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A vos coeurs égarés
Par BBrocklehurst
Harry Potter  -  Drame/Action/Aventure  -  fr
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    Chapitre 2     Les chapitres     5 Reviews    
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Chapitre premier : A vos cÅ“urs égarés

( Merci à San pour la première relecture ! )

Bonne lecture, on se retrouve en bas.

OoO

Prologue : A vos cœurs égarés.

Il était exténué. Bousillé. Ses myosotis virèrent au polaire lorsqu'il humecta le parfum capiteux des corps qui combinaient entre eux. Infectes. A gerber. L'homme expira longuement dans l'idée sotte de se débarrasser de l'odeur et par conséquent, du goût. Il n'y cru pas une seule seconde. Comment diable pouvait-il espérer être tombé au bon endroit ? Les corps qui s'échauffaient sous le capharnaüm qu'on osait nommer musique. Ca crépitait au bout de ses doigts et le voilà qui grondait, le malheureux. Parce qu'il était furieux. Furieux contre eux, furieux contre lui-même. Il n'arrivait pas à se faire l'idée. Il continua à chercher malgré tout, malgré les intempéries et malgré ... Lui. S'ils daignaient enfin se montrer, néanmoins. Mais le sorcier ne reconnaissait strictement rien. Ces sans-pouvoirs le heurtaient sous la musique métallique et électrique, gueulant au même rythme que celui qui tenait le micro. Certaines mains le frôlèrent, brûlantes d'un désir ardent. On le touchait mais on l'ignorait. On l'observait mais on ne le voyait pas. Le rictus de dégoût qui barra sa gueule de travers n'en fit même pas reculer un seul. La grande tige jaugea et fouilla au milieu de la foule de punk. Il n'y avait rien ... Il ne trouverait pas. Ses coudes jouaient et brassaient dans la vague humaine et l'ancien Serpentard tenta tant bien que mal de se faufiler à l'extérieur. Ici, il étouffait. Ils étaient bien trop nombreux à se trémousser et se bousculer. Les moldus étaient en surnombre et le serpent sentait leur venin couler sur ses écailles. Putain d'ironie. Puis comme une brise éphémère, deux prunelles chocolat s'attardèrent sur la foule et disparaissaient presque aussitôt.

Etait-ce ? ...

Non, il avait rêvé.

Mais ses pieds le dirigeaient déjà en catimini vers la silhouette qu'il reconnaissait à peine. Pas de crinière de lion. Juste une touffe de cheveux coupés courts et une paire de fesses qui tanguaient de gauche à droite, poussées par une paire de jambes hâtives de réfugier ce corps chaloupé. Il soupira. Rien qu'une vieille chimère, une illusion fugace à laquelle il s'accrocha par espoir. Mais deux moldus quelconques sortirent de l'ouverture, le sourire aux lèvres. Soupire. Il ne les trouverait jamais. Le pire ? Son cœur, ce sale traitre, qui tourbillonnait comme un sorcier sur son balai après avoir aperçu le vif d'or. Un vrai tintamarre. Sa grande patte cogna son torse et lui grogna entre ses babines. Tu vas te taire, saloperie ? C'était de la folie, bientôt, on découvrirait son manège. Bientôt, on le placarderait sur une affiche comme tous les traitres. Malefoy vrilla pourtant son regard sur cette fameuse porte mystère avaleuse de fessiers et cracheuse de punks mauvais-genre. Et si ... Non, il n'osait plus y croire. Et pourtant, ses pieds le dirigeaient droit vers le rideau sombre. Ses dextres crépitaient, tâtaient et cherchaient. Aussitôt, un demi-géant à l'air bougon se postait devant sa carcasse et l'invectivait. Le blond sourcilla en levant les yeux vers celui qui devait faire bien deux mètres, l'air mauvais.

« - Dégage de là, c'est privé !

Sa baguette le démangeait. Il osait lui parler comme à un vulgaire passant. Ses lèvres fendirent sur son faciès pâle. Mais c'est exactement ce que tu es, Drago. Un vulgaire passant.

- Oh allez quoi, j'ai vu des soulards sortir de là-dedans ! qu'il meuglait en moulinant des bras.

Jolie imitation, fais plus pathétique pour voir ?

- T'es sourd, la blondinette ? J't'ai dit de dégager d'là !

Cette fois, le gros tas hurlait pour se faire entendre à travers la «musique». Un hurlement de mandragore aurait été largement préférable à ça. Il ne voulait pas se faire trop repérer, alors il jouait, Drago. Il tangua et fit mine d'être galvanisé par l'alcool sous l'œil sceptique du garde. Ses mains balayaient l'air alors qu'il enclenchait un demi-tour. Mais ses prunelles, elles, virent ce qu'aucun moldu n'aurait remarqué. Du moins, pas sans détourner un regard désintéressé de l'objet. Le bout de bois dépassant de la poche arrière. Et revoilà que l'attrapeur foutait le bordel dans son torse. Son palpitant avait ses raisons que la raison elle-même ignorait. Il aurait juré avoir entendu quelque chose de similaire, à force de traîner dans le vieux Londres moldu. Il était sûr d'une chose, ici rôdait des confrères.

Oh, confrères.

Quel drôle de sobriquet ...

OoO

Ici, la veille, trônait une foule en sueur et surexcitée. L'endroit était à peine reconnaissable en plein jour. Malefoy fronça ses arques et fit la moue. Il avait dû ruser pour entrer ici durant l'heure de fermeture. L'affaire n'avait pas été mince. Des cadavres de bracelets, paquets de cigarettes et autres joyeusetés moldues traînaient sur le sol. Comme le corps sans conscience à ses pieds. Drago pencha sa silhouette, agrippa une baguette en bois d'aubépine et la fit délicatement tourner entre ses doigts avec flegme. Il allait lui falloir beaucoup de patience s'il voulait obtenir des réponses. Car si ceux qui trouvaient refuge ici n'étaient pas ces cibles, alors il serait inutile de s'éterniser. Et surtout superflu de se faire remarquer. D'un coup de bâton, l'inconscient lévita devant ses prunelles pour rejoindre une cachette adéquate. Il n'avait plus qu'à patienter sagement. Ou du moins, autant que possible.

Près de trois heures plus tard, le sorcier attendait toujours que quelqu'un daigne sortir où entrer de cette maudite porte. Les rideaux de velours, s'élevant à peine à cause de leur lourdeur, ne bougeaient que trop rarement, laissant tout même à Drago le temps de se tendre comme une baguette. Mais, à chaque fois, ce n'était qu'un malheureux coup de vent suffisamment fort pour faire bouger l'épais tissu. Et à chaque fois, Drago grommelait dans sa barbe de trois jours en cognant l'arrière de sa tête contre le mur, désespéré. Pourtant, un sourire venait parfois troubler son visage qu'il devinait fatigué. Il ne s'était plus vu dans un miroir depuis belle lurette, mais se doutait bien d'avoir une tête à faire fuir un hippogriffe. Et dire que fut un temps, il était le roi des égocentriques. Ce temps-là lui semblait tellement lointain ... Oh, il l'était, d'une certaine manière. Les choses s'étaient rapidement gâtées après la guerre. Les souvenirs commencèrent à défiler devant ses prunelles éteintes, jusqu'à ce qu'un éclat de voix l'alerte. Tendu plus que jamais, l'ancien vert et argent étira son esgourde pour ne pas louper une miette du dialogue. Son palpitant, cette fois, tambourina si fort qu'il crut le vomir.

« - Combien de fois devrais-je te le dire, s'impatienta une voix féminine qu'il était sûr de connaître, attends mon signal avant de faire quoi que ce soit, tu veux qu'on se fasse griller ?

Le ton était sec et énergique. Oui, Drago était persuadé de la reconnaître, sans parvenir à y mettre un visage.

- C'est bon, la névrosée, le retour ! grogna une voix masculine légèrement rocailleuse. Tu peux cesser deux minutes de me culpabiliser et me laisser gérer ? Dois-je te rappeler que je suis ton aîné ?

La réponse de la femme fut rapidement étouffée. Sûrement par les rideaux épais. Mais Malefoy n'écoutait plus vraiment, les yeux dans le vague et un sourire au coin des lèvres. S'il n'avait pas reconnu la voix féminine, la voix de l'homme lui disait davantage quelque chose. Sur cette découverte étrange, Drago jeta un sort de localisation sur le corps à côté de lui. Il y avait fort à parier que le gus qui se tenait à ses pieds était un petit compagnon du groupe. Et il était hors de question qu'il les perde de vue. Il y avait trop de mystère qui entourait ce refuge étrange pour qu'il abandonne. Une fois le sort jeté, Drago le réveilla de force pour lui effacer la mémoire. Il était tout bonnement hors de question que les sorciers voient venir le serpent avant qu'il n'ait décidé lui-même du plan.

OoO

Si Drago avait été sur un bateau en pleine mer, ç'aurait été sans rames pour avancer. Car il ne ramait pas, il stagnait. Le blond fixait ses plans, l'air grognon, tout en mâchouillant un morceau de pomme. Deux jours plus tôt, il avait profité des moments de creux pour vérifier les différents sortilèges présents devant l'entrée du bar. Les locataires avaient veillé à ne viser que l'entrée de velour noir pour ne pas éveiller les soupçons. Toutes les protections étaient difficiles à répertorier tellement elles étaient nombreuses et ingénieuses. C'était certain, un petit groupe de sorciers voulant autant se protéger était forcément épris d'une certaine culpabilité. Le nouveau régime imposé par l'ordre offrait régulièrement ce genre de scénarios. Mais de tels forcenés, Drago en avait rarement croisés. Et surtout pas avec de telles protections et une pareille organisation. Il lui faudrait étudier le terrain avec plus d'assiduité pour avoir un véritable plan. Avec dépit, Malefoy observa l'aiguille de l'horloge indiquer vingt-trois-heures et vingt-et-une minutes. Il allait devoir se coltiner ce fichu métal moldu. Avant, il prit tout de même le temps de transformer son apparence. Ses cheveux devinrent donc noirs, son visage prit quelques rides et son look fut celui du parfait petit moldu bien ringard. Une chemise à carreaux décrépite qui allait parfaitement avec sa barbe de plus en plus épaisse. Il fallait vraiment qu'il fasse quelque chose à ce sujet. Mais pour le moment, il avait bien plus important à faire qu'une toilette soignée. Le Malefoy méconnaissable transplana alors, direction le pub moldu.

OoO

Une fois sur place, il put constater avec soulagement que l'ambiance avait légèrement changé. La piste avait laissé place à plusieurs tables où des individus buvaient joyeusement. Sur l'estrade, des instruments étaient délaissés et seuls les drôles de cubes noirs continuaient de cracher une musique au son bas, permettant ainsi aux clients de s'entendre parler. Le rythme lascif et légèrement dérangeant de la mélodie était certes plus doux, mais clairement pas du goût de tout le monde. Malefoy cacha avec prudence sa baguette sous sa chemise et s'installa au comptoir. Il crevait d'envie de boire un bon Whisky-pur-feu, mais dû se contenter d'un Jack Daniel's. Pas mauvais sans être renversant. L'alcool était même bien plus doux que celui qu'il avait l'habitude de boire. L'ancien Serpentard se contenta néanmoins de cet unique verre. Il avait besoin de toutes ses capacités pour effectuer sa mission de reconnaissance. Et aussi faible cet alcool était-il pour un sorcier, il préférait ne pas trop jouer avec le feu. Les papilles gorgées de l'élixir de comptoir, Drago tourna le regard vers la foule du bar. Il était ici depuis bien une heure, à zoner aux côtés d'autres soulards incohérents, lorsqu'il croisa à nouveau les deux éclats chocolat. Son palpitant manqua un nouveau battement alors qu'il observait la femme sans pudeur. Elle était légèrement trop grande, pour être Granger. Et même si le temps aurait très bien pu lui donner cette nouvelle silhouette légèrement musclée, il était peu probable qu'elle soit celle qu'il avait haïe de toutes ses forces pendant six années entières. Cette femme ne pouvait pas être l'ancienne Gryffondor. Avec sa crinière courte, ses cheveux châtains trop foncés et trop ordonnés et son maquillage qui lui donnait un regard mauvais. Non, si cette femme semblait bel et bien être une sorcière du petit groupe qu'il cherchait, elle n'était pas l'ancienne Gryffondor. Grand bien lui fasse, elle n'était de toute manière pas la personne qu'il cherchait. Drago observa distraitement l'homme à côté d'elle. Grand, les cheveux grisonnants et coupés à quelques centimètres de ses oreilles. Lui aussi semblait étrangement familier. Mais une fois encore, il n'évoquait rien à Drago.

Il n'eut pas le temps de continuer à tergiverser mentalement et dû tourner la tête rapidement. Son regard avait dû se faire trop insistant, car les deux têtes s'étaient tournées vers lui. Il allait devoir jouer la discrétion et être d'une extrême patience s'il ne voulait pas se faire griller. Malefoy soupira puis, finalement, demanda un nouveau verre. Il n'avait pas de plan précis, mais une idée désagréable en tête. S'il était capable de se déguiser pour se faire discret, eux aussi. Il était inutile de jouer aux devinettes. Soit il n'en connaissait aucun, soit les sortilèges de métamorphose étaient à l'image des sorts de protections de cette foutue porte en velours. Le jeune homme jeta quelques billets moldus sur le comptoir, puis tourna les talons. Près à vivre un nouveau petit manège qui le lasserait vite, mais qu'il ne pouvait pas éviter. Et c'est ce qu'il fit. Chaque fois, le blond revêtait un nouveau déguisement pour s'installer au bar. Parfois, il enfilait le même, laissant l'impression aux différents barmans ou barmaids d'avoir de nouveaux habitués, sans jamais se douter qu'il s'agissait du même homme. Chaque soir, Malefoy découvrait de nouvelles boissons moldues. Il avait néanmoins la fâcheuse manie de revenir à ce bon vieux Jack auquel il s'était habitué, faute de mieux. Il compta les jours, désespéré de ne jamais rien trouver d'intéressant. Mais une petite routine malsaine s'était instaurée entre lui et Jack. Il ne dépassait jamais le deuxième verre, mais s'installait toujours à une table différente. Parfois, une nouvelle soirée à thème foutait son plan en l'air et il faisait immédiatement demi-tour pour s'épargner un concert de moldus en sueurs. Mais, un mois plus tard, Malefoy crut enfin déceler un indice de taille. Un petit détail stupide qu'il n'avait jamais remarqué jusque-là.

OoO

Le blond, maintenant roux à son grand dépit, jetait une cacahuète dans sa bouche béante en fusillant les clients de son œil morne. Il optait sans arrêt pour une allure quelconque de gars passe-partout. Ainsi, il était certain de ne jamais être accosté par personne. Surtout les femmes ... Il n'avait ni le temps, ni l'envie d'aller s'acoquiner avec une donzelle. Et encore moins une moldue. Car, ses anciens préjugés mis de côté, il les trouvait terriblement barbants. Et être coincé parmi ces derniers chaque soir ne faisait que confirmer ce qu'il pensait. Les moldus étaient d'un ennui mortel, si bien qu'il passait le plus clair de son temps à observer le bar. Cet édifice figé à jamais dans une immobilité évidente n'avait rien d'un hôtel de luxe et il était pourtant plus captivant. Gorgé d'histoire. Le lambris en bois était recouvert de différentes photographies figées. Même leurs photos étaient accablantes de banalité. Malefoy détourna le regard vers le liquide ambré de son verre qui scintillait sous la lumière artificielle, puis leva un œil gris vers la porte de velour. Ses prunelles se posèrent sur une grande photographie juste au-dessus de celle-ci. Il manqua de s'étouffer avec sa cacahuète en réalisant que ladite photo l'observait. Malefoy fronça les sourcils, frappa son torse et essuya ses larmes, puis observa la salle. Personne ne semblait focalisé sur lui. Parfait.

Drago étira sa silhouette un peu plus pour regarder les deux prunelles du beau visage qui lui souriait tout en lui lançant des clins d'œil. Pas moyen. Les iris du blond ourlèrent de gauche à droite. Personne ne semblait avoir remarqué que la photographie était carrément en train de flirter avec lui. Pour être bien certain de ce qu'il voyait, Malefoy se pointa lui-même du torse en agitant ses lippes pour formuler un « moi ? » silencieux. A côté de lui, une moldue blonde lui lança un regard étrange, tout en fixant le portrait qu'elle voyait immobile. Son regard était équivoque. La moldue leva les yeux au ciel, soupira et changea de position pour s'intéresser davantage à ce que la femme en face d'elle lui susurrait à l'oreille. Il avait remarqué la main de la métisse glisser sur la cuisse de cette dernière et se reprit aussitôt en fixant à nouveau le portrait. Cette fois, c'était sûr. Ce fichu portrait lui faisait les gros yeux.

« - Elle a un faible pour les roux.

Malefoy mit un moment à réaliser qu'on lui adressait la parole à lui. Pour la première fois depuis qu'il mettait les pieds ici.

- Pardon ?

Il n'avait même pas eu besoin de changer sa voix. A force de rester silencieux, cette dernière était devenue rauque et enrouée. La brune à côté de lui était celle qu'il avait longtemps observé. Elle plongea ses yeux chocolats dans les siens et s'arrêta quelques secondes. Un fantôme passa. Puis elle se reprit et lança un beau sourire à Drago.

- Rowyna, répondit la jeune femme en balançant un coup de tête en direction du portait, les mains sur les hanches. Je la vois vous faire du charme depuis tout à l'heure.

Malefoy n'avait de cesse de fixer ses prunelles chocolats. Par Merlin, est-ce qu'il s'était trompé depuis le début ? Est-ce que ... Est-ce que cette femme était bel et bien Granger ? Hermione Granger ? Elle tiqua légèrement alors qu'il ne cessait de la dévisager, légèrement sur la défensive. Malefoy tourna les yeux et haussa les épaules.

- Oh, on peut bien lui accorder ce plaisir ... reprit-il de cette même voix rauque qu'il reconnaissait à peine lui-même.

Pour toute réponse, la brune marmonna pour que lui seul entende :

- Ca fait du bien de voir des compatriotes dans le coin... La prochaine fois demandez un pur feu à Elie, elle saura.

Malefoy évita soigneusement de regarder ladite Elie.

- C'est marrant, vous me faites penser à un vieil ami ... »

Drago leva la tête précipitamment pour voir le regard triste de cette dernière disparaître. Alors, il n'avait pas rêvé. Cette fois, il en était certain. Cet éclat de chagrin noyé dans cet océan cacao ... Cette femme était Hermione Granger. Ce qui ne pouvait dire qu'une chose. Drago Malefoy avait trouvé ce qu'il cherchait.

Il avait trouvé l'Ordre du phœnix.

Et pour la première fois depuis une éternité, l'espoir gonfla sa poitrine.

OoO

J'ai conscience de laisser planer le mystère pour le moment.

Pour les premiers chapitres, vous aurez la mise en place en priorité.

Le second chapitre aura un peu plus d'actions et de dialogues, promis ! Il est même déjà rédigé. =) ( Note du 26/01/18 : Ayant publié Vendredi dernier déjà, vous aurez le chapitre deux juste après celui-ci. )

N'hésitez pas à me faire part de vos impressions, en espérant vous avoir séduit avec ce Prologue.

BeaBrocklehurst

 

 
 
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