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Un monde de Bonheur
Par Zephis
Gundam Wing/AC  -  Romance  -  fr
14 chapitres - Complète - Rating : T (13ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 10     Les chapitres     6 Reviews    
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Les ennuis commencent

ATTENTION : Lime, un peu… le nom du chap à surtout à voir avec la fin

 

 

Les jours, les semaines passaient. Les jumeaux s’habituaient doucement à leur nouvelle vie. Mais refusaient toujours l’autorité de leurs pseudo-beaux-parents qui peinaient à les supporter. Ce n’est que quelques jours plus tôt qu’il y avait eut CE problème.

 

***Flash Back***

 

le vendredi matin, Duo sauta dans les bras de son japonais, appliquant plein de baisers papillon sur ses joues, ses lèvres, ses paupière… Cette affection, bien que coutumière, surprit Heero qui comprit que son natté était content, pour quelques raison que ce soit. Duo l’en informa dès qu’il eut fini de l’embrasser :

- My love, est-ce que tu est libre ce week-end, TOUT le week-end, dès ce soir même… ?

- Il fait que je voie, je ne sais pas encore. Pourquoi ?

- Ma mère et son copain s’en vont en week-end, j’ai la maison pour moi tout seul, assez de nourriture pour tout un régiment, de l’argent s’il manque quelque chose, mais il me manque UNE chose, que je ne peux pas acheter…

Duo avait prit une voix sensuelle et suppliante et ses yeux s’adoucirent à la façon Maxwell. Heero, fondant comme glace au soleil, l’embrassa du bout de lèvres avant de déclarer :

- J’appellerai ma mère à la pause de tout à l’heure, plus pour la prévenir, tu la connais, elle sera d’accord, et ce soir, on ira me chercher quelques affaires de rechange.

Duo eut un immense sourire qui étira ses yeux améthystes.

- Heero ?

- Hn ?

- Je t’aime.

Le japonais sourit à son tour et, contre les lèvres de l’américain, dit :

- Moi aussi, Tenshi, ai shiteru.

Ils s’embrassèrent doucement, dans le coin de la cour où ils avaient l’habitude de se retrouver pour un peu de tendresse loin de tout.

 

A la fin de la journée, Duo était encore plus content qu’au début. Les doigts entrelacés, les deux jeunes hommes allèrent prendre quelques affaires chez le japonais puis se dirigèrent d’un pas allègre vers la grande maison où ils allaient passer le week-end.

En bons élèves qu’ils étaient, ils se débarrassèrent de leurs quelques devoirs[1], Heero devait détecter l’anomalie d’un logiciel et Duo avait à dessiner la « chose »[2] peuplant ses rêves, ce qui ne fut pas difficile à déterminer, la « chose », il l’avait devant lui, plongée dans son laptop[3]. Tandis que Heero tapait, martyrisait les touches du clavier, Duo se prit à l’imaginer dans un endroit idyllique.

Il attrapa feuilles et crayons puis se mit à tracer sûrement sur la première feuille. Il s’arrêtait régulièrement pour observer son japonais et reprendre ensuite ? à un moment où il relevait son crayon et ses yeux, il remarqua que Heero avait terminer et qu’il s’était assis en tailleur sur le lit, à côté de lui, son laptop sur les genoux. Le natté sourit puis continua son dessin. Il avait créé le paysage déjà, un lac miroitant entouré de grands arbres qui projetaient leurs ombres sur les rives remplies d’herbes.

Il s’attaqua ensuite à l’espace, assez grand, qu’il avait laisser pour dessiner l’homme de ses rêves. Il traça plusieurs traits, en gomma quelques uns, en refit d’autre. Puis, exaspéré, il pensa abandonner. Il releva la tête, Heero était toujours devant lui, en train de lire. Alors, l’idée lui vint[4]. Il posa ses affaires à côté de lui, s’approcha de Heero pour enlever l’ordinateur portable de sur ses genoux, placer ses mains d’une certaine manière et pencher légèrement sa tête sur le côté. Son imagination ferait le reste. Après tout, leur professeur de dessin ne leur avait pas interdit de prendre un model, et Duo savait que, pour un corps entier, il lui fallait un support ; mais ce que le prof ne saurait pas, c’est que le model et le dessin était la même personne.

Heero avait prit l’habitude que Duo, sans rien demander expressément, lui fasse prendre une certaine pose. Bien sur, il avait eut quelque peu du mal au début, et Duo avait dû lui expliquer, mais maintenant, cela se faisait sans aucune parole échangée, juste un sourire quand Duo était satisfait. Et un baiser quand il avait fini. Une fois le métis posé comme il lui convenait, Duo repris son travail.

Une demi-heure plus tard, il avait terminer son esquisse. Il était fier de lui, c’était l’une des plus réussie qu’il avait faite de Heero depuis qu’il le connaissait. Le sujet, d’ailleurs, trouva le dessin saisissant, le tracé étant sûr et l’impression de Paradis se ressentait très bien[5]. Duo embrassa alors son model, tout en posant ses feuilles sur une tablette à côté de son lit.

Leurs langues jouant ensemble plusieurs minutes, ils ne se décidèrent à se lâcher que quand le portable de Duo sonna de la sonnerie attribuée à sa famille. C’était sa mère qui l’appelait. Tandis qu’il décrochait, Heero était dans son dos, ses mains passées sous son T-shirt, apposant des baisers-papillon dans son cou.

- Allô ?

- Duo, c’est moi !

- Mum’, ça va ?

- Oui, mon ange, et toi ? pas trop triste tout seul ? à moins que tu n’est réussit à kidnapper quelqu’un pour passer le week-end avec toi ?

- Bingo, Mam’, j’ai réussit à prendre (Ah, non !)… * raclement de gorge * Heero en otage.

- Je vois, et que fait-t-il ? il t’embête encore sûrement…

- C’est-à-dire qu’il (Hee-chan ! Ah, non, pas là !), il me… chatouille.

- Ouais, ouais, … Bon, c’était juste pour savoir si ça allait, et ça à l’air. Aller, mon bébé, à Dimanche soir !

- Mum’, ‘suis (Non, Hee… Ah !) ‘suis plus un bébé !

- Mais si, tu es toujours mon petit bébé diablotin ! Bisous ! – Clic- Tut ! tut ! tut !

- Ma… pfff…

Duo rejeta son téléphone au pied de son lit alors que Heero lui caressait le torse langoureusement et lui suçotait le cou amoureusement.

- Dis… ?

- Hn…

- Et si… hm… si on allait… grignoter un… Ah… morceau… ?

- Hn, c’est toi que j’ai envie de manger !

- Hmm… s’il te plait… Hee-chan…

Pour appuyer sa demande, son ventre émit un léger gargouillis, signe qu’il était en état de famine avancée.

- Hn. D’accord, mais je te préviens…

- Je sais, tu vas me sauter dessus dès que possible, mais j’ai envie d’aller me balader dans le jardin après manger… C’est très joli la nuit, tu le sais.

Duo le fit céder encore une fois grâce à son regard de chien battu © Maxwell. Heero soupire, lui sourit et l’embrassa délicatement du bout des lèvres.

Ils descendirent manger frugalement, malgré la faim du natté, les yeux dans les yeux, se faisant du pied à celui qui craquerait en premier[6], puis le natté entraîna son japonais dans le jardin. Duo était pieds nu, Heero en chaussette, mais tout ce qui comptait pour eux, c’était la présence de l’autre. Pendant presque trois-quart d’heure, ils discutèrent, enfin, surtout Duo, s’embrassèrent, s’enlacèrent, pour finir par rentrer à l’intérieur, heureux, serein…

Ils s’affalèrent paresseusement sur le canapé du salon. S’embrassant plus que regardant la télé, ils finirent par monter dans la chambre de l’américain, ce dernier étant porté comme une mariée par le brun. Ils ne se lâchèrent pas, juste un peu pour se déshabiller avant d’entrer dans la douche, qui se réchauffait sans qu’ils aient vraiment besoin de tourner le robinet d’eau chaude. Leur douche finie, après maintes caresses bien placées, ils s’effondrèrent sur le grand lit de Duo, terminant ce qu’ils avaient commencer dans la douche, et même avant d’aller manger … [7]

 

 

Le lendemain matin, Heero sentit un souffle régulier caresser son cou, des cheveux lui chatouiller le torse et des jambes emprisonner les siennes. Il était serein au côté de son ange au cheveux long, un peu fourbu de leurs ébats de la veille au soir, mais sans doute moins que lui. Il se tordit le cou pour voir le réveil sans éveiller Duo, qui dormait encore comme un bébé. 9h12. Il s’étonna de l’heure, au vue de celle à laquelle ils s’étaient, approximativement, endormis (écroulé… ?) et se doutait bien que son ange n’émergerait pas avant 1 ou 2h. Il resta là à contempler son bel endormis pendant une demi-heure, puis se glissa doucement hors du lit, sans réveiller le natté ; plus très natté… Il se leva, pris des affaires dans son sac puis se dirigea vers la salle de bain, où il comptait bien prendre une douche.

 

Un frôlement… Des draps qui glissent, plissent… … La chaleur qui s’en va… … Un bruit… De l’eau qui coule… … Une porte qu’on ouvre doucement… Puis que l’on ferme… … Une autre porte… Un peu de lumière qui force le réveil… Une masse dans le lit qui grogne et se cache de la lumière traîtresse… Le Sommeil… .

 

Heero, une fois ressortit tout habillé de la salle de bain, alla pour descendre à la cuisine. Il ouvrit donc la porte de la chambre silencieusement, mais un rai de lumière vint s’insinuer jusqu’au visage du dormeur qui émit une sorte de grognement/gémissement avant de se tourner pour ne plus avoir la lumière. Heero sourit tendrement, se rappelant le jour où Trowa et lui avaient trouver deux anges endormis dans le lit de l’un d’eux avec le soleil qui filtrait magiquement au travers des rideaux… (cf. chapitre 1). Il descendit alors, en fermant précautionneusement la porte.

 

Ne sentant plus de chaleur à côté de lui depuis un bon bout de temps, Duo s’efforça à ouvrir les yeux. Le noir complet l’entourait. Il se releva un peu pour s’enquérir de l’heure et vit affiché : 11h38. Il se leva pour prendre une douche, puis s’habiller et enfin descendre découvrir où son Hee-chan se cachait.

 

Il le trouva sur le canapé du salon, assit devant la télé, qui passait un dessin animé dont l’histoire était celle de 5 jeunes hommes pilotant des robots géants et devant protéger la Terre et des colonies spatiales[8], en même temps, il lisait un roman dont le natté ne vit pas le titre ?

Duo se pencha au dessus du dossier du sofa, il savait que Heero l’avait remarqué car il pencha la tête pour que Duo l’embrasse dans le cou, ce que l’américain fit tout de suite. De baisers papillons en baisers plus poussés, le natté finit par passé par-dessus le dossier du canapé, avec la gentille aide d’un japonais métissé aux yeux bleus. Leurs bouches se cherchèrent, leurs souffles se mêlèrent, leurs lèvres se trouvèrent enfin, leurs langues jouèrent ensembles. Ils se séparèrent, tentant de retrouver leurs souffles, tout en restant proche . Heero prit alors la parole doucement :

- Bien dormis Tenshi ?

- Toujours avec toi. Depuis combien de temps es-tu réveillé ?

- Depuis… neuf heures et quart, environ…

- Et tu m’as attendu tout ce temps ! Pourquoi tu ne m’a pas réveillé ?

- Pas le courage, tu était si beau.

Duo sourit puis réembrassa son japonais. Leurs langues reprirent leurs danse, tandis que leurs mains caressaient la peau de l’autre à travers le tissus. Cela faisait longtemps qu’ils n’avaient pu passer un week-end ensemble, loin de tout, de leurs parents, de leurs cours, ils désiraient en profiter.

Heero fit basculé le natté, l’allongeant entre lui et le sofa, parcourant son cou de baiser brûlant pendant que ses mains s’activaient sous le T-shirt. Insatisfait, il enleva ledit vêtement en même temps que le natté lui ôtait le sien. Le brun continuait de parsemer le torse de Duo de baiser, mais celui-ci en décida autrement. Par un habile mouvement de hanche, et heureusement que le divan était assez profond, le natté inversa leurs rôles. Il infligea au japonais la douce torture à laquelle il venait d’être soumis. Des gémissement s’échappèrent d’entre les lèvres sucrées de l’asiatique tandis qu’il sentait son pantalon se serrer affreusement. Duo mettait leurs nerfs à rude épreuve, surtout quand il se mit en tête de persécuter la limite du jean de Heero, qui n’en gémissait que plus fort.

Ils n’entendirent pas la porte d’entrée de la maison d’ouvrir et se fermer avec bruit. La personne qui était entrée posa manteau, clef et chaussures dans le vestibule puis se dirigea vers le salon d’où elle entendait des sons étranges sortir. Arrivé à l’embrasure de la porte du salon, la personne comprit qu’elle entendait des gémissements, qu’ils venaient du canapé, et qu’elle ne savait pas qui s’était. Elle tenta d’appeler :

- Duo ?

Une tête se redressa soudain, la natte un peu ébouriffée dans son dos. Duo fut effaré de voir la seule personne qu’il ne voulais pas voir :

- Daniel ? Qu’est-ce que tu fait là ?

- Je peux te retourner la même question…

Les joues de l’américain prirent une teinte rose et une autre tête apparue à côté de celle de Duo. Daniel écarquilla les yeux quand il comprit que Duo était avec un autre garçon. Se contenant difficilement pour ne pas crier, il dit avec une tension certaine dans la voix :

- Dehors !

- Pardon…

L’homme pointa le doigt sur Heero qui lui lança son regard froid, spécial emmerdeur[9], et répéta un peu plus fort :

- Dehors !!

Duo se redressa, avec Heero ils se levèrent du canapé. Daniel fulminait, il avait serrer les poings dont les articulation blanchissaient à vue d’œil. Le natté attrapa la main de son petit ami pour l’emmener à l’étage. Daniel cria :

- J’ai dit dehors ! Duo, je ne veux pas …

- Tu permets qu’on aille chercher ses affaires !! répliqua duo encore plus fort.

Dans la chambre du natté, celui-ci se laissa aller contre l’épaule de Heero et les larmes coulèrent le long de ses joues.

- Pourquoi ?… Dis-moi pour… pourquoi… Hee-chan… il … il est…

Les pleurs l’empêchèrent de finir sa phrase, mais ni lui ni Heero n’en pensait pas moins. Heero avait passer ses bras autour de son corps et l’embrassait doucement sur la tempe. Soudain, ma porte s’ouvrit à la volé, dévoilant un Daniel furieux.

- J’ai dit DE-HORS ! Tu n’est PAS le bienvenu ici ! Sors de MA maison !!!

Les deux jeunes hommes se regardèrent tendrement, puis Heero alla chercher son sac et ses quelques affaires éparpillées dans la chambre qu’il fourra dans le sac. Le fermant et le mettant sur son dos, il embrassa amoureusement le natté puis sortit de la chambre sans un regard pour le « pseudo-beau-père », qui le regardait dégoûté. Une fois la porte d’entrée refermée, Daniel lâcha enfin toute sa rage qu se traduisit en cris et insultes :

- Ta mère doit aller en urgence à son travail, ce qui a gâcher mon week-end, je rentre pour l’attendre et qu’est-ce que je vois dans le salon ?! Deux petites pédales qui étaient bien parties pour… pour… Ah ! Non, c’est même pas « faire l’amour », pas pour les tarlouzes ! Je t’aurait cru plus droit, petit con ! Je vois que…

- SHUT UP !!! Putain ! Mais qu’est-ce que ça peut bien te faire, merde ! Je suis gay, et alors, t’as rien à dire ! C’est pas toi qui décide de ma vie ! t’es pas mon père !

La main de Daniel partit toute seule, prise d’une impulsion furieuse. Duo s’effondra à moitié sur son lit, la joue cuisante. Puis Daniel le frappa encore, et encore, jusqu’à ce qu’il en ai mal aux bras et aux jambes. Duo avait depuis longtemps arrêter de s’empêcher de crier. Il hurlait et pleurait sa douleur. Quand l’homme fut calmé, ce furent des larmes de rage et d’impuissance qui tracèrent leur vie sur les joues du natté. Les ennuis commençaient.

 

 

J’ai fini le chapitre 10 !!!

Il est 1,5 fois plus long que les autres… Mais il est à peu près comme je le voulais.

 

Qu’est-ce que vous en pensez ? Dites-le moi s’il vous plait !!

 

[1] Des devoirs super simples, en fait, mais bon, faut faire avancer le shmilblick, non ?

[2] « chose » = homme, animal, objet, plante, monstre. Ce dit de ce qui compose la réalité. (pour ceux qui font de la philo, vous comprenez sûrement)

[3] Le fameux laptop… comment l’oublier… ? Un Heero sans laptop n’est pas un Heero, ne ?

[4] « Et la lumière fut »… ah, non, c’est pas ça…

[5] Vous avez vu comment il dessine bien mon Dudulle !!

[6] Petit clin d’œil à la fic Hikari de Shakes.

[7] Allez vous faire voir !! Je ne ferai pas de lemon, même si j’en ai très, trèèèès envie… parce que je ne sas pas les faire, d’abord !! Et ensuite parce que c’est pas une fic sur ça, et enfin, PARCE QUE JE NE SAIS PAS LES FAIRE !!!!! DUO , la ferme !!!!!!

[8] … ça vous dit pas quelque chose à vous… ?????

[9] regard-du-soldat-parfait-qui-tue-la-vie-même-la-plus-éloignée-et-encore-plus-quand-ça-concerne-Duo-ou-son-couple !!!! (faut que j’arrête avec les notes moi…)

 
 
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