C’est ici que chie frère,

Mais aussi que chie père,

Ainsi que chie mère

Et surtout que chie pote.

Car jamais ils ne chiffrèrent

Exactement la chimère

Que, sans vergogne, ils chipèrent,

Mais, après tout, pourquoi on chipote ?

Pourquoi on chie noie ?

On n’est pourtant pas chinois.

Car enfin ! ce n’est parce que celui qui chie s’terra,

Que pour autant on lui offrira un chistera.

Non ! ce n’est pas parce que celui qui chie peut se taire,

Que forcément on va lui donner des Chipster.

Nous ne sommes pas des chipies,

Certes, on chie, pis...

Pis on chicane,

Mais delà à ce que l’on chie canne,

En gueulant que la partie est cheatée...

Non ! Faut pas que l’on chie pendule,

Ni, d’ailleurs, que tout court l’on chie, té !

Car ça risque de ne pas plaire aux chippendales,

Surtout si en plus on joue avec leur chipolata.

Et c’est pour ça qu’il chie, Paul, en tas.

Qu’il chie coréen

Et qu’il aime la chicorée, hein ?

Alors, vas-y, chie, va !

Mais surtout, ne te prends jamais pour Shiva.

(17/03/19)