Les vacances de la Toussaint arrivent et lors du dernier cours, M. Keller nous dit
«Bon, vous savez que la Toussaint est la fête des morts. Et bien, cette année, nous avions tous peur que cela arrive à votre camarade de classe. Je voulais vous annoncer cette nouvelle moi-même… Jason est sorti du coma ».
Enfin ! J’ai eu si peur ! À la fin du cours, je m’empresse de sortir du lycée pour rejoindre l’hôpital. Lorsque j’entre dans la chambre 106, Jason est seul. Je cours vers son lit pour l’embrasser.
« -Qu’est ce qu’il s’est passé ?
- C'est mon ancien petit copain... Il m’espionne depuis que j’ai rompu, et lorsqu’il a vu que tu entrais chez moi et que tu ne sortais plus, il a fait une crise de jalousie. Il m’a frappé à plusieurs reprises, et ensuite, il m’a jeté par terre. J’ai voulu m'échapper mais il est arrivé trop vite et m’a poussé dans les escaliers… Je me souviens de tout, mais je ne vais rien dire à la police. Il serait trop énervé.. »
Je le regarde, il me regarde. Une larme coule sur ma joue.
« J’ai eu tellement peur de te perdre… Je ne suis plus rien sans toi… Je sais que c’est ridicule de te dire ça, on ne se connaît que depuis un mois… Mais c’est quand même un sentiment réel que j'ai pour toi… ».
Je suis assis à ses côtés. Il se rapproche de moi pour me donner un baiser. Le premier vrai baiser entre lui et moi. Un frisson me parcourt, j’ai l’impression qu’il y a un feu d’artifice dans mon cœur. Tout ce qui est sombre en moi semble enfin s’éclaircir. Nous nous ressemblons, nous ne faisons qu’un et nous nous aimons.
Quelques jours plus tard, il sort de l’hôpital et je le raccompagne chez lui. Il me propose de rester la nuit et, bien entendu, j’accepte. Je vais chez moi chercher toutes mes affaires pour ce week-end merveilleux que je vais passer avec lui. Je récupère les cours à rattraper, un pyjama, un caleçon et des affaires de rechange au cas-où. Je marche en direction de la maison de mon bien-aimé. Arrivé à sa rue, j’ai encore plus le sourire. Je toque à sa porte, il m'ouvre, m’embrasse passionnément et m’emmène dans sa chambre. Nous commençons à travailler mais il fait une chaleur étouffante dans sa chambre. « Oh pétard que j’ai chaud ! » me dit Jason, et moi de répondre « J’te le fais pas dire, une chaleur à se foutre à poil ! ». A ce moment, Jason déboutonne sa chemise bleue à carreaux laissant apparaître son torse parfaitement sculpté. Il s’approche de moi et m’enlève mon tee-shirt blanc. Il m’embrasse amoureusement le front, puis le nez. Quand il descend sur ma bouche, je ne peux m’empêcher de l’embrasser aussi. Il sort sa langue et commence à lécher mon coup, puis mon torse et mon ventre. Il est à genoux devant moi. « Ton jean, me souffle-t-il, il est de trop. ». Il déboutonne la pression puis glisse la fermeture-éclair vers le bas afin d’ouvrir ma braguette puis il descend doucement mon jean laissant apparaître mon caleçon, dernier tissu qui cache le coffre-fort. Il se lève et colle son corps contre le mien en m’embrassant. Je pose mes mains sur son pantalon de survêtement que j’enlève. Nous sommes tous les deux en caleçon, collés l’un contre l’autre. Il me tourne dos à lui et colle son boxer contre le mien. Je peux sentir son début d’érection qui m’excite vraiment tandis qu'il fait des mouvements avant-arrière pour simuler une pénétration. Nous nous embrassons en même temps, puis je me retourne face à lui, me baisse et enlève ce dernier tissu qui l’habille pour voir une grande tige dressée au garde-à-vous. Je commence à lui faire une fellation, ce qui le fait encore plus bander. Je me relève et il se baisse à son tour pour me faire la même chose. Il me procure un moment de pur plaisir. Les minutes passent et nous continuons à nous faire du bien. |