Voiciiii, le chapitre 2 de ma magnifique, sublissime, splendide fiction ! Wahou ! (ou pas hein) Que dire, que dire ? J'espère qu'il trouveras, comme toujours, une place dans votre coeur (ouh, je deviens culcul faut me pardonner, je suis devenue une Jane Austenoise, et j'aime Mr.Darcy, voila, c'est dit) (mais je vous promets que j'aime le HPDM encore plus :D)... Donc voila, je vais me taire, mais avant je voudrais remercier quelques personnes. Tout d'abord, ma bêta May0, qui m'a à nouveau fait le plaisir de corriger ce chapitre avant de partir pour Dublin ! Et sans qui je ne connaîtrais pas le HPDM, et je n'aurais personne avec qui discuter de toutes ces petits choses qu'ils se font mwahaha. Je tenais à remercier les revieweuses :) YumeAmbroise : Parce que tu es la première à m'avoir lue ici, un grand hourra pour toi ! Haha je suis fière de moi, j'arrive à maintenir le suspense, c'est génial (enfin pour moi hein :p). J'espère que je ne te tortures pas trop, enfin, un nouveau chapitre de poster, et le trois va suivre bientôt, faut juste laisser un peu de temps à ma bêta (il est écrit ouiouioui !!) :) alors j'espère aussi que tu me pardonnes ! Morphine: Je cède à vos demandes de suite huhu ^^ contentes que la réplique te plaise, j'ai un humour assez disons spécial donc voilà, je m'amuse un peu seule parfois. T'avoir fait rire est donc un grand bonheur pour moi ! Merci merci & j'espère que la suite va te satisfaire ^^" Last but not least ... Maelyne : Un grand merci à toi également, encore une fois, j'espère que ton attente ne sera pas décue. J'ai l'impression de me répéter un peu, mais je suppose que c'est normal, après tout, mes attentes en tant "que folle qui écrit" sont avant tout de vous satisfaire et de vous apporter un moment de bonheur ! Bonne lecture les zamis ! R&R please !! Chapitre deux : Plus que des mots. - Draco, ça va ? – demanda Hermione, quelque peu alarmée. Après tout, un Malfoy qui restait la bouche grande ouverte, et ce, pendant plus d’une minute, c’était assez inquiétant. Non seulement Draco avait l’air complètement stupide, mais en plus, sa classe habituelle était réduite au néant face à son air d’ahuri. - Dommage qu’Harry ne soit pas là – lui chuchota Ron narquois. Son murmure la fit sursauter et sortir de ses pensées. Hermione tourna alors à nouveau son attention vers Draco, dont la bouche restait obstinément béante. Dans la tête de Draco Malfoy, une seule phrase se dégageait de l’incohérence que la réplique presque anodine de Potter avait fait surgir. Et cette même phrase martelait son pauvre crâne tant et si bien, qu’il était dans l’incapacité totale de retrouver ses esprits et de fermer sa bouche. Au bout de ce qui parut une éternité, il sembla enfin réaliser le spectacle qu’il donnait, pour le plus grand plaisir de Ronald Weasley, qui songeait même à immortaliser le moment avec son nouvel appareil numérique (un cadeau du petit Potter, qui gagnait bien sa vie…), et referma sa bouche sur le filet de bave qui menaçait de couler à tout instant. Il regarda autour de lui, inquiet, et ayant visiblement perdu toute notion de temps et d’espace. Hermione décida de l’aider un peu, car décidément, ce mec était bouché, même s’il s’appelait Malfoy. - Draco, je me répète mais, ça va ? - Bien sûr que ça va, madame Weasley, mais merci de vous en inquiéter. Laissez-moi néanmoins observer que votre humble mari nécessite plus votre aide, il a l’air d’être emmêlé … A ces mots, Hermione se retourna vers Ron, qui, en effet, s’était empêtré dans le papier cadeau qui avait servi à emballer son nouvel appareil photo. - Merlin ! – s’écria-t-elle avant de voler à son secours, Malfoy ne voulait pas de son aide, eh bien tant pis pour ses fesses. En attendant, celles de Ron criaientun manque d’affection qu’elle comptait bien combler… Malfoy en profita pour s’éclipser discrètement, priant tous les saints que personne hormis Hermione et Weasley ne l’ait vu dans un tel état. Pour une phrase de Potty ! Une remarque débile ! Comment pouvait-il être dans un état pareil ? C’est comme si t’étaisbaisable sans gel. Merlin, comment avait-il pu dire cela ! Potter ! C’était … répugnant voilà! Et pourquoi avait-il lâché ça ? Cette phrase était-elle sensée le blesser ? Le révulser ? - En tout cas, pour la révulsion, c’est gagné mon cher Survivant ! – siffla-t-il entre ses dents – et pour me baiser… tu peux toujours courir. A cette pensée, le sang lui monta au visage. Merde, encore. Retour chez lui. Un appartement vide, immaculé, rangé. Rien à faire. Et le sang qui lui montait au visage. Potter qui obnibulait, une fois de plus, tous ses esprits. Et pourquoi toutes les phrases qu’il lui avait adressées lui avaient-elles parues creuses, vides de sens ? Comme si ses insultes avaient perdu de leur vitalité, de leur raison d’être. Comme si entre Potter et lui, il aurait pu y avoir autre chose que de la haine. Et cette phrase. Comment des mots pouvaient-ils avoir une telle influence sur sa physionomie et sa psychologie ? Potter était un imbécile, un bon à rien. Et pourtant, il était parfait. - M’éneeeeeeerve – jura Draco en lançant un livre à travers son appartement immaculé. Désormais, un livre venait troubler l’ordre qui y régnait. Et puis zut, qui avait dit que Potter devait lui gâcher sa soirée ? Il en avait marre de réfléchir, marre que le Survivant l’accable par son omniprésence continuelle. Marre aussi de tenter de déchiffrer ce « t’es baisable sans gel » et la signification du froid qui l’avait assailli depuis qu’Hermione avait viré Potter. Malfoy allait sortir, et s’abrutir. De l’alcool, de la musique à fond les manettes, des mecs baisables, des vrais, et ça serait parfait. Il oublierait Potter. Il passerait une bonne soirée, la tête vide. Vide de Potter, vide d’insultes dénuées de sens, vide de questions existentielles à la noix. C’était sans compter sur son imprévisible destin qui le rattrapait à grand pas. Potter sonnait à sa porte, et Malfoy ouvrait, et tombait tombait, dans un gouffre sans fin. - Aaaaah ! – s’écria Draco en se réveillant en sueur. Génial, il s’était endormi dans son bain. Enfin, au moins il était propre et pouvait sortir. - Merlin, je suis pitoyable, j’ai vraiment besoin d’alcool. – se dit-il tout en transplanant devant sa boîte sorcière préférée « Alibi ». Il entra. De dehors, la boîte de nuit ressemblait à un vieux café miteux, mais l’intérieur était moderne, propre, et noir, et bruyant. Une masse de gens, masse de corps sans identité se pressait autour de lui. Dans la pénombre presque totale du lieu, il repéra le bar, et s’y dirigea. Dans son avancée, il rencontra des mains, des bras, des visages, tous plus superflus les uns que les autres. Tous ces corps inarticulés ne l’intéressaient pas, il aurait juste voulu se fondre dans la masse, cesser d’être un individu à part entière avec tous ses problèmes et ses questions. Toutes ses pensées pour Potter. Un shot, deux, quatre plus tard, il ne pensait plus à lui. Il était un corps, parmi tant d’autres. Un visage dans la pénombre. Une main sur les hanches d’un autre corps. Une bouche qui buvait shot après shot. Et puis, il vit sa proie. Un mec qui se déhanchait contre un poteau. Rien qu’un corps, mais qui resplendissait au sein de la foule de corps identiques, sans identité et sans importance. Un homme torse nu, avec des cheveux bruns en bataille. Oui, lui, il le baiserait bien. Malfoy n’était pas le seul à avoir remarqué ce type plutôt exceptionnel, une foule de corps était agglutinée à lui, et l’acclamait au rythme de ses déhanchés. Seulement voila, un Draco contrarié était encore plus décidé à avoir ce qu’il voulait, et Draco avait décidé que ce soir, ce type serait parfait. Et il l’aurait. La pénombre l’empêchait de voir son visage, mais il vit ses cheveux en bataille, des yeux brillants dans le noir, de rage, d’oubli, d’excitation. Et Malfoy se perdit dans leur tempête. Il s’approcha, toujours plus, et la foule s’écarta et le laissa passer, il ne s’en étonna même pas, il était juste las, et avait l’habitude d’être le centre de l’attention, celui à qui on ose jamais rien dire, celui que l’on admire, celui à qui l’ont veut plaire. Et celui que l’on évite. Toujours aveugle, les yeux pourtant grands ouverts, il se colla contre le dos du danseur, et accompagna ses mouvements. L’autre ne se retourna même pas. Ceci acheva de faire recouvrir ses esprits embués à Draco Malfoy. Le type lui rappelait Potter, et pourtant, pourtant, il envisageait de l’emmener dans son lit, et de s’enfoncer en lui. Et le type l’ignorait, comme ce cher petit Potter. Et s’il y avait bien une chose que Malfoy ne supportait pas, c’était être oublié. Afin de rappeler ce corps encore inconnu, qui s’était néanmoins distingué de la foule, à son bon souvenir, Draco passa donc sa main sur le ventre du brun et le caressa subrepticement. Un frisson parcouru son échine, et l’autre trembla. - Bien - murmura-t-il à son oreille. Et de ses doigts, il traça des lignes sur ce ventre tendu, tandis que son autre main descendait toujours plus bas, et se rapprochait dangereusement de la bordure du boxer de l’inconnu, et que sa bouche suçait le cou du brun. Le brun, lui, continuait à danser, en apparence imperturbable, mais bel et bien sensible à ses caresses, puisque tout son corps frissonnait sous l’assaut et se tendait vers celui de Draco, demandant plus. Draco, lui, avait fermé les yeux, et s’abandonnait dans la danse déchaînée et ses caresses du brun. C’est alors que l’autre eut la bonne idée de se retourner, et ce fut dans cette pénombre complète que Draco expérimenta le goût des lèvres de cet homme sur les siennes. Il le laissa explorer sa bouche, et enrouler sa langue autour de la sienne. Mordiller sa lèvre inférieure. Lui, il s’abandonnait, et répondait violemment au baiser. Il avait l’impression de se noyer, et s’accrochait à ces lèvres comme si sa vie en dépendait. Comme si, la fin de ce baiser mettrait un terme à une époque de sa vie. Comme si ouvrir les yeux allait être la réalisation de quelque chose d’atroce, qu’il ne pourraitsupporter. Malfoy embrassait l’homme comme il n’avait jamais embrassé personne. Passionnément, violemment. Et tandis que sa langue s’enroulait à celle du brun, ce frisson ne le quittait pas, et son ventre remuait bizarrement. Finalement, à bout de souffle, l’autre se détacha. Draco ouvrit les yeux. Et il réalisa. Sa bouche se rouvrit, et ses yeux s’agrandirent. Une seule information parvint à son cerveau embué par l’alcool, la pénombre, et le baiser qu’il venait de partager avec … « Le brun, le mec que tu viens d’embrasser, c'eeeeest Potter !! » Et la phrase oubliée, et les questions soulevées revinrent à toute vitesse. Il parvint enfin à articuler, alors que l’autre le regardait, ne faisait rien que de le regarder : - Po… Potter ? Avant qu’Harry n’ait pu répondre, Malfoy l’avait agrippé par le bras et l’entraînait vers la sortie. Encore un mur, et cette fois, ce fut Potter qui se retrouva acculé. - Qu’est ce que tu me veux ? – grogna-t-il. - Potter, t’avais l’air d’une pute, tu devrais me remercier, je t’ai sauvé ! – rétorqua Malfoy, sans grande conviction. Dans sa tête, les pensées martelaient. Potter n’avait pas le droit d’être baisable, il ne pouvait pas l’avoir embrassé. Il … fais chier, pourquoi avait-il eu envie de se le faire ? Potter interrompit gentiment le cours de sa réflexion peu réjouissante. - Non mais ça va pas ? Je fais ce que je veux. Et puis, t’avais l’air d’être en manque d’une pute, Malfoy, alors la ramène pas. Le poing de Draco partit, et Harry ne le vit pas venir et n’esquiva pas. Et le poing atterrit au beau milieu du visage de Potter, occasionnant un crac retentissant. Potter lâcha un cri de surprise et de douleur. Deux secondes plus tard, le poing d’Harry atterrissait dans le bas ventre de Draco. Celui-ci allait riposter, lorsque Potter lui intima d’arrêter. Draco voulait taper Harry, il voulait le blesser, mais des larmes perlaient à ses yeux lorsqu’il lui fit signe de réfréner ses coups. Et Malfoy ne comprenait pas pourquoi il obéissait, ni pourquoi il regardait Harry. - J’en ai marre Draco, on arrête. - Et pourquoi, Potter, ce serait à toi de décider de ce que je fais ? - Tu m’as cassé le nez putain ! - Et alors ? Tu l’as cherché. - Mais bien sûr Malfoy. Je veux juste que t’arrêtes de me tabasser. - Et si tu faisais un peu plus d’abdos, Potter, tu pourrais peut-être te défendre… - Ca n’a rien à voir avec ça ! Tu frappes toujours lâchement … Et pendant que Potter suppliait Malfoy de ne plus le taper, il priait pour que celui riposte, qu’il ne cesse pas. Il se sentait si vide depuis le matin. Depuis qu’Hermione l’avait séparé de Malfoy, depuis qu’il n’enfonçait plus son poing dans l’estomac du blond, sur son dos, ses jambes… - Potter, fais pas ta lavette, pitié. - Espèce de … - jura Harry. Il ne finit néanmoins pas sa phrase. Il voulait taper Malfoy, lui envoyer un direct droit dans le bas ventre, un coup de genou dans l’entrejambe, mais il ne fit rien de tout cela. A la place, il accula Malfoy contre le mur. Il sentit à nouveau son corps sous le sien. Et à ce moment il sut. Il sut qu’il avait reconnu Malfoy, dès le moment où il s’était rapproché de lui alors qu’il dansait. Il avait reconnu Malfoy dans chacun de ses gestes, et dans sa voix. Mais il l’avait embrassé. Et puis, il avait fallu que ce connard ouvre les yeux, et se mette à le taper. Génial. Il sentit le torse musclé de Malfoy. Ses mains contre ses épaules, qui essayaient vainement de le repousser. L’odeur de Draco. Ses yeux gris qui le fixaient d’un air mauvais. - Alors, Malfoy, on n’est pas capable de repousser la lavette ? - Potter, c’est presque comme si t’étais drôle. - Draco, c’est comme si on t’avais castré depuis une minute, ou t’as perdu ta langue ? - Potter, tu veux vérifier peut-être ? A ces mots, Potter se sentit devenir dur(note de May0 : XD coquinou). Et il sut que c’était mauvais signe. Qu’il ne devait à aucun prix laisser Malfoy l’atteindre de cette manière. Mais il sut aussi qu’il ne pouvait pas se passer de ce corps. Ni de ces mots. - Malfoy, écoute, je suis mannequin, alors si tu pouvais arrêter de me tabasser à chaque fois qu’on se voit, ça m’arrangerait vraiment. - Oh, alors, tu fais aussi la pute le jour, sympa, dis-moi. - Tu peux m’insulter tant que tu veux, mais tu lèves plus tes sales pattes sur moi. A peine avait-il prononcé ces mots, que Potter les regretta. Il aurait voulu les ravaler, et surtout, surtout, que Malfoy ne cesse pas. Qu’il continue de l’insulter, qu’il le tape, afin qu’il puisse le garder acculé contre le mur, son corps contre le sien. Ses cheveux frôlant son poignet, son odeur l’enivrant. - C’est d’accord – répondit Malfoy. C’était trop tard, Malfoy avait dit oui. Il ne le toucherait plus. Il n’aurait plus que ces quelques mots, ces quelques comparaisons stupides… Il aurait tant voulu que Malfoy n’ouvre jamais les yeux. Ou plutôt, qu’il ne réagisse pas ainsi. Oui, Potter avait embrassé Malfoy, et alors ? Draco avait répondu au baiser, il avait … Soudain, il lâcha Draco, et s’éloigna de quelques mètres. Il avait besoin de calme, et d’une douche très très froide. Le froid qui avait assailli Draco le matin même et disparu lorsqu’il dansait avec Potter, refit soudainement surface, et il manqua s’effondrer sous le vide inattendu. Potter était parti. Et lui, il restait, acculé contre le mur, mais sans le corps de Potter. De plus, il avait accepté une proposition tout à fait stupide. Mais il était sous le choc. Potter, mannequin ? Potter, admiré pour son corps de rêve par la gent féminine et masculine sorcière réunie ? Quel cauchemar ! Et c’est une nouvelle fois plongé dans ses pensées que Draco Malfoy transplana dans son appartement vide et froid. Tout en se déshabillant machinalement, il repensa au baiser, et à la danse. Et donc, à Potter, sous toutes ses coutures. Il l’avait embrassé. Mais à ce moment-là, il ne savait pas que c’était Potter, il ne pouvait pas le savoir, pas le deviner. Et pourtant, il savait qu’il lui ressemblait. Il avait su. Et il avait fermé les yeux. Alors pourquoi les ouvrir avait-il été aussi difficile ? Pourquoi avait-il voulu que ce baiser dure une éternité ? Pourquoi avait-il voulu se noyer, se fondre avec et en Potter ? La nuit promettait d’être longue. Le soleil était déjà haut dans le ciel lorsque Draco se décida à sortir de sa léthargie. Il n’avait pas fermé l’œil de la nuit, et la cause en était autre que Harry Potter en personne. Merlin, ce qu’il pouvait être chiant. Néanmoins, cette nuit d’insomnie lui avait permis de réfléchir un peu, et il avait fini par conclure qu’il devait absolument se procurer un magazine afin de pouvoir se foutre de la gueule de Potter, qui devait assurément ne pas en jeter des masses en tant que mannequin… Avec le peu de forces qu’il lui restait, Malfoy s’habilla, et malgré une pâleur légèrement plus accentuée qu’à l’accoutumée, il restait vraiment très présentable. Un peu plus tard, ayant laissé la vieille dame du kiosque pantelante devant sa beauté resplendissante, il revint se blottir dans son lit, sous ses couvertures qui ne lui apportaient qu’une maigre chaleur, la « Gazette des Sorcières » à la main. Et c’est encore tremblant de froid qu’il l’ouvrit, et écarquilla les yeux. Aussitôt, une vague de chaleur l’assaillit. A suivre. Hum, encore un chapitre qui se termine. Je tiens à préciser que la scène de la danse & du baiser n'étaient pas prévus, mais je me suis laissée emporter par la flamme arf. Je suis incorrigible, je sais. Donc j'espère que vous êtes aussi ravis que moi, parce que Draco & Harry qui se tripotent, moi je trouve que c'est le paradis (sur terre haha). J'ai laissé une note de ma bêta, parce qu'elle m'a faite rire toute seule pendant au moins 5 minutes, donc je voulais vous en faire profiter XD C'est ici que l'on se quitte, une fois de plus, mais ce n'est qu'un aurevoir, les zamis ! Bien à vous, Johanna. |