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Encore une mauvaise journée qui s’annonçait. Son réveil lui avait fait défaut, une fois de plus ; il n’avait jamais vraiment réussit à mettre correctement l’alarme. L’eau de sa douche avait eut du mal à se réchauffer, il avait dût tourner le robinet d’eau chaude au maximum pour avoir un tant soit peu de tiédeur. Il avait eut le plus grand mal à coiffer ses cheveux et n’avait pas eut le courage de les nattés, étant déjà un « chouilla » en retard, il les avait attachés dans une simple queue de cheval. il prit à peine le temps d’avaler un croissant et sortit en trombe de chez lui, après avoir déposé un léger baiser sur le joue de sa mère. Courant avec sa sœur, tout aussi en retard que lui, la main dans la main jusqu’au lycée, ils durent faire face à la mauvaise humeur de conducteurs en retard également, ou trop pressés. Au portes du lycée, ils entendirent retentir la sonnerie, la deuxième pour leur malheur, leur annonçant qu’ils étaient en retard de plus de cinq minutes. Ils déboulèrent dans le bureau des surveillant, espérant tomber sur un pion compréhensif, mais manque de chance, c’est Mr. Grifh qui les reçut. Mr. Grifh était un homme d’âge mûr, approchant sans dote la cinquantaine d’année. Des cheveux poivre-sel encore en nombre suffisant pour ne pas que l’on puisse l’appeler le « dégarni », comme cela faisait avec un professeur, des yeux bleu pâle, froids et inquisiteurs, une légère barbe, de la même couleur que ses cheveux, le tout pour un corps petit et sec. Mr. Grifh était un homme sévère, ce qui n’arrangeait pas les choses des jumeaux, qui n’avait pas vraiment d’excuse valable pour leur retard. [1] Il prit la parole, d’une voix sèche et dure, qui n’admettait aucune réplique. - Jeunes gens, vos êtes en retard. Puis-je avoir votre motif ? - Et bien… c’est-à-dire, monsieur, que notre réveil nous a fait défaut ce matin et… commença le jeune homme - Vous dormez dans la même chambre ? - Euh… Non, monsieur, mais quand l’un est réveillé avant l ‘autre, il le réveil, mais, nous avons eut une coupure de courant dans la nuit, donc nos réveils ne se sont pas allumés. Mais… tenta d’expliquer Myriam - Dites plutôt que vous ne vouliez pas venir, mais comme vos parents vous ont vu, vous étiez obligé d’aller en cours ! - Non, monsieur, répondit calmement Myriam, notre mère sait que nous sommes en retard. - Ah, oui ? Vraiment ? Donc, je pourrais l’appeler pou qu’elle me confirme cette histoire ? - Pour le moment, elle n’est pas là, mais sinon, oui, répondit Duo - Bien, je vais vous donner un mot pour rentrer en cours, et ce soir, j’appellerais chez vous. En quel cours devriez-vous être ? - Moi, en cours de scultpure, et ma sœur en danse moderne, monsieur, lui répondit l’américain. Le surveillant principal leur tendis deux billets, les autorisant à aller en cours. Ils sortirent, soulager que ça se soit passer aussi bien. Ils se dirent, en parcourant les couloirs, qu’il allait falloir qu’ils appellent leur mère pour lui expliquer leur petit mensonge sur la coupure de courant, elle ne leur en voudrait sans doute pas. Ils se séparèrent au détour d’un couloir, se souhaitant mutuellement bonne chance pour l’entrée en cours. Arrivé devant la salle de cours, Duo prit une inspiration, frappa quelques coups à la porte et attendit. En entendant le « entrez », il ouvrit la porte et se retrouva devant sa classe, soit 28 élèves, qui le regardait, le scannait, le passait au rayons X… [2] sauf peut-être deux-trois élèves qui avaient levé la tête et sourit à son arrivé. Il s’excusa auprès de la professeur et lui tendit le billet. Il alla s’asseoir à sa place , c’est à dire vers le fond, près de la fenêtre. Il décida de ne pas se faire trop remarquer pour l’heure de peinture, étant déjà arrivé en retard. Mais il se promit de se rattraper après, en histoire de l’art, après l’option musique, avec cette prof que personne dans la classe n’aimait, et qu’ils prenaient tous un plaisir à faire enrager [3]. La sonnerie mit fin au cours très passionnant de sculpture. Et les élèves se dirigèrent vers leur prochain cours. Au passage, Duo aperçut son petit ami, qui discutait avec quelqu’un de sa classe. Il s’écarta de la cohue, de la masse d’élèves en mouvement pour retrouver son petit ami. L’américain s’approcha doucement, sournoisement du japonais et lui sauta littéralement dessus, le faisant pencher en arrière sous la surprise. En sautant, Duo avait passer ses jambe autours de la taille de Heero, qui, par réflexe les rattrapa. Et c’est un Duo totalement accroché à lui qui lui fit un bisou dans le cou. - Bonjour Hee-chan ! - Ah, Duo ! Tu veux bien descendre… je suis pas prévu pour ça que je sache ! - Ah bon ? Je croyais ! Heero soupira pour la forme, mais sourit quand Duo le lâcha et qu’il put enfin se tourner vers lui. Il remarqua que les cheveux de son ange n’était pas natté pour une fois, il avait donc dût arriver en retard. Il prit le temps de l’embrasser en passant ses bras autour de sa taille. Ils finirent par rompre leur premier baiser de la journée. Heero murmura : - Aller, file en cours marmotte… - Mééeeuhh !! Hee-chan, c’est pas gentil, suis pas une marmotte et pis j’ai pas envie d’aller voir « pète un câble » ! Fit-il avec une moue très kawaï, d’après Heero - Duo-kun, tu vas être en retard. On se revoit dans une heure de toute façon, ne ? - D’accord. Mais gare à toi si t’es pas là ! - Ne t’inquiète pas, je serai là, même avant toi. - Il y a intérêt, dit Duo en embrassant Heero sur le nez et en repartant jusqu’à la salle de cours Heero soupira quand son petit ami s’éloigna. Il se tourna vers le camarade avec lequel il parlait une minute auparavant[4]. Ils reprirent leur discussion, l’ami d’Heero habituer à Duo depuis quelques temps déjà. Il arriva en cours de musique. Il avait prit cette option parce que dans sa famille, tout le monde avait un don pour l’art. Duo était doué pour le dessin, sa jumelle pour le chant et la danse, leur grand frère, bien que n’ayant suivit aucun cours relatif à un art quelconque, était très doué en poésie. Leur mère faisait de l’art avec des bouquets de fleur et leur père était un architecte assez connu pour son travail. Le professeur, M. Kushrénada, était quelqu’un de très gentil, un tantinet sévère, mais juste et compréhensif[5]. Duo espérait seulement que le cours ne se passerait pas comme il y a quelques jours, quand il était partit de cours. Ce jour-là, il travaillaient avec une guitare, instrument que Duo maîtrisait bien et dont il aimait bien la sonorité. Ils étaient divisés en deux groupe : ceux qui se débrouillaient bien et ceux qui débutaient, qui avaient encore du mal en ce milieu d’année. Duo faisait partit du premier groupe, il n’en était certes pas le meilleurs, mais ce débrouillait comme il pouvait. Le professeur avait demander, il y a quelques jours, à ceux qui savaient joué d’apprendre un morceau de leur choix, durant un certain temps, sur le thème qu’il voulait, pour le jouer aux examens blancs qui aurait lieu d’ici quelques semaines et à l’examen final dans deux mois. Il leur avait demander également d’essayer de composer un morceau, ou d’apprendre un morceau composé par quelqu’un d’autre, mais totalement inconnu. Un défi pour certain, une formalité pour d’autre. Pour Duo, cela tenait du défi de composé, mais s’il n’y arrivait pas, il savait vers qui se tourner, et pour apprendre, cela ne lui posait pas de problème, il pensait déjà au morceau qu’il allait présenter. M. Kushrénada avait proposer ce jour-là aux deux groupes de se tester. Il interrogeait un à un les élèves pour se rendre compte de leur évolution, leur faisait jouer un morceau qu’ils avaient appris, puis leur donnait une partition avec le rythme à suivre, pour les plus doués, pour voir s’ils étaient capable de travailler sans préparation sur un morceau inconnu. Pour les moins doués, c’était la gamme à traverser et une partie de morceau qu’ils avaient appris. Bien sur, ils n’avaient pas le temps de tous passer, le professeur appelait un élève au hasard et le faisait joué. Cela dura une heure trente, au bout de laquelle le professeur faillit ne pas lâcher ses élèves, parce qu’il n’avait pas vu l’heure. Ce fut l’intervention d’un certain Marc qui lui fit prendre conscience que son cours était fini. Après sa recommandation habituelle comme quoi ils devaient s’entraîner régulièrement, M. Kushrénada laissa partir ses élèves vers leur cours d’histoire de l’art, où il savait qu’ils allaient mettre le boxon… pauvre Madame Livin… Comme d’habitude en cours d’histoire de l’art, les élèves étaient très dissipés, ce qui n’empêchait pas certains de suivre parfaitement le cours tout en faisant des remarque comme les autres. Généralement, Duo arrivait à suivre, il prenait des notes régulièrement, mais tout aussi régulièrement, la professeur devait le rappeler à l’ordre parce qu’il bavardait un peu trop à son goût. Sauf que ce jour-là, Duo était un peu plus dans les nuages, pour deux raison. La première concernait le divorce de ses parents. La deuxième était par rapport à quelque chose de beaucoup plus futile, en effet, avec ses amis, ils avaient décidé de se faire une petite sortie l’après-midi, dès la fin des cours. Ils iraient prendre de la nourriture à l’épicerie puis iraient pique-niquer dans un petit coin de verdure où ils aimaient bien aller quand ils avaient le temps. Ils se retrouveraient tous ensemble, avec la sœur de Trowa, le frère de Duo et Myriam et le frère de Réléna. Ils prévoyaient généralement un peu plus de vivre que le nombre qu’ils étaient car ils connaissaient les frère et la sœur Maxwell, à croire qu’ils n’étaient pas nourrit, et parfois, certaines personnes venaient s’incruster, comme cela allait être le cas, puisque Catherine, la sœur de Trowa allait ramener sa nouvelle petite amie, et on ne savait jamais du côté de Sally ou de Sylvia… La journée allait être belle finalement, elle qui avait si mal commencer. _________________________________________________________________________ Voilà ! Celui-là aussi m’aura donner un peu de mal. J’espère que vous ne vous lassez pas, parce que je pense que ça va un peu plus bougé après, et vous aller comprendre certaine relation entre les personnages. Duo : Pourquoi tu décrit pas entièrement les bêtises que je fais dans ce cours d’histoire de l’art ? Zéphis : … Peut-être parce que j’ai aucune idée des bêtises que tu fais… Duo : Mais c’est quoi cette auteuse… ? Zéphis : Je n’écrit pas un PWP, c’est une fic sérieuse, parce que de toute façon, il me faudrait de l’aide pour écrire le bouquant que ta classe fait Quatre : Je répète ce que Duo à dit… Mais c’est quoi cette auteuse ! Zéphis : Si vous êtes pas content, bah c’est pareil ! C’est moi qui écrit, non mais ! Et qui t’a permis d’intervenir d’abord ! Tu crois pas que j’ai eut assez de mal avec ce chapitre pour que vous vous foutiez de ma gueule tous les deux !! Duo et Quatre : Mais, mais, mais non, pas du tout, on ne se moque pas de toi, on t’aime bien… Zéphis : … Vous cause plus, vous boude. C’est votre faute ! Vous avez qu’a être plus sympas, moi je vient de commencer et voilà comment vous me traiter… z’êtes missant !!!! Pour la peine, le chapitre 6 et bah, va y avoir des trucs pas cool pour vous, nah ! Solo : Duo, t’aurais pas put te taire pour une fois… J’ai pas vraiment envie qu’il m’arrive quelque chose, moi Duo : Égoïste ! Zéphis : Bon c’est pas le tout, mais moi il faut que je mette au travail ! chapitre 6, me voilà !!!! Mais avant, reviews… ? *chibi eyes* [1] en faisant la description, j’ai imaginer le surveillant principal de mon lycée, même s’il ne lui ressemble pas physiquement, j’ai entendu dire qu’il était sévère… je n’ai jamais eut à faire à lui… [2] vous n’avez jamais eut cette impression d’être mis à nu quand vous entriez en retard dans une salle de cours… ? Personnellement, je ne suis arriver qu’une fois en retard, et c’est l’impression que cela m’a fait, comme si j’avais commis un crime impardonnable… [3] encore une petite expérience personnelle… dans ma classe de première L, personne n’aimait la prof de math… on pouvait pas s’en empêcher. Enfin, bon… je vais pas décrire un cours qu’on a eut avec qu’elle… quoique… en modifiant un peu… [4] et oui, ça à pas duré très longtemps tout ça… peut-être un peu plus d’une minute, mais pas beaucoup plus [5] Oui, oui, vous avez bien lu! |
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