(ça fait nom de chapitre pour une fic fantastique… non? Surtout que c'est le chapitre 13… Duo: Je le sens mal ce chapitre… Zéphis: tu peux… je tiens également à m'excuser pour ce retard… ça fait quelque temps que ce chapitre est sur papier, j'ai eut du mal à le mettre sur l'ordi avant… les cours vous comprenez…) Duo et Myriam avaient passer la semaine chez leur frère, avant qu'exceptionnellement, ils n'aillent chez leur père plusieurs semaines de suite, avec l'accord de leur mère, jusqu'à ce qu'elle se remmette complètement, après que Daniel ait fuit. Ils reprirent un rythme normal à partir de la troisième semaine; Duo put enfin aller chez sa mère, rejoint sept jour plus tard par sa sœur. Deux autres semaines était terminées, il était à présent chez son père et sa sœur l'avait rejoint. C'était lundi soir. La semaine s'était plutôt bien passée, bien que Marilène se plaignait souvent, trop souvent, qu'elle n'avait pas assez d'argent. Et Mikaël lui en prêtait à chaque fois. Quand les jumeuax en parlèrent entre eux, ils arrivèrent à la conclusion qu'elle fiirait pas le ruiner. Un soir, alors que leur père travaillait de nuit, ils leur en parlèrent. Ils essayèrent de lui expliquer qu'elle allait dépenser l'argent de leur père en futilité, qu'elle ferait mieux de le garder pour autre chose. La femme s'énerva. Enfin… elle sembla se mettre en colère. Avant qu'ils ne commencent leur discussion, elle leur avait apporté à boir, et quand elle fit mine de voir rouge, elle vit que Myriam avait les yeux qui papillonnaient. Quelques secondes plus tard, la jeune fille s'effondra de sommeil sur l'épaule de son frère. La surprise de Duo n'égala pas celle qu'il ressentit quand un violent coup s'abbatti à l'arrière de son crâne, le plongeant dans l'inconscience. Douleur tout au long du dos… Crampes monstrueuses dans le tibia gauche… Irritation sur les poignet… Impossible de bouger… Que ce passait-il? Où était-il? Que s'était-il passé? Une chambreplongée dans l'ombre de la nuit, éclairée seulement pas la Lune et les étoiles. Un lit double, d'une simplicité banale. Une forme sur le lit, alongée, alanguie. Près du lit, une chaise. Quelque chose sur cette chaise bouge légèrement. La chose grogne, tente de faire des mouvement plus grands, mais, entrévée, elle ne parvient qu'à s'épuiser en vain eforts. Des mouvements aussi sur le lit. Faible gesticulation, pauvre chose encordée. Des bruits ailleurs, à l'extérieur, étouffés par la nuit et les murs. Lumière. Aveuglante lumière. Une silhouette qui se découpe dans l'embrasure de la porte. Grande. Carrée… Daniel. Le fourbe homme fit quelques pas dans la chambre, il tourna d'abord son regard vers la chaise, où il vit la "chose" bouger faiblement. Il s'en approcha sournoiseent. Il tira les cheveux natté, faisant gémir douloureusement le jeune homme encore à moitié dans les vapes. Il se mit devant lui et releva son visage. L'observant un instant, le temps que le jeune homme arrive à ouvrir ses yeux améthystes, l'homme le gifla avec force, une telle force que le natté crut que sa tête allait se décrocher. Daniel eut un petit rire de contntement machiavélique en entendant le petit cri qui sortit de la bouche pulpeuse de l'Américain. Il recommença plusieurs fois, plus ou moins fort. À la dernière gifle, Duo cria plus fort que les autres fois, provaquant un gémissement de peur et de douleur partagée chez sa sœur. Il le laissa alors en plan avec sa douleur et se tourna vers la forme qui s'était réveillée. En comprenant que c'était Daniel, car elle ne l'avait pas encore vu, Myriam tenta de se défaire de ces liens qui lui entravaient les poignets, en vain. Elle essaya de crier, avant de sentir un baillon retenir sa voix. Daniel monta sur le lit à quatre pattes, s'approchant de la jeune fille misérablement attachée. Il lui caressa les jambes dénudées, remonta vers les cuisses, puis vres la poitrine, le jeune fille frissonnait de tout son corps tout au long des attouchement, ce qui exitait encore plus le vil homme qui adorait voir son regard apeuré. Il redescendit l'une de ses mains pour lui caresser le sexe, l'autre déboutonnant son propre pentalon. Myriam commençait à pleureu, les larmes roulaient le long de ses joues, les pleures sortaient de ses yeux effrayés. Un sanglot étouffé sortit de sa gorge serrée d'angoisse. Alors qu'il continuait à la carresser, la porte s'ouvrit brusquement. Daniel sursauta, les jumeaux reprirent espour.dans l'encadrement de la porte se tenait un jeune homme aux cheveux clairs, plus court que ceux des jumeaux, ses yeux indigo billaient de colère, les points crispés, les lèvres pincées, bouillonnant de rage. Solo Maxwell allait pour l'une des première fois de sa vie se mettre dans une colère noire, digne d'un Maxwell.. Il n'hésita pas une seconde avant de s'élancer sur l'homme encore à moitié alongé sur sa petite sœur. Il ne retint pas les coups qu'il lui portait, ce qui fit que, après plusieurs échanges, l'homme finit par s'effondrer, assomé par un énième coup qui l'avait fait se cogner contre un meuble de la chambre. il vérifia tout de même, sommairement, l'était de l'homme avant de se précipiter pour délivrer les jumeaux de leurs liens. D'abord Myriam, qu'il recouvrit avec la couverture en la consolant, puis Duo, qui ne demanda qu'une étreinte avant d'aller entourer sa sœur, très traumatisée encore par ce qui lui s'était passé. Il mena les jumeaux à sa voiture, leur disant qu'il revenait très vite. Il alla chercher leurs affaires, qu'ils n'avaient pas trop éparpillées, par chance. Et il appella les autorités, pour leur dire qu'il avait trouvé quelqu'un qu'elles cherchaient. La police arriva alors que Solo était déjà partit pour son appartement. Il s'était arrêter en route pourles déposer tous les deux, l'un dans la banlieu pavillonnaire, l'autre dans l'un des quartiers de la ville. Duo et Myriam avaient voulu voir leur petit ami, ce que Solo comprennait parfaitement. En rentrant chez lui, le jeune professeur appela sa mère, puis son père pour les prévenir des faits récents. Ce ne fut d'aillurs pas une mince affaire pour convaicre son père… Un couple était assis dans le canapé du salon où ils résidaient, regardant tranquillement la télévision. Leur fils était dans sa chambre, sans doute pas en train de dormir, mais il n'était pas si tard que cela. Ils entendirent alors des coups à la porte. L'homme se leva, intrigué. Qui pouvait bien avoir l'idée de venir déranger quelqu'un à presque 22h30? Il ouvrit, avec un air sévère sur le visage, qui se transforma bien vite en stupéfaction lorsqu'il reconnut la personne devant lui. - Mon dieu, Duo, que fais-tu là? Entre vite mon garçon! Sans plus donner le temps au jeune homme de répondre, Odin fit entrer celu qu'il considérait déjà comme son beau-fils. Tandis qu'il montait à l'étage, Kagome fit passer le pauvre garçon dans la salle de bai du rez-de-chausé, où elle s'évertua à désinfecter les blessures et passer de la crème sur les ecchymoses du jeune homme, qui grimaçait mais ne se plaignait guère. Le père et le fils[1] redescendirent, très vite pour Heero, qui se précipita là où il savait que sa mère avait emener son petit ami. Il s'agennouilla devant Duo, inquiet. - Duo, Tenshi, que s'st-il pasé? Qui t'a fait ça? Qui… - Heero, ça suffit! Le coupa sèchement sa mère, ce qui eut pour effet de le surprendre. Laisse-moi finir de le soigner, après vous pourrez aller discuter Puis, se tournant vers le natté: - Et si tu n'arrive pas à dire ce qui s'est passé, surtout ne te force pas. Je ne te demanderai rien tant que tu ne sera p as près, et je pense que tu préfère le dire d'abord à Heero/ - … Merci… dit faiblement Duo kagome lui sourit maternellement, avant de l'aider à se relever, soutenu de l'autre côté par Heero. Malgré sa douleur, le natté se sentait bien. Ils l'amenèrent à la chambre de Heero, où ils le couchèrent doucement. L'américain sourit tendrement à son petit ami, qui s'assit à côté de lui, lui caressant les cheveux. Sa mère était ressortie, puis revint 5 minutes après avec un plateau de nourriture typiquement japonaise. Tout en grignotant, Duo raconta ce qui s'était passé, ce qui le faisait souffrir, ce qui le révoltait… L'américain vida tout simplement son sac. Et Heero l'écoutait et le consolait Une porte que l'on ouvre, un peu abruptement. Un jeune homme, d'une vingtaine d'année qui sursaute dans sa petite cuisine, et va vers la porte d'entrée de son appartement. Il y trouve une jeune fille aux cheveux chatain très longs, retenus en queue de cheval haute, et tenant un sac, apparemment bien remplis. - Mais… Myriam? Que fais-tu là? Avec tes affaires? Que ce passe-t-il? - Zech… Je… balbutia-t-elle avant de lâcher son sac et se blottir contre lui. Et elle fondit en larmes sans pouvoir emmetre une parole de plus. Zech tenta bien de la consoler, mais ses larmes ne semblaient pas vouloir se tarir. Il la conduit vers le canapé, la fit s'asseoir et la prit dans ses bras pour la bercer. Il lui caressait les cheveux et la joue, lui séchait ses larmes tout en essayant de la réconforter. - Chut… chut, ma chérie… ça va aller, ne t'inquiète pas, ma puce. Je suis là… Au bout de quelques minutes, Myriam réussit à sècher ses larmes et regarda zech droit dans les yeux, qui étaient remplis d'amoir, de tendresse et aussi d'incompréhension. Myriam commença à parler: - Zech… Je… je ne veux plus rentrer chez moi! - Pardon?! S'exclama-t-il. Il est hors de ques… - Laisse-moi terminer, le coupa-t-elle sèchement, puis plus doucement: Laisse-moi finir et après tu pourras décider. Je ne retournerait pas chez mon père parce que… il … Oh Zech… Elle a appeler l'Autre… il… il a essayé de… de me violée! Le jeune homme fit une tête de six pieds de long quand il enregistra l'information. Myriam se jeta à nouveau dans ses bras et il la serra avec tout l'amour qu'il ressentait pour elle. Ses larmes, qu'elle croyait asséchées, recommencèrent à couler le long de ses joues… - Mais, ma puce, et ton père? - Il… ça fera comme Maman… Il ne nous croira pas… - Qu'en sais-tu? - Je le sais! Mais… ce n'est pas tout. Zech resserra son étreinte, il avait tellement peur pour elle. - Zech… Ils… Daniel et Marielène… Ils sont de mèche… Sinon… Il n'aurait pas été là… j'étais chez Papa.. il n'aurait pas dû être là… - Ma puce… Où est Duo? En sécurité? - Oui, … il est chez Heero… Il va mieux… Nous avons fugués tous les deux, grâce à Solo… Zech… que va-t-il se passer maintenant? - Là, maintenant? Tu vas simplement rester ici, d'accord? La jeune fille répondit par l'affrimative en hochant la tête reposée sur l'épaul de son petit ami. Il la prit alors dans ses bras et l'emmena jusqu'à sa chambre. il la déposa sur le lit, sortit un T-shirt de l'armoire et le déposa à côté d'elle. Elle voulut commencer à se déshabiller, mais il en décida autrement. Il lui écarta les mains des boutons de la chemise et le fit lui-même. Bouton après bouton, embrassant avec tendresse son corps ainsi dévoilé; elle se laissa aller et il la poussa à s'allonger sur le lit. Dès que tous les boutons de la chemise furent enlevés, il se relava, ôta ladite et son T-shirt par la même occasion. Elle entreprit de lui caresser le torse et il se repencha pour attapper ses lèvres roses. Ainsi Zech la consola. Et le T-shirt resta sur le bord du lit toute la nuit… Miracle!!!! J'ai enfin fini le chapitre 13!!! Euh… naaaann!! Me tuer paaaaaas!!!!!! Ça se finit bien finalement!! Bon, le prochain chapitre sera l'épilogue. Suis-je en droit d'espérer avoir une chtit (même toute mini) review…? Onegaii!!!!! [1] … et le saint esprit, amen… … désolé… la philo me joue des tours… |