé qui fait face au feu.
Franck est assis sur le canapé en compagnie de Remmus et des trois abrutis qui lui servent d’amis !
Je regarde Franck, visiblement en grande conversation avec Remmus.
- Franck, désolée. Tu sais où est Alice ?
- Oui, elle est partie chercher ses affaires.
- D’accord, je la rejoins.
- D’accord. Et Lily, je vous attends ici, dépêchez-vous.
- Ne t’en fais pas !
Je me précipite vers les marches qui montent à notre dortoir. J’ouvre la porte indiquant « 1 ère années, Chambre 1.
- Alice, qu’est ce que tu fais ? On va être en retard !
- J’arrive.
Je me précipite vers mon lit, prend mon manuel de Potions sous le bras, mon sac contenant ma plume et mes parchemins. Alice fait de même, sortant de notre dortoir tel des furies, mot à prendre au pied de la lettre. La porte claque violemment derrière nous et les marches s’effacent sous nos pas.
Franck nous attend, et tous les trois nous précipitâmes vers le portrait. La porte s’ouvre, les couloirs défilent, les marches disparaissent sous le poids de nos pas précipités. Les cachots apparaissent enfin mais le temps nous presse, la porte se referme déjà sans nous attendre …
***
Impossible ! Etre en retard pour le premier cours de la rentrée, non mais vraiment c’est impensable.
Je regarde mes amis, anxieux. Je puisse enfin mon courage, frappe à la porte du cachot. Celle-ci s’ouvre, dévoilant un grand homme, âgées de la trentaine, presque la quarantaine. Il nous regarde, sourit puis il nous laisse entrer.
Je regarde autour de moi, il reste une palliasse où se trouvent deux places libres et une autre où une place est vacante. Je mis installe, me tourne vers mon voisin que je sais pertinemment être Severus.
Le cours commence enfin ! Je n’appellerai pas ça vraiment un cours, puisque notre de professeur de Potions, qui n’est d’autre que le professeur Slughorn, directeur de la maison des Serpentard nous fait un charmant discours des plus ennuyant sur ce début d’année. Et il n’est pas le seul. Tous nos professeurs ce jour là nous dispose d’un éternel et similaire discours. Que cela peut être long, toujours l’explication des règles à respecter, le matériel à fournir, et de ci, et de ça …
Le dernier cours se finit, entouré de mes camarades, je me rends vers la Grande salle, mon estomac me dictant plus que toute autre chose le chemin à suivre.
Je me dirige vers ma table, m’installe à la table des Griffondor. Le diner apparaît comme par enchantement sur notre tablée mais le bonheur ne reste jamais très paisible … |