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au 31 Mai 21 :
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Et si on recommençait?
Par Emarciss
Harry Potter  -  Romance/Humour  -  fr
18 chapitres - Rating : T (13ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 9     Les chapitres     17 Reviews    
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Chapitre 9

Comme promis! Merci à toutes les personnes qui continuent de me suivre. Les reviews me font toujours aussi chaud au coeur. Enjoy!

Chapitre 9 : Retrouvailles.

Lily avait les yeux brillants et les cheveux ébouriffés. James était assis et fusillait sa femme du regard et Liam se dit que décidemment son père fréquentait de trop Severus Rogue.

A peine avait il eut le temps de jeter un coup d'œil circulaire à la salle que deux bras l'enserraient et qu'un parfum de fleur le couvrait tout entier. Sa mère s'était jetée sur lui, et le regardait maintenant avec adoration, amour.

Il se dit que jamais un regard ne lui avait parut plus beau et moment plus agréable. Son père s'avança alors, doucement, gauche comme il ne l'imaginait pas. Remontant ses lunettes sur son nez et il se surprit à rire. Ils se ressemblaient. Beaucoup. Beaucoup plus que ce que les gens s'amusaient à décrire.

Pour la première fois de sa vie, il se sentit comblé, heureux, et regretta aussitôt d'avoir attendu si longtemps pour les rencontrer. Noué d'appréhensions envolées maintenant qu'ils l'entouraient de leurs attentions. Il surprit une larme sur la joue d'Hermione, le hochement de tête maladroit de son meilleur ami, la mine paisible de Sirius, et puis la douceur dans les yeux de ses professeurs.

Et c'est la peut être qu'il la remarqua. Le tintement léger de son rire, et le bras protecteur qu'Harry avait négligemment posé sur la chaise ou elle reposait.

Ce bébé aux yeux pourtant trop noirs pour être aussi doux, ses boucles rousses, et ses mains potelées qu'elle agitait dans tous les sens, cherchant sans aucuns doutes à capter l'attention qui lui avait été volée.

Il s'avança alors vers elle, se pencha pour être à sa hauteur, effaçant d'un sourire sa mine boudeuse et son front plissé. Elle était magnifique, et il ne pouvait qu'en haïr encore plus Voldemort.

- C'est ta petite sœur dit Lily et il hocha la tête en se relevant devant l'évidence.

- Je suis content que tu ais accepté de nous rencontrer Harry.

- Moi aussi Papa, j'en suis heureux. Et je suis désolé si j'ai mis autant de temps mais je… Enfin…

- Ne t'inquiètes pas nous comprenons. Cela dit nous sommes là maintenant. Et je suis sur que tu as des tonnes de questions. Que veux-tu savoir ?

Liam prit alors place à côté d'eux, sa famille, celle qu'il observait envieux dans le miroir du Riséd quelques années auparavant, et il s'entendit conter leur vie, leurs joies rythmées par les protestations de sa mère, si vivante, et des rires de son père. Et il se sentit respirer enfin, au milieu des siens.

*

Pansy ne savait que penser. Hermione assise à ses côtés s'était comme à son habitude réfugiée derrière un livre pour éviter de parler de la soirée de la veille.

Il était midi et elles avaient trouvé refuge dans la bibliothèque loin des bruits de la grande salle. Heureusement, elles n'avaient cours que l'après midi et venaient donc juste d'émerger il y avait à peine une heure de cela. Contrairement aux Gryffondors et aux Serpentards qui commençaient à 9 heures.

Elle essaya un regard en direction de son amie, mais niet. Nada.

Putain Hermy qu'est ce qui t'arrive ?

Pourtant elle avait l'air d'apprécier sa soirée avec Ron, le garçon était charmant bien qu'un peu obtus et bourru, Pansy l'aimait bien. Mais Hermione était rentrée sans un mot, sans un baiser – et ils en avaient échangés la veille !- pour le jeune homme. Même à elle, elle n'avait rien dit, se contentant de s'allonger dans son lit et de s'endormir. Ou de faire semblant, parce que la brune elle n'avait pas fermé l'œil.

Elle avait pensé à Harry… Est-ce que cette soirée signifiait qu'ils sortaient ensemble ? Sa jalousie avait été palpable, et elle jubilait en le sentant perdre peu à peu son sang froid. Jusqu'à cette divine explosion, au milieu de cette piste de dance. Et après ça avait juste été le paradis.

Elle poussa un soupir de bien être, et sentit sa meilleure amie la fusiller du regard. Elle avisa ses cernes un peu plus creusées, son teint gris, et le peu de couleurs qu'elle avait prises dans les bras du jeune roux effacées. Et sentit une vague de culpabilité la submerger.

Et se dit aussitôt qu'elle devrait se taper la tête contre un mur tellement c'était débile. Invraisemblable. Pourquoi devrait-elle se sentir mal, alors que c'était elle qui n'acceptait pas d'être heureuse. Pourquoi, bon sang, Hermione Granger se refusait le bonheur ?

- Hermione ?

- Pansy.

- Arrête Hermione.

- Et quoi donc Pansy ? Elle avait à peine relevé les yeux, juste assez pour que son amie puisse voir la lueur moqueuse, un brin sarcastique qui jouait dans ses yeux fatigués.

Consciente de son petit jeu, et aussi parce que le Choixpeau pour elle ne savait quelle raison avait hésité à l'envoyer à Serpentard- !- Pansy poursuivit par un :

- Ne te retourne surtout pas, Ron arrive.

- QUOI ?

En deux temps trois mouvements, la jeune préfète se retrouvait debout, livre refermé contre son cœur, et prête à s'enfuir en courant. Le rire de Pansy lui apprit ce qu'elle savait déjà. Qu'elle avait l'air absolument ridicule, et lui fit également prendre compte qu'elle avait un énorme problème.

Un très gros, et grand problème aux cheveux roux, à la popularité agaçante, et au charme désarmant.

Elle se rassit, et devant la mine plus sérieuse de son amie, se dit qu'il était temps de parler. Il n'était plus temps de douter, d'avoir peur. Il n'était plus là, le temps ou elle pouvait fuir ses problèmes.

- Okay, alors je fais quoi maintenant ?

Celle qui lui faisait face eut un large sourire avant d'afficher une moue songeuse puis décidée.

- T'inquiètes pas j'ai un plan.

*

J'ai un plan mon c…

C'est ce que pensait Hermione Granger alors qu'elle se retrouvait étalée de tout son long sur, bingo ! Vous avez trouvé… Nul autre que Ronald Weasley.

En fait le plan de Pansy était composé en trois phases.

Phase A : Lui parler, lui dire ce qu'elle ressentait, son doute, ses peurs, son appréhension.

Phase B : S'il ne comprenait pas, se jeter sur lui.

Phase C : S'il ne comprenait toujours pas, lui faire des choses dont même Hermione ne connaissait l'existence – Et qu'elle se refusait à faire, malgré les protestations de Pansy-.

Le problème c'est que cela faisait une semaine qu'elle essayait de parler au garçon et qu'il l'évitait comme la peste, lorsqu'il ne l'envoyait pas tout simplement bouler. Il lui en voulait, et la détestait depuis qu'elle lui avait crié au beau milieu de la grande salle d'arrêter de faire l'enfant.

La phase A avait donc échoué, elle marchait dans le couloir ruminant ses pensées lorsqu' elle l'avait percuté violemment et qu'il s'était retrouvé encore une fois à terre par sa faute. A la différence que cette fois ci il l'avait entrainée à sa suite.

Il grogna et elle le trouva absolument sexy, les yeux fermés, les sourcils froncés. Après tout Pansy lui avait dit de se jeter sur lui.

Peut être pas aussi littéralement mais bon. On fait comme on peut hein ?

Elle s'apprêtait donc, très fière et un peu étourdie à mettre en place la phase B de son plan, quand il ouvrit brusquement les yeux et l'écarta de lui. Ce qui fit qu'elle se trouvait désormais à califourchon sur son bassin, les jambes de par et d'autre de sa taille.

- Mais qu'est ce que… Granger qu'est ce que tu fais ? Il sentit son ventre se tordre légèrement en voyant qu'un éclat de tristesse venait de passer dans ses yeux.

- Je… Je te cherchais Ron.

- Et tu voulais quoi ? Me casser quelque chose ? Encore ?

- Non ! Non, je voulais juste te parler ! Chose que tu refuses depuis une semaine ! La fureur avait remplacé la tristesse dans ses prunelles, et il se dit que cette fille le rendrait fou.

- Je ne t'évitais pas, si c'est ce que tu penses.

Faux. Bien sur. Et elle le lui fit comprendre d'un regard. Mais elle l'avait blessé, en le congédiant comme un moins que rien ce matin là. Ron était très fragile même si cela ne se voyait pas, et il se gardait bien de le montrer. Il avait l'air fort, fier, mais pour lui il resterait l'eternel septième fils, le petit dernier de la famille, le garçon qui s'était fait rejeté par Harry Potter. Celui dont on ne voudrait jamais. Alors oui, pour lui c'était un malheur de s'être entiché de cette fille si intelligente – beaucoup trop bien pour lui-. Et il se refusait à perdre encore. Il l'évitait donc, persuadé qu'avec le temps son image arrêterait de le hanter.

Il tenta de se relever, évitant son regard pour ne plus succomber, mais un poids enserrant sa taille lui fit prendre conscience de la position dans laquelle ils se trouvaient.

Elle fit alors quelque chose qui le choqua au plus au point. Elle commença à se balancer de haut en bas, faisant se frotter leurs entre jambes et un délicieux frisson le traversa.

Phase C enclenchée…

Elle rougissait mais ne le quittait pourtant pas des yeux, le chocolat de ses yeux s'assombrissant de minutes en minutes alors qu'il se dit qu'il ne devait pas être dans un meilleur état.

Son souffle se faisait erratique alors que son esprit avait bien du mal à accepter ce qui était en train de se passer : Hermione Granger, pudique Serdaigle était en train de l'exciter dans un lieu public, chose qu'elle ne devait jamais avoir envisager de sa vie.

Et putain elle se débrouille rudement bien.

Sa volonté flanchait alors que ses mains se posaient sur sa taille, effleurant à même sa peau pour la rapprocher de lui et augmenter le contact.

Elle s'allongea sur lui et poussa un soupir de soulagement quand leurs lèvres se nouèrent enfin. Le baiser n'était pas doux, il était fort, urgent, et leurs langues jouaient l'une avec l'autre, les dents s'entrechoquaient et mordaient tellement le besoin devenait pressant.

Avec fougue Hermione caressait son torse, ses cheveux, léchant les tâches de rousseurs que découvrait sa clavicule, dessinant des cheminements d'une sensualité à couper le souffle sur sa peau, alors que Ron se demandait ou elle avait appris tout cela.

Le jeune homme n'avait plus sa chemise alors qu'il redessinait les contours de son soutien gorge, hésitant tout à coup alors qu'elle se frottait à lui perdant toute contenance.

Dans un baiser vertigineux c'est elle qui amena ses mains, un peu tremblantes à l'attache et le laissa faire.

Dans un bruissement à peine audible, le vêtement tomba alors qu'il la serrait encore un peu plus contre son cœur.

*

- Par Merlin et si quelqu'un passait par là ?

- Personne ne passe jamais par là à cette heure ci. Tu crois vraiment que j'aurais fait cela si je savais qu'on risquait de nous surprendre ?

- Tu es le diable en personne.

Il lui adressa un sourire un peu las, et pas du tout surpris, alors qu'elle lui faisait un clin d'œil malicieux. Ils étaient allongés l'un contre l'autre sous une couverture d'un gris délavé. A demi nus, car bien que la jeune fille en avait envie, elle n'était pas prête à faire l'amour. Et Ron l'avait bien comprit. Il frissonna, lui jetant un regard courroucé alors qu'elle entremêlait leurs jambes. Parfaitement consciente du pouvoir qu'elle avait sur lui.

- Ben quoi ? J'ai froid.

Il ricana en réponse se souvenant d'une phrase que Blaise lui avait sortie il y avait pas longtemps :

Les plus coincées, sont les plus chaudes mon pote. Frustrées et intelligentes comme ce n'est pas permis, elles ont une imagination des plus fertiles.

Et Hermione Granger en est la reine.

Rêveur, une envie de lui raconter le pris, mais il se retint. Il n'était pas assez fou pour risquer de se faire étriper par la préfète, et il avait encore beaucoup trop besoin de son meilleur ami.

A regrets il s'écarta d'elle, pensant qu'il fallait qu'ils rentrent maintenant.

Il enfila sa chemise sans un mot, attendant qu'elle se rhabille, lui tournant le dos. Pudiquement. Et le silence qu'ils partageaient était tendu et empli d'interrogations. A vrai dire, ils n'avaient pas vraiment pris la peine de –hum- parler…

Ce fut finalement elle qui le brisa, d'une phrase qui fit pétiller ses yeux bleus.

- Je t'attends à la grande Salle, je te garderais une place à ma table. Tu… tu veux manger avec moi ?

Il hocha la tête. Et cela sonna comme une promesse.

*

Drago appréhendait. Ce soir ce serait à lui de parler. Hier Hermione était venue les trouver, après le diner, au bras de son tout nouveau petit ami, qui lui se contentait d'afficher un sourire béa – et stupide-

Mais son ricanement moqueur fut vite stoppé lorsqu'il fut décidé que ce serait lui qui montrerait ses souvenirs. C'était Liam qui l'avait proposé, il n'avait pas encore digéré la petite surprise de la dernière fois, et comme entre lui et Pansy on devinait aisément qui il préférait c'était lui qui devait se dévouer. Même son traître de meilleur ami n'avait pas protesté, même si le pli soucieux qui barrait son front montrait qu'il n'était pas vraiment du même avis que leurs nouveaux amis

Harry était bien le seul et unique pour qui Drago Malefoy n'avait pas de secrets. Et cela voulait dire beaucoup pour le garçon qui savait donc que la vie d'un aristocrate dont les parents étaient fanatiques de magie noire n'était pas toujours rose.

Tu aurais pu refuser…

C'est ce qu'Harry lui avait murmuré. Arrêter cette histoire avant que cela n'aille plus loin, et qu'on sache. Qu'on sache…

Sa douleur à l'épaule se fit plus vive que d'habitude alors que le temps d'une seconde il eut peur.Peur de ce que l'on penserait de lui après cela. Il ne voulait pas de pitié, de cette compassion mielleuse qui déformerait leurs traits.

Alors oui il aurait pu arrêter, leur dire non. Mais il était un Malefoy, sarcastique, sournois et méchant même parfois mais il ne faillira pas à sa parole. Il ne prendrait pas le risque d'apparaitre comme un lâche aux yeux de Liam. Pourquoi d'ailleurs ce dernier le détestait autant ?

Par Merlin qu'est ce que j'ai bien pu te faire Potter ?

//////

- Qu'est ce qu'il a bien pu te faire Potter ?

Harry venait de poser cette question à son double alors qu'il venait de laisser Pansy-après un baiser- près d'une Hermione hystérique. Lui affichait un sourire satisfait alors qu'il lui répondait, les yeux semi fermés.

- De quoi tu parles Harry ?

- Je parle de mon meilleur ami. Que tu déteste. Peut être même encore plus que je déteste Weasley.

- Je ne le déteste pas. Je le hais.

Le ton était sans réplique. Et le temps d'un instant, Harry retint même son souffle attendant la suite qui ne saurait tarder.

- Je l'exècre. Je pense que s'il y a bien un mot qui me permet de qualifier ma relation avec Malefoy c'est bien la haine. Je ne pense pas que tu hais Ron. Je ne pense même pas que tu le déteste. Tu vois, le problème avec Drago, c'est que c'est un serpent. Un vrai, de ceux qui crachent leur venin alors qu'on les croit inoffensifs. Regarde-le ! Il a une gueule d'ange alors que c'est un démon. Prends le temps de l'observer, il est comme Tom, comme Jedusor, il hypnotise ses proies avant de…

- Mais TA GUEULE ! Tu ne te rends pas compte que tu dis n'importe quoi ?

Après être sorti de son hébétude, Harry était furieux, vraiment furieux. Buté Liam ne dit rien.

- Et Sirius alors ? Lui aussi c'était un Serpent déguisé en Lion ? Sa famille pue la magie noire tu le sais non ? Et alors ? Tu crois que ce n'est pas à cause des gens comme toi que tout le monde l'a accusé sans même rechercher des preuves dans ton monde ! Que Pettigrow a réussi son coup ! Réfléchis BORDEL !

- JE T INTERDIS DE…

- DE QUOI ? De quoi hein ? T'es bourré de préjugés, tu m'écoeures... Est-ce que tu sais Harry pourquoi on dit que de l'amour à la haine il n'y a qu'un pas. Parce que ces deux sentiments sont si semblables. Parce qu'ils rendent tous les deux aveugles. Ce soir tu vas ouvrir les yeux Enfoiré. Je te le promets…

- Lâche-moi Potter.

- …

- Harry…

Pansy venait de lui attraper le bras, alors qu'ils étaient collés contre le mur, prêts à se battre. Le silence s'était fait sans même qu'ils s'en rendent compte, et les autres avaient l'air abattus, revenus au point de départ. Se calmant instantanément, il relâcha son vis-à-vis et se dirigea vers la salle sur demande ou Drago était entré sans même leur jeter un regard.

Oui je sais, c'est naze de m'arrêter là :p. Mais j'étais obligée. Je pense que certains me haissent pour leur donner des fins aussi pourries, une review peut être pour me montrer combien vous êtes mécontents? :P.

Votre, Emarciss. :)

 
 
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