Hello ! Voici le chapitre 5, venu plutôt rapidement, n'est-il pas ? -toute fière d'elle-même- Je tiens à remercier ma bêta MayO, qui comme toujours (ou presque) me fait l'honneur de lire mes chapitres en avant-première & de me commenter (presque) toutes mes phrases. R&R people !! RAR: MayO: Tu sais ce que je penses mais bon voilou, je te redis à quel point ton avis m'est précieux, toi qui m'as contaminée (merciiii :D) et qui me soutiens... Bref, je t'aime mon virus adoré -hugs- Maira: Merci bcp pour la review, même si t'es une vilaine anonyme ! J'espère que tu trouveras la suite tout aussi excellente. Titina: Mwahaha je suis si fière de t'avoir contaminée miss ! Dommage que tu puisses pas venir samedi :( Lis vite la suite hein Chapitre 5 : Comme cette promesse Puisqu’il avait fallu qu’il quitte son lit, cette chaleur bienvenue qui lui réchauffait l’âme et recouvrait ses tourments d’un cocon, les rendant ainsi quasi insignifiants face au réconfort que lui offrait son édredon moelleux… Puisqu’il avait fallu qu’il ait cette idée stupide de rendez-vous avec Malfoy… Puisqu’il ne savait même plus ce qu’il faisait. Puisque l’autre lui avait fait tourner la tête… il pourrait au moins assumer merde ! Certes, Malfoy était parfait, mais la ponctualité, ça avait vraiment pas l’air d’être sa tasse de thé. - Et s’il ose me planter je m’en vaislui enfoncer un balais dans le cul… - lâcha Harry, excédé par son attente d’une demi-heure. - Mais qu’ouie-je ? Harry Potter aimerait m’enfoncer quelque chose dans le postérieur ! Mais quel outrage ! – susurra le nouveau venu à l’oreille d’un Potter gelé, qui trembla sous l’assaut. Draco Malfoy, puisque c’était lui, venait de faire une entrée en beauté comme à son habitude. Impossible d’échapper encore longtemps à la poigne incroyable de Potter après... Ainsi, Harry lui agrippa le poignet, voulant lui souhaiter la bienvenue au royaume des glaçons. Car Potter était bel et bien transi de froid, et comptait bien sur la présence de Malfoy pour le réchauffer… Moui, car la chaleur intérieure qui le submergeait ne se faisait malheureusement pas ressentir sur son corps meurtri par une longue attente. Néanmoins, ceci contredisait fortement les plans de Malfoy qui avait prévu de régler le problème Potter une bonne fois pour toutes… Draco avait du se tourmenter pendant de longues heures avant de se lancer, finalement, et de venir au rendez-vous d’Harry. Il se sentait perdu et répugnait à céder à son obsession pour Potter. Toujours est-il, qu’il croyait dur comme fer à une passade, à une passion éphémère, qui dure le temps d’un baiser. Le temps d’une folie. Le temps de lui faire perdre ses repères. Elle n’avait que trop duré. Il devait être fort. Il devait ravaler son envie de manger Potter du regard, d’enfourner sa langue dans sa bouche, de lui déchirer sa chemise (après lui avoir arraché son manteau), de passer sa main … Il lui était si facile de s’égarer, si dur de se concentrer sur sa mission. Voir si Potter en valait la peine. Voir si Potter savait encore manier les mots, car il redoutait à présent ses poings, qui l’appuyaient si facilement contre un mur et se faisaient doux, et se fondaient dans ses cheveux si parfaitement coiffés. Leurs mots étaient le seul moyen qu’il leur restait pour s’affronter. Une dernière fois. Et même si Draco détestait les adieux, il savait que si Potter échouait à cet affrontement, il se devait de le laisser tomber. D’oublier son obsession, de la ravaler, comme tant d’autres. Comme une simple passade. Et donc, Malfoy repoussa Potter et mit une distance de sécurité entre eux. Qui ne tarda pas à être à nouveau comblée par une enjambée de Potter. - Je ne suis pas venu pour cela, Potter. - J’ai du mal à saisir… - Voyons, le contraire m’aurait étonné. - Je ne te permets pas de … - commença à s’époumoner Harry. - Tssk tssk, pas de mur cette fois-ci Potter. Tu ne fais décidément pas dans l’originalité. Non, ne dis rien ou je me verrais dans l’obligation de te faire taire… - Je n’attends que ça Malfoy – fit Harry tout contre ses lèvres. - … - Mmmmh GRMPH ! - Hé oui Potter, ne joue pas avec le feu. Ce sort te fera taire jusqu’à ce que j’aie fini de te communiquer ce pour quoi je suis venu aujourd’hui… - Je veux t’entendre t’exprimer. Entendre tes progrès en comparaisons, comme ce jour si lointain à Poudlard, où tu as bandé contre ma jambe pour la première fois… - Zfffeuhh nnhhéé pfahg bffffandhéé !! Zefkuh… (1) - Mais oui, bien sûr que non. Mais t’es doué Potter, t’arrives toujours encore à t’exprimer, j’admire – contra Malfoy. - Je t’emmerde Draco ! - Tiens tiens, on dirait que j’ai fini… - A quoi ça va te servir Malfoy ? A te prouver mon infériorité face à toi ? A dormir tranquille la nuit ? Ou est-ce que ça t’excite ? - Potter, si tu gagnes, je te fais la pipe de ta vie. - … - Ca veut dire oui je suppose. On y va alors, par là. - On va où ? – fit Potter tout en courant derrière Malfoy, qui avait commencé à marcher en attendant que Potter recouvre ses esprits. - Dans ton cul. - … Honnêtement, tu te crois drôle ? - C’est pas fait pour Potter. C’est juste que c’était trop facile. - Et depuis quand Monseigneur Malfoy cède-t-il à la facilité ? Depuis que j’ai envie de te sauter dessus et de te mangeeeer – fut la réflexion que Draco se fit. Potter était vraiment con parfois… mais euh bon d’accord, pas de commentaire sur la peau nue de son cou, ni sur ses yeux brillants, ni sur ses joues rougies par le froid, d’accord d’accord. - Les nuages… - Euh Potter, tu vas bien ? - Comme du coton moelleux dans lequel on aimerait se blottir. - … - Comme de la chantilly. Deux contre zéro, Draco ! Le score sortit Malfoy de sa torpeur. - Comme du chou-fleur.(note de MayO : c’est poétique le chou-fleur, merci Draco pour cette intervention) - T’as pas trouvé mieux ? - Ta gueule. - Comme de la mousse à raser, fraîchement déposée sur une joue – lança Harry tout en tirant la langue à Malfoy. - Comme l’écume de la mer le soir, qui démarque les limites d’une plage. - Comme du plâtre, si blanc… - Comme les flocons de neige tant attendus, qui s’estompent et fondent si vite, trop vite… - Comme un édredon doux, que l’on remonte jusqu’au cou. - Comme un trop-plein, le ciel si entier que l’on croit qu’il va déborder sur nous. - Comme un baiser, doux, mouillé, orageux, si magnifiquement bleu – murmura Potter, qui se rapprochait dangereusement de Malfoy. Ils se regardèrent. Leurs pas s’étaient arrêtés. Ils restaient là, à se contempler après avoir contemplé le ciel et ses nuages. Ces cumulus disposés comme en escalier menant vers un au-delà, lointain, inaccessible. Et pourtant, pourtant, lorsque les lèvres de Potter se joignirent à celles de Malfoy, Draco crut pouvoir l’atteindre. L’espace d’un instant, il se sentit emporté, transporté par cette étreinte. Emmené loin, là-haut, dans les nuages moelleux, baignant dans un univers hors d’atteinte du froid, de l’espace, du temps. Mais cet instant se brisa trop vite pour qu’il se souvienne l’avoir atteint, car Potter murmura tout contre ses lèvres. - J’ai gagné… tu me dois… - La bataille Potter, pas la guerre. - C’est pas juste ! - D’ailleurs, je reçois quoi si c’est moi qui gagne ? - La plus longue dans ton petit cul. - … D’abord interloqué, Malfoy se ressaisit vite : - Ah mais il ne faut pas prendre tes rêves pour des réalités Potter. - Et tu crois vraiment que je vais te laisser me sucer ? – fit Harry, piqué au vif. - T’avais l’air bien parti pour y’a même pas deux secondes. Alors que Potter marchait devant Malfoy, faisant mine de bouder, Draco se rendit soudain compte qu’il avait franchi le pas qu’il avait voulu éviter de faire. Et il n’y avait pas de retour en arrière. Il avait dépassé la sortie et faire demi-tour lui était désormais impossible. Alors qu’il avait demandé à Potter son prix, il avait annulé la mission qu’il s’était imposée. Il avait voulu gagner pour mettre Harry de côté, l’oublier, comme on oublie une aventure d’un soir. Comme on oublie une cuite trop douloureuse. Comme on oublie ce qui fait trop mal. L’oublier pour cesser d’être vulnérable. Cesser d’agir selon ses sentiments, selon ce que son corps et surtout, pire encore, son cœur lui dictait. Mais il était trop tard. Il avait transformé cet affrontement ultime en un affrontement nouveau. Qui marquait le début de quelque chose de flambant neuf. Un sentier encore inexploré. Un pas dangereux qu’il avait franchi, laissant derrière lui ses repères, son ancienne vie. Harry, lui, avait constaté ce fait alors que Malfoy voulait sortir des toilettes. Il l’avait retenu, sachant que s’il le laissait partir, tout ne serait qu’une transe dont il allait bien vite se réveiller. Un cocon qui allait se briser, le rejetant dans son quotidien vide et délaissé. Lui aussi, il avait franchi ce pas de non-retour. Potter entendit les pas de Malfoy se faire plus pressés bien avant de sentir sa présence juste derrière lui et son bras entourant ses hanches. La voix de Draco s’éleva. - Sens-tu ce vent Potter, ce vent sur ta joue. Comme une caresse trop douce pour être ressentie. Une caresse qui laisse espérer plus. - Comme une promesse déçue. Comme quand tu m’as laissé contre ce mur, con que j’étais d’oser espérer plus, de vouloir plus, d’attendre… - Comme un voile, qui isole, qui sépare. - Comme ton souffle contre mon cou. - Comme ce frisson qui parcourt ton échine. - Comme ton murmure. - Comme la chaleur soudaine qui me monte à la tête, me coupant le souffle, et qui s’en va brusquement, alors que tu t’éloignes de moi. - Comme le sang qui bout dans tes veines, tourbillonnant, si incroyablement vivant. - Comme une tempête, qui ravage tout sur son passage. - Comme un tourbillon qui m’aspire et me fait planer. - Comme une aventure que l’on convoite et que l’on oublie ensuite. - Comme ces choses que l’on suggère sans les dire… - Comme nous. Un affrontement, une aventure. Calme puis violent. Un souffle, une promesse. Et puis ces caresses, ces frissons. Le sang qui bat dans nos tempes. Un baiser qui ébranle toutes mes bases. - Potter, je… - J’ai encore gagné, Malfoy. - Je… - Pourquoi tu parles toujours quand il faut agir ? - Pourquoi tu sous-entends Potter ? - Parce que j’ai peur de dire, Malfoy… - Et maintenant, je dois agir ? - Oui – fit Harry, dans un souffle. Son souffle fit virevolter une mèche blonde. Draco, si près déjà, enserra Harry totalement dans une étreinte. Il l’attira encore plus contre lui, mêlant ses cheveux aux siens, ses doigts plongeant dans la chaleur du manteau de Potter. Et ses lèvres emprisonnèrent celle du brun. Sa langue réclama sa propriété. Malfoy frissonnait. Ils virevoltaient, tempêtaient. Caressaient. Et se perdaient, alors que le vent soufflait, mordait. Un frisson plus violent secoua Potter. Draco lui avait déboutonné son manteau, et s’attaquait à présent à sa chemise. Si le froid le grisait, Malfoy achevait de lui faire perdre toute notion. Mais Draco sembla se rendre compte que la peau de Potter sous ses lèvres était gelée, et que le sang battait encore plus fort que d’ordinaire dans ses veines. Il prit Harry dans ses bras, le serrant encore plus et le faisant bénéficier de la chaleur de son propre corps. (Note de MayO : déjà, s’il lui avait pas déboutonné sa chemise et son manteau, il aurait pas froid mais bon…) Les yeux de Potter se voilèrent, son corps se relâcha. Il était au chaud et autour de lui tout était moelleux, doux. Quand Harry rouvrit les yeux, il se retrouva face à un environnement inconnu. Il voulut se lever, afin d’explorer mais un poids inhabituel reposait sur sa poitrine, l’empêchant de bouger. Et quelque chose lui chatouillait les narines. La tête de Draco Malfoy reposait sur lui, ses mains l’enserrant. Il le sentait respirer tout doucement contre son torse, sentait son ventre se soulever au rythme de sa respiration. De sa main libre, Potter caressa les cheveux de Draco Malfoy lui avait promis la pipe de sa vie et à la place, il dormait ! Rêves de bisounours à la place du sexe torride, que de déception pour le Potter. Il essaya de se rendormir, mais la présence de Draco le perturbait et le bouleversait. Il avait peur du chemin dans lequel ils s’étaient engagés. De l’inconnu. Mais au diable ses peurs, il avait vécu trop longtemps enfermé dans une vie solitaire qu’il s’était imposée. Dans une vie qu’il n’avait pas voulue partager avec quelqu’un, aussi parce que personne ne s’était jamais présenté. Ils l’admiraient, ils l’adulaient. Mais ils ne l’aimaient pas. Ils n’osaient pas lui tenir tête, ni lui dire quoique ce soit. Pantins inarticulés, foule insensible, sans visage qui se démarque. Alors il avait préféré mener une vie solitaire, coupée, plutôt que de devenir lui aussi une de ces formes, sans identité, qui entrait si parfaitement dans le moule du monde parfait où tout allait bien. Brusquement, Malfoy se redressa. Il regarda Potter, visiblement horrifié. - Malfoy ? – questionna celui-ci. Mais il n’obtint pas de réponse. Draco se leva, sortit de la pièce, puis revint. Il s’arrêta devant le lit et fixa Potter d’un œil intéressé. Harry lui sourit tout en s’asseyant dans le lit. Draco fit demi-tour. Potter, de plus en plus perplexe à mesure que Draco faisait des allers et retours dans la chambre, se leva à son tour, debout devant le lit et fit un pas en avant. L’instant d’après, il était à nouveau allongé sur le lit, avec Malfoy sur lui. Et accessoirement les lèvres de Draco sur les siennes, son souffle contre sa peau et… son érection contre sa jambe. Malfoy s’était réveillé ainsi et avant de pouvoir s’interroger sur la raison, il avait pris conscience du corps de Potter contre le sien, de la chaleur qui émanait de lui. A présent, Potter était sous lui, se laissant aller au baiser qu’il avait lui-même commencé, à l’étreinte qu’il avait initiée, à la promesse qu’il lui avait faite. Car Potter avait gagné. Ou tout au moins, c’est ce que Draco avait besoin de se remémorer pour justifier ce qu’il était en train d’amorcer. Et après tout, s’il lui fallait des excuses, tant pis, mais il ne reculerait plus. Potter qu’il avait ramené congelé chez lui était à présent brûlant. De vie, de désir, d’envie. Malfoy ne voulait pas laisser cette chaleur s’évanouir, cette flamme s’éteindre. Alors il l’avivait, par bien des moyens. Et la chemise de Potter déjà ouverte laissait son torse nu, que Draco comblait de ses lèvres et de ses mains, pendant qu’Harry le débarrassait de son t-shirt. Les mains du blond firent glisser son pantalon tandis que le brun faisait de même avec son jeans. Néanmoins, même si Harry ne crachait aucunement sur sa récompense, il voulait baiser Malfoy, s’enfoncer en lui … et s’y perdre. Alors d’un coup de hanche, il se hissa sur Malfoy qui bien qu’occupé avec les lèvres et le torse et l’entrejambe d’Harry nota la différence et fit de même. Ils roulèrent ainsi, sans cesser jamais de s’étreindre et de s’embrasser et de tenter de se débarrasser des derniers vestiges de vêtements, jusqu’aux confins de l’univers. Enfin, jusqu’au bord du lit. Puis ce fut la chute. Et Harry se retrouva au fond du gouffre, Malfoy sur lui. Le sol aurait pu être plus moelleux au goût de Potter, mais ce fond plaisait fort bien à Malfoy. En réponse au grognement de Potty, il lança alors : - T’inquiètes, y’en aura d’autres… Avec un sourire qui ne laissait présager rien de bon. Enfin, ça dépend du point de vue. Car quand Harry sentit la bouche de Draco sur sa masculinité érigée, il sut que la position n’avait aucune importance. Que c’était loin d’être ce qui comptait. Et que l’orage le ravageait déjà bien assez pour qu’il réussisse à songer à l’existence d’une tempête et d’un ouragan et d’un tourbillon… Draco allait venait sur le sexe de Potter, le faisant geindre, gémir, crier et frissonner. Il s’arrêta avant que Potter n’éjacule, ayant encore d’autres projets. - Je vais t’enculer Potter, comme ça tu verras qui à la plus longue… - … Draco…- ce n’était qu’un murmure, mais Draco entendit son prénom parfaitement bien. Il prit le temps de préparer Potter, bien qu’il était sur le point d’exploser lui-même de ce trop-plein qu’il avait décrit plus tôt. Trop-plein d’émotions qui le submergeaient en vagues, menaçant de le renverser. De plaisir, qui montait et montait encore et encore. Et enfin, il s’enfonça en Potter, le faisant crier carrément cette fois, sans retenue. Harry crut mourir. Il sentait Draco, en lui, allant et venant de plus en plus vite. Malfoy atteignit le septième ciel en même temps que Potter. Unis de corps comme de sentiment. Regorgeant d’émotions trop immenses à décrire. Deux corps brûlants l’un contre l’autre. Deux souffles haletants, errants sur des chairs encore tendues par l’effort et frémissantes du plaisir éprouvé. Deux regards qui se perdent. Deux lèvres qui s’unissent dans un même baiser. Deux êtres différents, capables de s’unir pour un même plaisir. D’être un l’espace d’un instant. D’outrepasser leurs différences. D’oublier leur affrontement et de faire des mots une réalité. Ce qui était suggéré devint dit. D’oublier jusqu’à leur peurs. Comme s’ils pouvaient s’aimer. Comme s’ils pouvaient aller au-delà de tout. A suivre. (1) Dictionnaire Potter-Francais: Je n'ai pas bandé! Je... Comme vous l'aurez remarqué, c'est ce chapitre qui donne véritablement son nom à ma fiction et c'est cette idée de duel de comparaisons entre les 2 que j'avais au tout début et qui m'a incitée à écrire ceci. Alors j'espère qu'ils vous a plu, parce que j'ai conscience qu'il est différent... Je vous embrasse, et vous dis à bientôt ! Bien à vous, Johanna aka Sexy-Cat. -une petite review?- (sourire timide) |