Opale était allongée sous la fenêtre de la cuisine, au côté d’Harry. Ils écoutaient les informations depuis deux heures mais il n’y avait pas eu de mauvaise nouvelle. Les Dursley étaient eux aussi dans la cuisine sauf leur fils, Dudley, il devait encore martyriser les pauvres enfants du coin.
Opale n’aimait pas du tout le cousin de son meilleur ami. Il le traitait comme un moins que rien alors qu’il savait plus de chose que lui. Dudley était un idiot. La jeune fille tourna la tête du côté droit et vit son ami les bras derrière la tête, les yeux fermé. Il était beau. Opale était depuis quelque temps tombé amoureuse de son meilleur ami, seul Hermione le savait mais ne lui avait rien dit. Elle pensait qu’Harry ne s’intéressait pas aux filles, qu’il se préoccupait d’autre chose que de ces filles qui l’entour. Mais elle gardait espoir, peut-être qu’un jour il ce rendrai compte qu’elle l’aime plus qu’un simple ami.
-Arrête de me regarder comme ça. Lui dit-il sans la regarder. Elle sourit et regarda à nouveau le ciel.
-Tu veux pas qu’on bouge ? Je m’ennuie.
-Encore quelques minutes s’il te plait.
Elle ne répondit pas et ferma les yeux à son tour. C’est au tour d’Harry de regarder la jeune fille, il l’aimait bien. C’était d’ailleurs sa meilleure amie, la première qu’il est eu après Ron. Elle l’avait défendu à plusieurs reprises face aux sarcasmes des Serpentard et surtout de Drago Malefoy. L’aimait-il ? Il ne savait pas vraiment, l’année dernière une fille lui avait tapé dans l’œil, Cho Chang. Mais quand n’ai t-il de maintenant ? Il était perdu.
-Arrête de me regarder comme ça. C’était à son tour de lui dire cette phrase. Il sourit lui aussi mais continua de la fixer. Harry !
-Hum…
-Pourquoi tu me regarde comme ça ?
-Chez pas…Peut-être parce que je te trouve belle. Elle tourna sa tête vers lui et lui sourit, son cœur battait très vite. Prit d’un élan il pencha sa tête vers celle de son amie et alla effleurer les lèvres de la jeune fille, qui elle ferma les yeux, appréciant ce moment.
- Embrasse-moi Harry.
Il écouta la jeune fille et posa ses lèvres sur les siennes. Harry enleva ses lèvres pour regarder Opale. Elle avait toujours les yeux fermés et souriait. Il sourit à son tour avant de reposer, une nouvelle fois, ses lèvres sur celle d’Opale. Mais cette fois le baiser dura plus longtemps et devient langoureux.
-Je me demande ou il est passé. Dit une voix provenant au dessus d’eux, dans la cuisine.
-Surement avec cette fille, comment s’appelle t-elle ? Demanda la voix de Dudley.
-Je ne sais plus…En tout cas il n’est pas dans la maison.
-Je me demande pourquoi il veut regarder les informations. Comme ci les gens de son espèce allait passer dans nos journaux téléviser !
-Parle pas trop fort Dudley, la fenêtre est ouverte. Lui intima Pétunia.
-Désolé chérie.
Harry regarda Opale, qui soufflait tout en secouant la tête de gauche à droite. Elle s’assoit et regarda droit devant elle, Mrs Figgs passa sur le trottoir d’en face avec son petit chariot rempli de courses.
-C’est étonnant qu’elle te demande pas de venir prendre le thé chez elle. Se moqua Opale. Harry pouffa puis s’assoit à son tour.
-Tu veux aller au parc ?
-J’aimerais bien.
Il se leva et aida Opale à se lever, mais quant ils furent tout les deux debout, les Dursley les virent. La jeune fille souffla, ce qui agasse l’oncle Vernon. Depuis qu’Harry était ami avec elle et trainait avec elle, il ne pouvait pas la supporter. Déjà avoir un sorcier chez soit était de trop alors une autre c’était le pire.
-Encore la toi ? Lui dit-il d’un ton mauvais.
-Oui encore là et vous ne pourrez pas changer ça. Je suis amie avec Harry point !
-Qu’est-ce que vous faisiez tout les deux sous la fenêtre ? Vous espionnez ? Harry leva les yeux au ciel, blasé par le comportement de son oncle.
-N’importe quoi…Nous écoutions les informations.
-Pff…
Opale eu un sourire vainqueur puis prit la main d’Harry avant de partir vers le parc. Le brun entrelaça leurs doigts puis une fois dans le parc, ils se dirigent vers la balançoire. Opale s’assoit sur une et Harry la pousse gentiment.
La nuit commençait à tomber mais il faisait toujours aussi chaud, mais par moment un petit vent frais venait leur fouetter le visage. Alors qu’ils discutaient chacun sur une balançoire, le cousin d’Harry arrivait accompagné de sa bande. Ils se mirent devant eux en souriant et croisant les bras puis Opale prit la parole.
-Tu veux pas bouger ton gros cul de devant tu gâche le peut de soleil qu’il reste !
Harry pouffa tandis que Dudley perdit son sourire. Ses potes commencèrent à insulter la jeune fille alors Harry intervint.
-Laissez la tranquille un peu !
-Oh regardez, Potter défend sa petite amie. Ria Dudley suivit de ses amis.
-Au moins lui il en n’a une…Le cousin d’Harry ne riait plus, il regardait Opale avec des yeux noir. Parce que franchement, qui voudrait de toi ? Tu es méchant, moche, gros, tu fais peur à n’importe qu’elle fille. Perso je ne sortirais jamais avec toi !
-La ferme.
-Duddlynouchet s’énerve. Dit Harry. Les amis du concerné riaient au surnom de leur ami.
-LA FERME ! Il serra les poings, et regardait Opale et Harry à tour de rôle.
-Bon…C’est qui que tu as frappé cette fois ? Fit Opale en sa balançant doucement sur sa balançoire.
-Encore un gamin de dix ans.
-Il l’avait cherché. Il à été insolent alors je l’ai frappé.
-Pff…La jeune fille leva les yeux au ciel, ce qui énerva un peu plus Dudley. Qui à l’heure ? Tient Dudley pour une fois tu va servir à quelque chose, donne moi l’heure.
-Va te faire voir. Opale sourit, se lève et se dirige droit sur Dudley. Ayant un peu peur il recule doucement mais ce retrouve bloquer contre ses potes.
-Tu as peur de moi ? Il ne faut pas, je ne vais rien te faire…Elle lui attrape le bras et consulte l’heure. Ma mère va me tuer, je suis en retard.
-Pour ?
-Euh…Je devais aller manger chez…Des amis. Elle lâcha le bras de Dudley qui retomba mollement sur sa jambe. On ce voit à la rentrée Harry.
-Oui…Il la regardait partir mais fut interrompu par son cousin.
-C’est bête ce qui t’arrive Potter. Elle va voir sa mère, elle te lâche pour elle. Sa te fais quoi ?
-De quoi ?
-Qu’elle est une mère et pas toi ? Oh et hier soir je t’ai entendus pleurer, tu as aussi dis un prénom, Cédric…C’est qui ? Ton petit ami. Dit-il en riant tout comme ses amis.
-La ferme ! S’exclama Harry.
-Quoi ? Tu va aller te plaindre à ta mère ? Ah mais oui c’est vrai, tu en n’as plus…Il ria une nouvelle fois mais Harry, en colère, se leva, sortit sa baguette et la mit sous le cou de son cousin, qui faisait moins le malin.
Au même moment le vent se leva et le froid avec. Dudley accusa Harry d’avoir fait quelque chose mais pour une fois il n’avait rien fait. L’élu dit à son cousin de courir et tout les deux parte à grande enjambé sur le chemin de terre.
Opale qui était encore sur le chemin de terre se rendit compte que le froid et le vent se levait. Elle frixonna ses bras et accéléra le pas pour rentrer plus vite. Sa mère allait gueuler, elle lui avait promit de faire attention à l’heure. Alors qu’elle était dans ses pensées, elle entendit courir derrière elle. Elle se retourna et vit Harry et Dudley courir à vive allure, quand l’élu arriva vers elle, il lui prit la main et l’entraîna avec lui.
-Les détraqeurs ? Lui demanda t-elle.
-Oui.
Ils arrivèrent sous un pont et s’arrêtèrent pour souffler. Mais un détraqeurs arriva derrière eux, les deux sorciers dirent à Dudley de courir et c’est ce qu’il fait mais il glissa. Un deuxième détraqeurs entra sous le pont et vola jusqu’à Dudley, Opale courut vers lui pour le protéger mais elle glissa à son tour en laissant tomber sa baguette un peu plus loin. Harry était suspendu contre le mur, le détraqeurs aspirant ses souvenirs. Dudley gisait encore à terre, un détraqeurs lui aspirant, lui aussi, ses pensées.
-Spero patronum, cria Opale, en direction du deuxième détraqeurs, après avoir récupérer sa baguette.
La jeune fille dirigea le deuxième détraqeurs sur le premier, qu’il percuta et qui fit tomber Harry au sol. Il récupéra sa baguette et marcha jusqu’à Dudley et Opale, son cousin était…moche à voir. Opale se releva et ce mit devant Harry.
-Tu as fais quoi pour qu’ils viennent ?
-Je n’ai rien fais justement !
-Qu’est-ce qu’on va faire de lui ? Dit-elle en désignant de la tête Dudley.
-On va le ramener chez moi. Mais avant qu’ils ne se baissent pour le prendre, un détraqeur arriva derrière Opale. Baisse-toi…Spero patronum.
-Merci.
Il lui sourit puis à eux deux ils soulevèrent le corps de Dudley. Ils commencèrent à marcher dans le tunnel quand des pas retentirent. Prit de peur, ils se stoppèrent puis Mrs Figgs apparut.
-Suivez moi tout les deux…enfin trois.
Ils la suivirent et en chemin elle leur dit qu’elle connaissait Dumbledore, que c’était lui qui lui avait demandé de nous surveillé et en particulier Harry.
-Vous êtes une sorcière ? Demanda Opale.
-Non, je suis une cracmol et d’ailleurs ne rangez pas vos baguettes il pourrait y en n’avoir d’autre. Leur dit-elle en regardant partout autour d’eux, pour s’assurer qu’il n’y avait plus de détraqeurs.
-Vous surveiller Harry depuis longtemps ?
-Depuis qu’il à onze ans…Pour toi par contre c’est que de cette année.
-Ah d’accord.
-C’est pour cela que vous m’invitiez boire le thé ? Demanda Harry souriant.
-Oui. Personne ne reparla jusqu’au 4 Privet Drive. Rester bien à l’intérieur et n’utiliser plus vos baguettes !
Les deux adolescents entrèrent avec Dudley sous les bras. Quand Harry ferma la porte, la voix de la tante Pétunia parvint jusqu’à leurs oreilles. L’élu et Opale se regardèrent puis entrèrent dans le salon, ou Pétunia regardait la télé et Vernon mangeait de la glace debout devant le frigo.
-Que c’est t-il passé ? Duddy que ton t-ils fait ? S’exclama la tante en se levant d’un bout pour aider les deux sorciers à mettre son fils sur le canapé.
-Nous n’avons rien fait. Répondit Harry d’un ton las.
-Nous nous sommes fait attaquer par des détraqeurs. Mais je pense qu’il s’en sortira…Expliqua Opale, mal à l’aise.
-Comment peut-on vous croire ?
-C’est la vérité monsieur. Elle leur expliqua alors l’histoire et ils furent choqué par ce qu’ils venaient d’entendre. Je suis désolé pour vous…Euh puis-je téléphoner un instant ?
La tante Pétunia toujours sous le choque hocha la tête et Opale la remercia. Elle téléphona chez elle mais sa mère devait être partit à l’heure qu’il est, personne ne répondait.
-Personne. Elle ce réinstalla près d’Harry.
-Qu’est-ce qu’un détraqeurs ? Demanda poliment et gentiment la tante Pétunia.
-Se sont des gardiens de la prison d’Azkaban. Mais d’habitude ils ne viennent pas dans les rues comme ça…à moins que quelqu’un leur demande. Opale regarda Harry inquiète. Quelqu’un tant veux Harry.
L’oncle Vernon allait parler quand un hibou arriva par la baie vitrée. Elle se posa sur le fauteuil à droite des deux sorciers. Opale, étant la plus proche du hibou, prit la lettre et caressa la tête de l’oiseau. Elle ouvre la missive et lit à voix haute ce qu’elle contenait.
Cher Mr Potter, Chère Miss Kazan,
Nous avons reçu des informations selon lesquelles vous auriez
Exécuté le sortilège du Patronus ce soir à neuf heures vingt trois,
Dans une zone habité par des Moldus et en présence de l’un deux.
La gravité de cette violation du décret sur la Restriction de l’usage de la magie chez les sorciers de premier cycle entraîne d’office votre expulsion de l’école de sorcellerie Poudlard. Des représentants du Ministère ce présenteront à votre domicile dans les plus bref délais afin de procéder à la destruction de votre baguette magique.
Mr Potter, suite à un premier avertissement nous avons le regret de vous informer que votre présence sera requise lors d’une audience disciplinaire qui aura lieu au Ministère de la Magie le 12 août prochain à neuf heures précises.
La présence de Miss Kazan sera aussi requise le 12 août à dix heures précises.
Mafalda Hopkrik
Service des usages abusifs de la magie
Ministère de la Magie
Ils se regardèrent la bouche entrouverte. Comment osaient-ils leur supprimer leurs baguettes ? Et les expulser de Poudlard ? Ils ne pouvaient pas ! Opale pensait à ce que sa mère dirait, elle allait la disputer pour avoir utilisé la magie en dehors de Poudlard.
L’oncle Vernon, déjà bien énervé par son neveu et sa copine hurla ces quelques mots.
-Que ce passe t-il encore ?
-Nous sommes virés de Poudlard ! Dit Opale en donnant la lettre à Harry, qui la relu une nouvelle fois.
-Pardon ?
-Ne m’obligez pas à le répéter…Je vais aller chez moi et attendre ma mère. On ce voit demain ?
Harry hocha la tête puis elle commença à partir quand un deuxième hibou entra dans le salon. Opale ce retourna et vit que c’était sa chouette Loyal, la jeune fille fronça les sourcils et s’approcha de sa chouette. Quand elle prit sa lettre, sa chouette lui pinça gentiment le doigt.
-Qu’est-ce que c’est ? Demanda la tante.
-Je crois que sa vient de ma mère. Elle ouvrit la lettre et lit la missive.
Opale,
Je suis au courant de ce qu’il c’est passer ce soir.
On n’en discutera plus tard, je vais venir te chercher et nous allons passer la soirée chez les Malefoy.
A tout de suite.
Ta mère.
Son cœur se serra en voyant le nom de famille de son ennemi de toujours. Elle leva les yeux vers Harry, qui la regardait interrogative. Elle haussa les épaules puis reporta son attention sur sa chouette. Tout le monde était calme et de temps en temps Dudley poussait des gémissements, rien de bien grave.
Un hululement retentit et une troisième chouette entra pour se poser sur le dossier du fauteuil dans lequel Harry était appuyé. Il prit lui aussi la lettre sous les insultes de son oncle et la lut.
Harry,
Dumbledore vient d’arriver au Ministère de la Magie.
NE QUITTE SURTOUT PAS LA MAISON COUTE QUE COUTE. ET NE REND
PAS TA BAGUETTE.
Arthur Weasley.
Plus tard dans la soirée, alors qu’Harry et Opale ce câlinait dans la chambre de celui-ci, l’oncle Vernon poussa un juron tandis que sa femme poussa un crie. Les deux sorciers arrêtèrent de s’embrasser et poussèrent tout les deux un soupire. Harry se leva et demanda à Opale de rester ici le temps d’aller voir ce qu’il se passait.
Il remonta accompagner d’une personne dont la jeune fille connaissait parfaitement bien. Quand il ouvrit la porte, la jeune fille leva les yeux vers lui et regarda la personne qui le précédait.
-Maman.
-Opale. Nous y allons, Lucius va régler ce problème dans les heures qui suivent, ne trainons pas. Et elle ressortit aussi vite qu’elle était entrée. Opale se leva et ce positionna devant Harry.
-Je crois qu’on se verra qu’à la rentrée.
-Je crois aussi. Il lui caressa la joue et elle lui sourit. Tu devrais y aller, ta mère n’a pas l’air patiente.
-Pas pour ce genre de chose. Elle ria puis vint embrasser les lèvres de l’élu qui répondit à son baiser. Leurs langues jouaient ensemble, Harry la serra un peu plus dans ses bras pour faire durer le baiser. Je t’aime.
-Moi aussi.
Elle l’embrassa une dernière fois et sortit de la chambre. Sa mère l’attendait dans le salon ou l’oncle et la tante était assis et ne disait rien. Mais Opale put remarquer que l’oncle Vernon regardait la grande beauté de sa mère. Elle ce racla la gorge et sa mère lui tendit le bras, Opale s’agrippa à sa mère avant de transplaner dans le manoir des Malefoy.
Sa changeait vraiment de chez Harry, ici c’était plutôt lugubre, froid, noir, sa ne donnait pas du tout envie d’y rester. Alors qu’elle regardait la « décoration » dans le hall, sa mère l’appela. Elles gravirent les marches qui les mènent à un grand salon ou une belle table en noir y était, ainsi qu’une grosse cheminée ou le feu était présent. Marie, la mère d’Opale, ouvrit une porte au fond de la pièce et s’y engouffra suivit de celle-ci. Dans cette pièce, qui était un deuxième salon, plus chaleureux était installer les Malefoy au complet. Opale déglutit, elle avait toujours eu un peu peur de Lucius Malefoy, il était assez imposant. Marie s’installa au près de Narcissa qui avait une tasse de thé dans les mains. Lucius et Drago était tous deux dans un fauteuil de part et d’autre du sofa et en face, dans lequel les deux femmes étaient assise.
-Ne reste pas planter la et vient dire bonjours. Dit sa mère, agacée par son comportement.
Opale ne dit rien et vient saluer les Malefoy comme on lui avait apprit dès son plus jeune âge, c’est-à-dire s’agenouiller devant eux. Sauf qu’elle ne le fit pas à Drago, pour ceux de son âge ou en dessous, il fallait qu’elle les embrasse. Elle fit donc la bise au jeune homme, qui lui avait un sourire narquois collé au visage. Opale vint s’installer entre les deux femmes et croisa les bras.
-J’ai appris il n’y a pas très longtemps que tu avais usé de magie dans un endroit moldu. Commença Lucius. Et en compagnie de l’un d’entre eux. Qui avait-il pour que cela arrive ?
-Des détraqeurs. Répondit Opale, d’une toute petite voix. Narcissa qui avait entendu retient un hoquet de surprise.
-Je n’ai pas entendu.
-Des détraqeurs !
-Comment est-ce possible ? Ils ne peuvent pas sortir de la prison d’Azkaban. S’exclama Lucius en ce levant pour aller ce mettre devant la fenêtre.
-Sauf si ont leurs demandes. Intervint la jeune sorcière.
-Exact…Je t’accompagnerais pour ton audience et j’irais en parler demain avec le Ministre. Il se tourna vers eux et encra ses iris bleu gris dans celle bleu verte d’Opale. Pourquoi était tu sous ce tunnel ?
-J’étais avec un ami…
-Je parie que c’était Potter ! Intervint Drago qui la scrutait.
-Peu importe…Nous étions dans le parc quand le vent c’est lever. Nous avons donc courus et nous nous sommes réfugier sous le tunnel sauf qu’ils sont arrivés.
-Hum…Il se tourna pour regarder le paysage derrière la fenêtre. Personne ne parlait, Opale en profita pour regarder chaque recoin de la grande pièce. Il y avait des meubles partout, des portraits, une grande bibliothèque, deux fauteuils, sofa, table basse. Drago va lui montrer sa chambre.
-Oui père.
Il se leva tout comme Opale et tous deux sortirent du salon pour ce retrouvé dans un long couloir. En chemin il lui montra la cuisine ou les elfes de maisons était nombreux, la salle à manger, les salles de bains, toilettes etc…Ils prirent l’escalier sur leur droite et montèrent. En face de l’escalier il y avait une porte, le blond lui dit que c’était le bureau de son père et qu’ils n’avaient pas le droit d’y entrer. Drago l’emmena à droite ou trois portes y étaient, la première était une salle de bain, la deuxième la chambre ou Marie allait s’installer et la troisième celle d’Opale.
-Et le merci sa t’écorcherais la bouche ? Lui dit-il alors qu’elle était déjà rentrer dans sa nouvelle chambre.
-La tienne doit l’être alors.
-Tu es drôle Kazan !
-Hum…Elle se tourna vers lui. Comment mes affaires se sont retrouvées ici ?
-Disons que ta mère à eu la brillante idée de te laisser là avant la rentrée.
-Quoi ? Ne me dis pas que je serais avec toi pendant deux semaines ?
-Bien sur que si ! Il lui sourit. Sa n’à pas l’air de t’enchantée.
-Pas du tout. Grinça t-elle en se tournant pour inspecter la chambre. Elle était grande avec au milieu un lit à baldaquin de couleur vert foncé, des meubles, un miroir et une mini bibliothèque.
-Tu as embellie Opale depuis deux mois.
-J’étais moche avant ? Dit-elle en se tournant et s’avançant vers lui.
-Je n’ai pas dis ça…Mais disons que maintenant tu es…Il s’approcha de son oreille et lui murmura ce mot : Baisable. La main de la jeune fille partie toute seule sur la joue pâle du garçon, il ce recula et mit sa main sur sa joue qui commençait à devenir rouge.
-Va te faire foutre Malefoy !
Sur cette phrase elle ferma la porte, en la claquant fortement, et s’assit sur le lit. Comment pouvait-il dire ça ? Quel connard, se dit-elle. Elle souffla et tout en soufflant elle se coucha en fermant les yeux. Sous la fatigue de sa journée la jeune fille s’endormit tout habillée. |