Hinhinhin -nouveau rire diabolique- ! En ce moment, on m'harcèle beaucoup, alors je vous cède chers lecteurs (enfin lectrices) parce que je vous aime (ha si c'est pas magique !), & que je vous comprends (vraiment ? alors pourquoi tu finis tes chapitres comme ca ? XD) Quoi qu'il en soit, je vous conseille de bien profiter de ce chapitre passke ca va être le dernier avant 3 semaines les zamis :( Pour plus de précisions, c'est en baaaaas ! (dites, y'a des gens qui lisent ce que j'écris en haut et en bas ? TT) Un grand merci à ma bêta chérie d'amour May0 ! (dont quelques notes peuplent à nouveau cette fiction :p) Pour mes gentils zamis de la forêt (je délire faut pas s'inquiéter hinhinhin) qui m'ont réviewée, j'ai répondu par mp il me semble, mais je vous le redis ici, je vous aime les gens, merci merciiiiii - s'incline- ! (joues rouges) Allez je vous laisse lire, on se retrouve en-bas haha ! R&R please !! Chapitre 3 : Encore un mur Encore un jour sans but. Potter en avait marre de poser. Pour tout, pour rien. Un parfum, une pub de céréales où il devait immanquablement afficher son soit disant « plus beau » sourire… Parfois, non, toujours en fait, il aurait aimé n’être plus qu’un simple moldu. Quelqu’un que personne ne remarque, qui passe inaperçu. Et qui peut gagner sa vie en faisant ce qu’il a envie de faire. Et la petite voix qui habitait sa tête susurra : Tu peux Harry, c’est toi qui ne veux pas. Potter se rappela de Malfoy. S’il n’avait pas été Potter, s’il n’était pas né avec cette putain de cicatrice, si Voldemort avait épargné ses parents… il n’aurait pas connu Malfoy. Et peut-être que tout aurait été mieux. Peut-être. En attendant, il était toujours Harry Potter, le génialissime survivant qui en avait marre d’afficher un sourire sensé être splendide et de tenir entre ses mains un parfum qui incommodait fortement ses narines. (note de May0 : XD c’est dur d’être une star, Ryry ?) En attendant, Draco Malfoy habitait toutes ses pensées. Tant et si bien qu’il avait oublié sa résolutionde ne pas poser aujourd’huiet d’avoir une sérieuse discussion avec son patron, qui venait de faire son apparition. Néanmoins, à la vue de celui-ci, tout lui revint. Il lâcha le flacon de parfum, peu soucieux de son devenir, et se dirigea aussitôt vers le responsable. Celui-ci se figea au ton de la voix de Harry qui résonna dans son dos. - Où croyez-vous aller ? Vous me devez des explications. - Toi, tu te contentes de poser, c’est tout. Nous règlerons les détails après. - Eh bien je refuse de poser tant que vous ne m’aurez pas expliqué ça – cria-t-il tout en lançant la Gazette des Sorcières avec violence sur son patron, qui continuait tranquillement sa marche. - Le responsable mit quelques secondes avant de se reprendre, puis, il se retourna et dit : - Et ? Tu as posé. Nous, on publie les photos. - Non, justement. J’ai passé un accord. Vous croyez vraiment que j’aurais été d’accord de poser à poil si c’était pour qu’on publie les photos dans le journal le plus vendu de l’Angleterre Sorcière? - Comment je suis sensé deviner ce que voulez, Mr. Potter ? - Miranda m’a assuré plus de cinq fois que ces photos serviraient uniquement à une exposition gay en Irlande. C’est vousqui avez pris la liberté, sans en parler à personne, pas même au principal concerné de les publier dans la Gazette des Sorcières - fit Potter tout en essayant de garder son calme, ce qui se révéla encore plus ardu que lorsqu’il se retrouvait face à Draco – alors j’attends toujours vos explications, Mr. Mon supérieur. - Vous croyez vraiment être en droit de revendiquer quoi que ce soit ? - C’est mon corps. C’est ma décision. C’est grâce à moi que vous vous faites un joli paquet. - Ça, c’est ce que vous voulez bien croire. - Non, c’est une vérité générale. Alors soit vous m’expliquez, soit … - Des menaces à présent ? Eh bien oui, j’ai publié ces photos, j’en disposais, je ne vois pas pourquoi je me serais retenu de le faire. - … Potter resta bouche bée. Ce connard avait osé. Et maintenant, toute l’Angleterre, ou presque, l’avait vu hum, comment dire, pire que dans le plus simple appareil, disons sans rien, nu quoi ! Qui plus est, dans des poses plutôt équivoques, Merlin! Et à Londres, il y avait également Draco … - Ne pas réfléchir – essaya-t-il de se calmer, mais en vain. Sa colère gonflait, et plus cet abruti qui lui faisait face parlait, plus Potter avait envie de le frapper, et plus il savait qu’il n’en avait pas le droit … Et plus il savait qu’il devait le faire. Qu’il se devait de le frapper. Il arrêta de penser. C’était presque aussi bon qu’avec Malfoy, mais seulement presque. En vrai, il ne faisait qu’enfoncer son poing dans la tête de son patron, fort, et encore plus fort, car il savait qu’on ne tarderait pas à l’emmener ailleurs, loin, qu’on lui ferait payer ça, car voyons, c’était sa faute… Même si la violence ne résolvait rien, même si frapper Malfoy était plus jouissif, amocher ce connard lui faisait vraiment du bien. Même s’il ne pouvait effacer ces photos, taper sur son patron lui donnait le sentiment de n’être pas un moins que rien, de récupérer un peu de sa dignité bafouée. Des mains le tirèrent en arrière. Il se débattit. Tout devint noir et il perdit conscience. -- Draco Malfoy avait chaud, très chaud. Il connaissait Potter depuis tant d’années, mais jamais, au grand jamais il ne l’avait vu ainsi. Harry Potter, sans la moindre pièce de tissu pour couvrir ses muscles, sa masculinité, enfin, disons plus simplement, son pénis, son torse, ses jambes… Harry Potter à genoux. Debout. Vulnérable. Offert. Beau. Bandant. Bandant ? Beau ? - Merlin ! – jura-t-il haut et fort. Il fallait qu’il arrête de regarder ces photos indécentes. Qu’il arrête de penser à Potty qui faisait la pupute. A Potter nu. Et plus vite que ça ! - Malfoy, t’as vraiment pété un câble. Tu deviens fou ma parole, tu traînes trop avec Potter ! Mais il avait beau se traiter d’idiot, s’insulter, se persuader que Potter n’était ni beau, ni bandant, et qu’il n’avait vraiment pas envie de se le faire, ni même envie de l’embrasser à nouveau, son érection ne disparaissait pas pour autant. Pourtant, il le détestait. Il l’insultait dès qu’il le voyait. Il amochait son pauvre petit visage… - Et si j’allais me défouler sur lui ? – pensa-t-il tout haut. Se défouler n’était pas une mauvaise idée après tout … il se persuaderait de sa haine pour Potter. Il l’insulterait à défaut de pouvoir le taper (le toucher oui !). Un Malfoy préservait toujours sa façade immaculée. Il se calma donc, ce qui lui demanda bien plus d’efforts qu’il ne l’auraitvoulu. La douche froide fut la seule solution. Disons que Draco détestait l’odeur de la sueur. Non, Potter ne l’avait pas excité. Enfin, les photos de Potter à poil… Il se dirigea d’un pas urgent vers la cheminée, penser et ressasser ne l’aiderait pas. Une douche froide lui suffisait. Une fois face à sa cheminée, il y jeta une poignée de poudre de cheminette et demanda : - Harry Potter, s’il vous plaît. Après un moment de silence, une voix émanant de la cheminée lui répondit : - Cela ne sera malheureusement pas possible, Mr. Malfoy. - Et pourquoi ? - Mr. Potter est indisponible. - Je suis un Malfoy, il l’est. - Mr, je ne suis pas autorisé à vous révéler cette information, mais puisque vous insistez tant, Mr. Potter est en prison et donc indisponible. Puis-je faire autre chose pour vous ? - Oui. Donnez-moi l’adresse. Un Draco Malfoy qui transplane plus tard (Note de May0 : Et d’un !), il dut faire face à une nouvelle barrière. Mais ce jour-là, il était vraiment prêt à tout pour revoir Potter, pour l’insulter, bien entendu. Il se vit donc obligé de payer la caution de ce cher Potty, sans quoi il n’était nullement autorisé à le voir. C’est également à ce moment-là qu’il apprit pourquoi Potter s’était fait enfermer, à savoir qu’il avait fondu sur son patron pour le couvrir de coups. Malfoy ne put retenir un sourire narquois, c’était Potter tout craché ce genre de situations pourries. Après s’être fait mener dans un dédale de couloirs, il arriva enfin devant la cellule du délinquant Potter. Le gardien déverrouilla la porte, et un Potter joyeux, bien que couvert de quelques bleus et de sang séché en sortit. Quelques uns de ses cheveux étaient restés collés sur le devant de son crâne, et ses yeux pétillaient … - Malfoy ! Quelle surprise ! - … - Draco, surpris, resta tout d’abord interloqué. Il était en train de dévisager Potter, et de le dévorer des yeux. Merlin, il perdait la tête ! - Alors Draco, qu’as-tu aujourd’hui ? C’est comme si on t’avait implanté un cœur ! Tu as payé ma caution, tu es sûr que ça va ? - Harry, c’est pas comme si j’en avais quelque chose à foutre que tu croupisses en prison, alors ta gueule. - Draco, c’est pas comme si je t’avais demandé de venir… - Harry, fais pas comme si tout tournait toujours autour de toi, j’ai quelque chose à te dire, et fais comme si t’étais pas chiant, ça m’arrangerait. Tout en parlant, ils avaient atteint la porte de sortie de la prison, que Draco poussa, laissant néanmoins Harry passer d’abord. Il jeta un regard vers le gardien, qui avait eu l’air de beaucoup s’amuser lors de sa discussion avec Potter, et se faisait un malin plaisir de la raconter à présent à tous ses amis. Seulement, grâce à Draco, il devrait le faire en bégayant. Pas peu fier de lui, il sortit à son tour par la porte restée ouverte. Il eut tout juste le temps de penser « Pas de trace de Potter, comme c’est curieux. » qu’il se retrouva, encore, acculé contre un mur. Décidemment, ça devenait une manie du petit Potty ! Il n’aimait pas quand Potter faisaitça. Tout d’abord, parce qu’il se trouvait alors bien trop proche de lui, et que Draco avait tendance à oublier toutes les belles insultes qu’il voulait lui lancer alors qu’il se perdait dans la contemplation de ses yeux, de hum sa peau … Et puis, il était en position d’infériorité ! Et ça, c’était inadmissible. Seulement cette fois, il ne fit même pas mine de se débattre, il laissa tout bonnement Potter l’acculer contre le mur, et appuyer ses mains sur lui. Il laissa Potter le plaquer de son corps contre la paroi de pierre froide. Tellement plus froide que le corps de Potter. Et les images lui revinrent à l’esprit. Désorienté, mais aussi effrayé devant la proximité de Potter, et de ses propres pensées, il essaya de se focaliser sur autre chose. - Je croyais qu’on ne devait plus que parler ? – fit-il, feignant l’étonnement. - Depuis que j’ai tabassé mon patron ça a changé. Mais Harry savait qu’il n’en était rien, qu’au moment même où il avait dit ne plus vouloir que Malfoy le touche, euh pardon, le frappe, il l’avait regretté. Et qu’il avait froid… - T’aurais pas pu faire comme si t’avais un cerveau pour une fois ? – reprit Draco. - Dray, si tu faisais comme si t’étais pas venu pour me sauver de la prison et que tu me disais pourquoi t’es là? – contra Potter. - Potter – rétorqua Draco d’un ton glacial – je suis là pour te parler de ces photos… - … - Alors ? - Quoi ? - Fais pas comme si t’avais perdu ta langue, ça serait dommage… Et Draco qui osait dire des trucs pareils ! La dernière fois, Harry avait eu du mal à s’en remettre. Il avait fui, tel le lâche qu’il était, pour ne pas changer ses bonnes habitudes. - Fais pas le connard, j’ai assez d’emmerdes. - Harry, lâche-moi. - Et pourquoi je te ferais ce plaisir ? - Parce que sinon, t’as plus de tête. - Draco, fais pas comme si tu avais le pouvoir de me l’arracher, ce n’est pas le cas, et tu le sais. - Harry, réponds à ma question. - Laquelle ? - Ah parce que t’en as entendues plusieurs toi ? Dis-moi tout … - Tu ne m’as rien demandé. Et je vois pas pourquoi je te dirais quoi que ce soit. - Peut-être parce que je t’ai vu dans ton intimité la plus extrême. Harry se sentit rougir, et il pria Merlinet tous les saints pour que Draco ne le remarque pas, ce qui, étant donné la distance qui les séparait, semblait clairement impossible. - Tu peux toujours courir. – dit-il, essayant de faire bonne figure. - Potter, c’est fait. – lui susurra Draco une nouvelle fois. - Ah ouais, ben moi j’ai rien vu. Une fois de plus, sa langue avait l’air d’agir en contradiction avec son cerveau, et il rougissait de sa propre audace. Merlin, était-il vraiment en train de suggérer… - Harry, fais pas comme si t’étais con, même si tu l’es – ajouta Draco avec un énorme sourire. En plus, ce connard de Malfoy n’arrangeait pas les choses. Harry se contenta de le fixer. Et soudainement, il eut pleinement conscience de ce corps contre le sien, et de la pleine signification de toutes ces propositions qui restaient suggérées. A cette pensée, son corps faillit à sa volonté une nouvelle fois. Il s’exprimait quand et comme il voulait, sans tenir compte de toutes les contradictions que cela soulevait. Harry Potter avait une nouvelle fois une érection, alors qu’il acculait Malfoy contre un mur. Il recula, pris d’une peur soudaine qui lui lacérait le bas du ventre. Ou était-ce le désir ? Il ne savait plus, ne voulait plus savoir. La seule certitude qui lui restait était qu’il devait mettre fin à cette proximité le plus vite possible. - Tu peux toujours courir Malfoy, tu n’auras rien. - Ah bon et je veux quoi ? - Comme si tu le savais pas. - Mais je ne le sais pas, Potter, tu pourrais peut-être m’aider … A ces mots, Malfoy attrapa le bras de Potter qui continuait à reculer imperceptiblement, enfin tout au moins c’est ce que Harry pensait. Potter frissonna presque sous le contact des doigts de Draco sur sa peau, il n’eut pas le temps de se débattre qu’il se retrouva dans la position qu’il avait intimée à Draco il y avait peut-être une minute de cela. Harry se retrouva donc, non seulement acculé contre un mur dont la paroi froide lui donnait des frissons, mais pour couronner le tout, Draco se colla à lui. S’il ne sentait pas son érection, il devait vraiment y avoir un problème… et lui allait en avoir un très gros si c’était le cas. Il ne maîtrisait vraiment plus du tout la situation. Son vis-à-vis le fixait à présent, et un large sourire s’étirait sur son visage. Ses cheveux blonds sentaient bon le shampooing à la cerise. Et Malfoy le regardait avec toutes ses dents, tel le grand méchant loup. Potter grogna : - Tu ne me fais pas peur, Malfoy ! - Ah bon ? – fit celui-ci, un sourire encore plus triomphant étirant ses lèvres. Draco prononça ces mots tout contre le visage de Potter, qui sentit sa respiration dans le creux de son cou.Un nouveau frisson le parcourut. Il sut alors que ce n’était pas la froideur du mur qui avait été à l’origine de ses frissons, mais bel et bien la chaleur et la proximité de Draco Malfoy. Cette pensée le frappa avec une certitude effarante. Le souffle de Draco s’égara sur ses lèvres. Il était si près à présent que Potter ne voyait plus rien que ses yeux d’un gris sans fond. Si près que Potter sentit les lèvres de Draco sur les siennes. Et cette fois, Draco savait ce qu’il faisait. Et il n’avait pas les yeux fermés par peur de reconnaître son partenaire. Cette fois, Draco se collait volontairement contre Potter. Harry était entièrement à sa merci. La langue de Malfoy s’égarait dans sa bouche et sa jambe s’égarait entre les jambes de Potter, et sa main dans les cheveux de celui-ci. Ce n’était pas juste un baiser, c’était la promesse de plus, bien plus. Et cette fois, Harry ne s’écarterait pour rien au monde. Il était offert, et Malfoy en avait conscience. Il sentait le sexe dur de Potter contre sa cuisse, il sentait sa langue dans sa propre bouche, et ses mains dans le bas de son dos. Il savait qu’il maîtrisait la situation. Il était libre de s’écarter à tout moment, libre de cesser le baiser. Mais il avait commencé. Il avait acculé Potter. Il avait ancré ses lèvres aux siennes. Et son ventre remuait, et les frissons refaisaient surface. Ou qu’il décide d’aller, Potter le suivrait. Restait à savoir où Malfoy comptait aller exactement. Et pour l’instant, il n’était pas vraiment en état de réfléchir à quoi que ce soit. Ni à prendre les conséquences sur lui-même. Alors il céda à la facilité. Harry ressentit soudain un grand vide, et une vague de froid l’assaillit, le laissant tremblant. Ses mains enserraient le vent. Sa langue tâtait le vide, et son érection restait inassouvie. Malfoy avait tout bonnement décampé à l’aide de la bonne vieille méthode. Il avait transplané au beau milieu du baiser, de … - Merlin, quel connard ! – siffla Harry entre ses dents. Et voila, il s’était encore laissé avoir. Comme pour les photos. Et si Malfoy s’était m... A suivre. Je sais, je suis vile, je suis sadique , tout ce que vous voudrez, mais reviewez :D Donc je disais plus haut que je serais absente pendant 3 semaines pour cause : voyage dans le pays de Randy Harisson et de Gale Harold et tant d'autres ... j'ai nommé l'Amééériiiique (et je ne vous ferais pas l'affront de chanter du Joe Dassin, quelqu'un le fera à ma place ...). Donc voila, pour cette raison, les chapitres que j'écrirais (hum oui car là-bas je serais en maaaanque terrible donc je vais vous écrire... hum devinez quoi :D) ne seront que publiés aux alentours du 20 Août, et je vous prie, je vous en conjuuuuuuure pardonnez-moi pour cette abscence ! Et surtout, surtout, gardez la foi ! XD Non, pas ca. Ne m'oubliez paaaaaas ! N'oubliez pas Comme Si pitié ! Moi je penserais à vouuus ! Voilà, ca sera tout pour l'instant :p J'espère que le chapitre vous a plu (tiens j'ai déjà eu des réclamations alors qu'il n'est même pas posté ? Comment ca le baiser est trop court ? Comment ca ils doivent aller plus loin ? Hinhinhin perverses ! (je peux parler, je sais huhu)) comme d'hab hein, et que vous en êtes encore tout frémissants et émoustillés (ou pas TT) et que vous voulez plus, bien plus, encore et toujours PLUUUUUS ! Bien à vous, Johanna. |