-Tu es prête Opale ? Demanda Narcissa en entrant dans la chambre de l’adolescente.
-Bientôt. La mère de son ennemi allait partir quand la jeune fille reprit. Merci Narcissa.
-Pourquoi me remercies-tu ?
-Déjà de m’avoir accueillie chez vous, nourrit, blanchie…Et de m’avoir protégé de ma mère.
-Ce n’est rien Opale. Je n’aime seulement pas qu’on jette ce genre de sort sur des enfants. Opale sourit puis prit ses valises avec l’aide de Narcissa jusqu’au grand hall.
-Tu es enfin là ! Lui dit sa mère, sèchement. La brune, blessé baissa la tête sans rien dire. Narcissa posa sa main sur l’épaule de l’adolescente en guise de compassion.
-C’est un peu difficile pour elle d’arriver jusqu’ici avec toutes ses valises sans l’aide de sa baguette ! Intervint la blonde.
-Ne te mêle pas de ça Cissy. Au moins Drago est ponctuelle.
Opale releva la tête vers le blond et lui gratifia un regard noir auquel il répondit par un sourire en coin.
-Je vais te rendre ta baguette mais j’espère pour toi que les punitions que je t’ai admis t’on fait comprendre les choses.
-Oui maman.
-Je t’ai déjà dit de m’appeler mère. Elle s’avança vers sa fille dans le but de lui mettre une gifle mais Narcissa intervint en disant qu’ils allaient louper le train. Marie rendit donc la baguette à Opale puis grâce à Narcissa transplantèrent à King Cross.
-Je vais voir si je ne trouve pas Blaise et Pansy. Au revoir mère. Dit Drago avant de s’éloigner dans la foule.
-Encore merci Narcissa.
-Je t’en pris. Elle est devenue de plus en plus violente avec toi…
-Je trouve aussi. Mais je m’en remettrais. Elle lui sourit et vit ses amis un peu plus loin, surement en train de la chercher. Moi aussi je vais rejoindre mes amis, au revoir Madame Malefoy. Elle étreignit rapidement la mère de Drago avant de partir elle aussi vers ses amis sous l’œil triste de Narcissa.
Elle retrouva ses amis dans le train, ils venaient à peine de monter à l’intérieur. Elle embrassa Ron avant de se jeter dans les bras de sa meilleure amie et de lui susurrer quelque mot à l’oreille. Après avoir serré Hermione dans ses bras, elle se tourna vers Harry. Est-ce que leurs amis savaient pour eux deux ? Il acquiesça, comme s’il avait pu lire dans sa tête et vint prendre sa petite amie par les hanches avant de poser ses lèvres sur les siennes, pour un long baiser.
Ils étaient tous installer dans un compartiment à parler de leurs vacances. Hermione leur fit un long discours sur la France et ses cultures. Ron était resté chez lui tout comme Harry.
-Et toi Opale ? Tu as fais quoi de tes vacances ? Lui posa Hermione en se tournant vers elle.
-Oh et bien…Le premier mois je suis allé en Irlande avec ma mère revoir de la famille et le deuxième mois je suis resté chez moi.
-Tu as passé les deux dernières semaines chez les Malefoy ? Dit Ron.
-Ouais…Mais j’aimerais ne pas en parler s’il vous plait. Elle regarda Hermione avec insistance et la jeune fille compris qu’elle lui dirait tout plus tard. Tient vous êtes préfets ? Remarqua Opale, souriante.
-Oui ! J’étais tellement heureuse de recevoir cet insigne.
-Je me doute. Ria la brune.
-Moi je ne revenais pas. J’aurais crue qu’Harry serait à ma place…Dit Ron à son tour.
-Soit pas triste Harry. Lui dit Opale en voyant la mine déçu de son petit ami. Je pense que Dumbledore c’est ce qu’il fait !
-Si tu le dis…
Ils partirent ensuite sur une toute autre discussion, le Quiddich pour les deux garçons et les cours pour les filles. Elles espéraient avoir un nouveau prof de défense contre les forces du mal aussi bien que le professeur Lupin lors de leur troisième année.
Au bout d’une heure de train, Opale sortit du compartiment pour aller ce dégourdir les jambes. Elle tomba sur Ginny et son petit ami Dean Thomas, elle les salua avant de discuter un moment avec eux.
-C’est vrai que tu es avec Harry ? Lui demanda Ginny au bout d’un moment.
-Oui. Pourquoi ?
-Je voulais être sur des paroles de mon frère. Elle lui sourit mais Opale n’était pas dupe, elle savait que la rousse était amoureuse d’Harry.
-Bon je vous laisse…En amoureux. Dit-elle en appuyant sur les deux derniers mots.
Ginny lui fit un sourire faux tandis que Dean prenait sa petite amie par la taille pour l’emmener plus loin. Opale et la plus jeune des Weasley ne s’entendaient plus trop bien, depuis que la brune savait qu’elle était amoureuse d’Harry. Quand Ginny à su par Ron une semaine plus tôt que sa rivale sortait avec celui qu’elle aimait, elle était en colère. En colère contre elle-même, pourquoi ne pas lui avoir dit plutôt ? Alors, la rousse à demander à Dean Thomas de sortir avec elle en n’espérant l’oublier.
Opale toujours en arpentant les allées du train croisa cette fois ci une amie à elle. Pansy Parkinson. Elles étaient heureuse de ce revoir. Pansy avec un grand sourire emmena son amie dans le compartiment qu’elle partageait avec Blaise Zabinni, Millicent Bulstrode et Marcus Flint. La brune s’installa donc en face de Flint et à côté de Pansy.
-Raconte-moi tes vacances en Irlande Op’. Lui demanda Pansy toute excité.
-Il n’y a pas grand-chose à raconter tu sais. Je suis allée voir ma famille rien de bien passionnant.
-Oh ! Opale sourit face aux regards boudeurs de son amie.
-Et toi ? Il me semble que tu es partie en Australie.
-Exact, à Sydney et c’était juste génial. Le soleil, la plage, les beaux garçons. Ria t-elle suivit d’Opale, Blaise leva les yeux au ciel mais avait le sourire aux lèvres tandis que Marcus observait la brune. D’ailleurs tu aurais du venir avec moi.
-Je ne pouvais pas désolé.
-Une prochaine fois…Alors comme ça tu es allé deux semaines chez Drago ?
-Hum…Elle tourne la tête vers le paysage. Je n’ai pas envie d’en parler.
-C’est à cause de Drago ?
-Il a été désagréable comme toujours mais il n’y a pas que ça…Elle tourne sa tête vers Pansy, lui sourit puis lui dit : On n’en parle se demain soir dans notre coin ?
-Oui. La Serpentard sourit à son amie quand la dame qui pousse son chariot de bonbons ouvre la porte.
-Vous voulez quelque chose ?
Les trois Serpentards se précipitèrent vers la vieille dame alors qu’Opale regardait défiler le paysage. Rien quand n’évoquant sont séjour chez les Malefoy, elle se voit dans sa chambre, allongé au sol, faible, devant sa mère lui jetant le sortilège Doloris. La brune fut interrompue par la voix de Pansy, lui demandant si elle ne voulait rien.
-Non merci. Je ferais bien de retourner vers mes amis. Elle se leva. On se voit plus tard Pans’. La Serpentard acquiesça en mettant un fondant du chaudron dans sa bouche.
Elle sortit du compartiment après un dernier signe à sa copine puis retourna vers son compartiment ou l’attendait le trio d’or. Toujours dans ses pensées, elle ne vit pas la personne qui arrivait en face d’elle. C’est seulement quand elle ce le prit en pleine face, qu’elle le remarqua.
-Désolé…Oh Neville, excuse moi j’étais dans mes pensées.
-Ce n’est pas grave. Il lui sourit. Il ce baissa pour ramasser une plante.
-Qu’est-ce que c’est ?
-C’est une Mimbulus Mimbletonia. Devant l’air interrogatif de la jeune fille, il expliqua. C’est une plante très rare, je l’ai eu pour mon anniversaire, tu sais que j’adore les plantes. Elle acquiesce et l’invita à continuer. Je vais la montrer au professeur Chourave, je ne pense pas qu’il y en n’a dans les serres de Poudlard.
-Je ne sais pas moi-même, je n’ai jamais regardé les autres plantes…Dit moi Neville ça fait quoi si on touche ces pustules ?
Mais avant qu’il n’ait pu dire quoi que se soit, Opale toucha une des nombreuses pustules, qui fit jaillir un épais liquide vert et malodorant. La brune recula légèrement mais en reçut tout de même dans ses cheveux, ses vêtements et sur son visage. Opale s’essuya les yeux et la bouche à l’aide de ses mains et regarda Neville d’un air ébahi.
-Je suis désolé Opale…Je ne savais pas ce que sa faisait, je n’avais pas encore essayé. Tu ne m’en veux pas hein ?
-Non…C’est aussi de ma faute…Sa s’enlève bien ?
-Aucune idée. Dit-il en haussant les épaules.
-En tout cas sa pue ! Je vais aller me changer, on ce voit plus tard.
-Ouais.
Opale se dépêcha de rentrer dans son compartiment ou elle raconta ce qu’il venait de ce passer à ses amis. Elle sortit de nouveau vêtements de sa valise avant de partir vers les toilettes, en espérant croiser personne. Mais la malchance fut de son côté, son ennemi étant au toilette l’attaqua.
-C’est quoi cette odeur Kazan ?
-Fou moi la paix Malefoy !
-A ce qu’il parait tu sors avec Potter ?
-Je t’ai dis de me foutre la paix Malefoy ! Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans cette phrase ? Ton cerveau est tellement ratatiné que tu ne comprends plus rien ? Elle s’installa devant la glace et ce rinça le visage.
-Tu es drôle Kazan ! Tu n’as pas répondu à ma question.
-Et je ne répondrais pas…Elle prit sa baguette et la pointa sur elle. Récurvite.
-Tu sens toujours aussi mauvais ! Ricana Drago.
-Pourquoi tu es encore là ?
-Pour te faire chier Kazan voyons.
Elle soupira en secouant la tête de droite à gauche et partit s’enfermer dans une cabine ou elle ce changea. Quand elle ressortit, Malefoy était toujours là. Elle soupira une nouvelle fois puis sortit son parfum dans la poche de son jean sale. Opale ce parfuma sous le regard de son ennemi et commença à sortir mais il la retient par le bras.
-Je le serais si tu sors avec Potter.
-En quoi sa te regarde ? Serait tu jaloux Malefoy ?
Elle sourit et sans attendre une réponse de sa part sortit et partit dans son compartiment. Elle remit ses vêtements dans sa valise et s’assit à côté d’Hermione ou elles parlèrent tout le reste du trajet.
• ◦˚ஐ˚◦ •
Les diligences arrivèrent une à une devant les nombreux élèves. Les premières étaient tous impressionné. Opale, Harry, Hermione et Ron arrivèrent les derniers et la dernière calèche arriva près d’eux. Harry eu un sursaut en voyant l’animal qui tirait ces calèches.
-Vous les voyez ? Questionna t-il.
-Quoi ? Ron ce mit à la hauteur de son ami et regarda devant lui. Il n’y a rien Harry !
-Il n’y a jamais rien eu…Hermione monta à bord de la calèche ou une jeune fille blonde lisait le Chicaneur. Vous venez. Ils montèrent à bord et alors que la calèche allait partir, quelqu’un monta.
-Neville, éloigne ta plante loin de moi d’accord ! S’exclama Opale sous le rire du Gryffondor. Au faite tu es ? Dit-elle à la blonde.
-Oh désolé je ne me suis pas présenté. Je suis Luna Lovegood. Répondit-elle d’une voix rêveuse.
Etrange, se dit Opale. Mais elle à l’air sympa.
• ◦˚ஐ˚◦ •
Assise à la table des Gryffondor entouré de ses amis, Opale regardait les professeurs. En fin de table, une femme tout de rose vêtu souriait toute seule, en regardant les élèves. Mais la brune ce demanda ou elle l’avait vue, parce que oui elle lui disait quelque chose.
-Dolores Ombrage ! S’exclamèrent Harry et Opale en même temps. Ils se regardèrent et ce sourire.
-Qu’est-ce vous dîtes ?
-Dolores Ombrage, elle était à nos audiences.
-Elle fait donc partie du Ministère de la magie ! Dit Hermione en la regardant attentivement. En tout cas elle aime le rose.
-Je ne vois pas Hagrid…Fit Ron en regardant la table des professeurs.
-Je me demande ou il peut être. C’est Gobe-Planche qui le remplace encore une fois. Je n’aime pas cette prof ! Dit Opale en croisant les bras contre sa poitrine.
Les premières années furent accueillies par les différentes maisons et Dumbledore se leva pour venir au centre de l’estrade. Tous les regards se portèrent sur lui et il commença son récit.
-Je souhaite la bienvenu aux nouveaux et aux anciens bons retours parmi nous. Il y a un temps pour les discours mais je crois que ce n’est pas pour l’instant…Bonne appétit.
Il repartit s’asseoir et les tables furent remplis de mets plus succulents les uns que les autres. Ron s’en donna à cœur joie, au n’aurait dit qu’il n’avait pas mangé pendant un mois. Ce que lui fit remarquer Hermione en le frappant au bras sous le rire d’Opale et le regard rieur d’Harry. Durant le repas Opale regarda en face d’elle, Drago Malefoy la scrutait du regard. Qu’avait-il ? La jeune fille repensa aux paroles de son ennemi lors du trajet dans le train, il voulait savoir si oui ou non elle sortait avec Harry. A la fin du repas, Dumbledore reprit place sur l’estrade et reprit donc la parole.
-Bien, j’espère que ce festin vous à remplis le ventre. J’aimerais d’abord vous rappeler pour certains et apprendre pour d’autre, que la forêt interdite est comme son nom l’indique interdite. Il posa son regard sur les quatre amis assis à la table des Gryffondors. Il continua : Monsieur Rusard le concierge, m’a encore dit de vous rappeler que la magie est formellement interdite dans les couloirs ainsi que d’autre chose qui sont inscrite sur une liste sur son bureau. Nous accueillons cette année deux nouveaux professeurs, le professeur Gobe-Planche revient pour occuper le poste de soin aux créatures magiques. Les élèves applaudissent tandis que le professeur se leva en s’inclinant légèrement avant de se rassoir. S’il vous plait…Et le professeur Ombrage qui occupera la place de défense contre les forces du mal. La aussi il y eu des applaudissements.
Alors qu’il allait reprendre la parole un léger « hum hum » se fit entendre. Le directeur se tut et regarda en direction de Dolores Ombrage, qui venait de se lever et s’approcher au milieu de l’estrade. Tous les élèves regardaient attentivement cette femme, qui venait d’interrompre Dumbledore, c’était la première fois que cela arrivait. Elle prit donc la parole.
-C’est un grand plaisir de revenir à Poudlard et de voir ces visages heureux me regarder. Opale regarda partout mais personne n’était heureux au contraire. J’espère que nous deviendrons vite amie…
-Ouais ben on verra ça. Murmura Opale pour elle-même.
-*…Le Ministère de la magie a toujours accordé une importance primordiale à l’éducation des jeunes sorciers et des jeunes sorcières. Les quelques dons que vous avez pu recevoir à votre naissance ne se révéleraient pas d’une très grandes utilité si une instruction attentive ne se chargeait de les cultiver et de les affiner. L’ancien savoir dont la communauté des sorciers est l’unique dépositaire doit être transmis aux nouvelles générations, si nous ne voulons pas qu’il se perde à jamais. Le trésor de la connaissance magique amassé par nos ancêtres doit être conservé, enrichi, bonifié, par ceux qui sont appelés à la noble mission de l’enseignement. Elle marqua une pause et avec un sourire regarda l’assemblé d’élève devant elle, qui ne disait rien. Hum hum…Chaque directeur, chaque directrice de Poudlard a apporté quelque chose de nouveau en accomplissant la lourde tâche de gouverner cette école historique et c’est ainsi qu’il doit en être car l’absence de progrès ne doit pas être encouragé pour autant, car nos traditions éprouvées par le temps n’ont souvent nul besoin d’être modifiées. Un équilibre entre l’ancien et le nouveau, entre la pérennité et le changement, entre la tradition et l’innovation car certains changements seront pour le mieux alors que d’autres, à l’épreuve du temps, apparaîtrons comme des erreurs de jugement. De même, certaines coutumes anciennes seront conservées à juste titre tandis que d’autres, usées et démodées, devront être abandonnées. Aussi, n’hésitons pas à entrer dans une ère nouvelle d’ouverture, d’efficacité, de responsabilité, avec la volonté de préserver ce qui doit être préservé, d’améliorer ce qui doit être amélioré, et de tailler dans le vif chaque fois que nous serons confrontés à des pratiques dont l’interdiction s’impose.
Elle retourna s’asseoir toujours son sourire collé au visage. Personne ne parlait, le directeur avait l’air surpris comme tous les autres professeurs. Opale qui n’avait strictement rien compris à son charabia demanda à ses amis s’ils avaient compris. Seule, Hermione avait compris de quoi il s’agissait. Le Ministère allait intervenir dans les affaires de Poudlard. Opale tourna sa tête vers le professeur Ombrage, qui n’avait toujours pas enlevé son stupide sourire de son visage, puis tout le monde se leva après que Dumbledore leur ai demandé d’aller tranquillement dans leur dortoirs.
-Ron et moi on va vous laissez monter ensemble, nous devons nous occupé des premières années. Informa Hermione.
-Ah oui c’est vrai…Bon ben à toute à l’heure Harry. A demain Opale.
Les deux préfets partirent à la rencontre des nouveaux venus tandis qu’Opale et Harry montèrent jusqu’à la tour de Gryffondor. Arrivé dans celle-ci, beaucoup allèrent se coucher, les deux amoureux attendirent qu’il ne reste plus grand monde pour pouvoir aller ce coucher à leur tour. Opale monta sur la première marche menant à son dortoir et se retourna vers Harry, qui l’avait suivit. Elle plaça ses bras autour du cou de son copain et posa ses lèvres sur les siennes.
-Bonne nuit Harry. Lui dit-elle après voir mit fin au baisé.
-A demain Op’. Il l’embrassa une dernière fois et la laissa monter l’escalier.
Opale arriva dans sa chambre qu’elle partageait avec Hermione et deux autres filles du nom de Lavande Brown –qu’elle n’aimait pas- et Parvati Patil. La jeune fille fouilla dans sa valise pour prendre de quoi dormir et avec l’aide de sa baguette rangea ce qu’il y restait dans l’armoire incrusté dans le mur à gauche de son lit. Pendant qu’il n’y avait personne dans la salle de bain, elle alla prendre une douche et ce mettre en pyjama avant de ce coucher et s’endormir morte de fatigue. |