Une fois les nouveaux arrivants installés, Solo prit la parole : - Treize, Azaléa[1], ça fait plaisir de vous voir… - Ça, ça veut dire : « Vous croyez pas qu’on vous vois assez à la fac… », le coupa Zech avec un grand sourire. D’un même mouvement, Solo et Myriam frappèrent le blond, l’un derrière la tête, l’autre d’un coup de coude dans les côtes. Le blond se plia en deux, protestant vaguement contre la violence conjugale. Treize rigola de bon cœur et Solo continua : - Je disais donc que c’et un plaisir de vous voir, vous aussi Mademoiselle Une, et… Mais ma foi, je ne connais pas les dernières personnes. - Suis-je bête ! Je vous présente Wufei et Meiran[2] Chang. Leur parents sont des amis de longues date. - Chang ? Cela me dit quelque chose… - Le Clan Chang peut-être, Mademoiselle Pô ? l’interrogea Une - Oui, bien sur ! Le clan du Dragon, une puissante famille chinoise, je me trompe ? finit-elle en regardant Wufei dans les yeux, ce qui le troubla quelque peu… - Non, mademoiselle, vous ne vous tromper pas. Mon frère et moi faisons bien partie du clan du Dragon. - Il me semble que vous étudiez les langues et civilisation, n’est-ce pas ? demanda Treize - Effectivement, et le chinois est ma première option… Mais qui est la jeune fille derrière vous ? - Ah, je vous présente Mariemaya, ma fille de mon premier mariage, dit Kushrénada en poussant sa fille à venir plus près de lui. - Elle est également la filleule de Wufei et Meiran, ajouta Une - Mais Mei, elle est plus gentille que Wu ! s’écria la petite fille, qui devait avoir 11 ans, à peine. - C’est Wufei, gamine impertinente, répliqua le chinois avec un demi sourire. - Je vois que je vais pouvoir m’amuser ! - Pardon ? Pourquoi ? - C’est parce que Duo adore nous donner des surnom débile pour nous faire enragé… - Oui ! tu as tout à fait raison, Kitty-kat ! - Vous voyez ! Mon frère est insupportable ! Mais qu’est-ce que j’ai fait pour mérité un jumeau pareil ? - Te proute, Mimi la souris[3] ! Sachant pertinemment que la jeune fille détestait ce surnom, qui datait de leur petite enfance, Heero et Zech écartèrent les bras, l’un pour laisser s’enfuir un américain natté mort de rire, l’autre pour lâcher une furie nattée américaine… - C’est tout le temps comme ça ? - Non, là, ils sont plutôt calme… Il faut voir aussi quand Solo s’y met… dit Hilde, laconique - Dis-donc ! Je ne te permet pas ! Tandis que Mariemaya riait de la course-poursuite des jumeaux, les quatre autres[4] avaient une tête effarée. - Je savais que le jumeaux Maxwell avaient de l’énergie à revendre, et déjà, un seul en cours me suffit, mais deux… même dehors… Ils sont intenable. Je me demande comment vous faites pour les supporter. - Vous savez, Treize, comme l’a dit Hilde, ils sont calmes, vous ne les avez jamais vu ensemble, faire les 400 coups. - Je veux bien vous croire Solo - Vous appelez ça « calme » !? Se réveillé Wufei - Oh oui, monsieur le pion ; mais j’y pense, nous ne nous sommes pas présentés ! Wufei, Meiran et Mariemaya ne nous connaissent pas et ni Monsieur Kushrénada, ni Mademoiselle Une ne nous a tous eut en cours. - Tu as raison Quatre, approuva le français - Commencez par les plus vieux !!! Cria Duo du fond du terrain. Zeeeeech !!! Vas-yyyyy !!! Aaaahhhhh !!!! Oscooouuuurrrr !!!!! - Hey ! je suis pas le plus vieux ! - Euh.. Désolé de te décevoir, mais j’ai deux mois de moins que toi… et nous sommes les plus vieux de cette bande de gamin, puisque Catherine n’est pas là… Zech fit la moue, mais sourit en regardant les deux chinois et leur filleule. - Bon, d’accord. Je commence. Je suis Zech Merquise, professeur d’informatique à la fac. - A moi ! Je m’appelle Solo Maxwell, prof d’Anglais des classes européennes - Noté qu’il est américain… Enchantée, je suis Sally Pô, étudiante linguistique… et oui, solo est mon prof… - Pas touche ! Je suis Hilde Schbeiker, je suis dans l’esthétique, 2ème année. Et petite amie du prof d’anglais derrière moi - Pas de bêtises tous les deux. Je suis Quatre Rabberba Winner - Le fils du P-DG de la Winner Corp ? - Oui, mademoiselle. J’étudie la littérature… - En parlant de littérature, Monsieur Winner… commença Lady Une - Oui, m’dame, j’ai finit la dissertation que vous avez demandée ! - Très bien… A vrai dire, je suis surprise, vous devez être le premier à l’avoir finie. - Ça c’est normal, c’est Quat-chan. Moi, c’est Duo Maxwell, artiste peintre encore méconnu… à la fac surtout… - Dudule, t’as les chevilles qui enflent… Je suis Myriam Maxwell, étudiante artistique, comme mon frère, jumeau comme vous avez dû le comprendre, mais dans la musique et les spectacles. Heero et Trowa se regardèrent douloureusement. Duo et Quatre, qui l’avait remarqué, vinrent à leur secours. - Ah oui ! nous avons deux muets parmi nous… - Baka ! - Moi aussi, je t’aime Hee-chan. Donc je disais, deux muets pas si muets que ça en vérité. Heero Yuy, étudiant en informatique… plus fort que Zech, moi je dis toujours, parce que Hee-chan c’est le plus fort et… Ah ! Heero l’avait attrapé par la taille pour le faire s’asseoir sur ses genoux et donner le temps à Quatre de commencer à parler : - Merci Heero de ma l’avoir fait taire. Et voici Trowa Barton, qui est étudiant en sport, mais il en a pas besoin, parce que ses parents sont dans un cirque et que dès qu’il aura son diplôme, et même s’il l’a pas, il va aller jouer les acrobates et les cibles pour sa sœur dans le cirque familial. Les deux muets se jetèrent un autre regard, puis fixèrent leur bavarde moitié. - Baka, tu parle trop. - Même pas vrai d’abord ! s’exclama le natté en se retournant pour faire fasse à Heero. - Duo, je crois qu’on vient d’être fichés « pipelettes »… - Et alors… c’est pas ce qu’on est ? dit le natté en haussant les épaules Tout le monde éclata d’un rire joyeux, même les deux glaçons et Wufei aussi, qui jusque là les avait regardé bizarrement. Sauf Mariemaya qui n’avait pas compris… - Bon, il faut peut-être que l’on commence à manger vous ne croyez pas ? - Ventre sur pattes… Qu’est-ce que j’ai pour… - Oh, Hildy-babe, c’est pas comme ça que tu m’aime… ? Solo lui avait fait les chibi-eyes © Famille Maxwell en disant cela, ce qui fit fondre l’allemande, mais ne l’empêcha pas de lui fourrer un sandwich dans la bouche en l’appelant « goinfre de petit ami ». Que ‘est romantique… Les frères maxwell en étaient à leur troisième sandwich et leur sœur se demandait toujours s’ils n’avaient pas un gouffre à la place de l’estomac quand retentirent deux voix connues : - Et bien… je vois que ça tourne à l’orgie… - N’exagère pas Léna, ils font juste un festin. Et puis, tu connais le frères Maxwell… - Oui, c’est vrai, tu as raison Do… - Ah, vous voilà les filles, s’exclama Hilde - Heureusement que vous avez manger… vous n’auriez rien eut sinon - Mmaaiiisss !!!! T’es méchante Sally ! Si elles avaient pas manger, on leur en aurai laisser ! - C’est ce qu’on dit, c’est ce qu’on dit, Duo ! Tu n’es pourtant qu’un estomac sur pattes. - Même pas vrai ! Hee-chan, elles sont méchants avec moi ! Duo se cacha alors contre le torse du japonais comme un enfant pris en faute quand on l’a disputé. Le regard de l’asiatique s’adoucit et il passa ses bras protecteur autours de lui, mais ça ne l’empêcha pas de lâcher : - Et ça dit avoir 19 ans… Aïe !! Duo lui avait pincé les fesses à sa réflexion… - Te proute Hee-chan. De toute façon, que j’ai 19 ans ou pas, c’est la même chose pour toi, ne ? L’américain lui avait lancé le même regard que Solo à Hilde avant qu’il ne mange : les terribles chibi-eyes © Famille Maxwell. Le pauvre Heero n’avait jamais su résister, et une fois encore, il se laissa aller. Il remonta une de ses main derrière la nuque du natté pour approcher sa tête et l’embrasser comme lui seul savait faire pour calmer son « baka natté ». Solo, Myriam et quatre eurent un petit rire, leurs amis sourirent doucement. Quant à Wufei, Meiran et Une, ils furent tout de même un peu surpris, tandis que Treize tentait tant bien que mal de cacher les yeux de sa fille en répétant : « Marie, tu es trop jeune, ne regarde pas » … Dans le même temps, Quatre s’était recalé confortablement sur le torse de Trowa, réclamant un câlin dont seule le français avait le secret, qui le lui accorda en échange d’un doux baiser. En fait, chacun avait été pris d’un élan de tendresse envers son/sa partenaire, au grand damne de ceux qui n’en avait pas, c’est-à-dire Wufei, Sally, Meiran[5] et la petite Mariemaya. Mais alors, Wufei remarqua pleinement les couples que formaient Duo et Heero ainsi que Quatre et Trowa. Il fut surpris de leur complémentarité, et heureux que Duo ait des amis comme eux. Les couples se séparèrent quelques peu, avec de grands sourires aux lèvres ou dans les yeux, parfois les deux. Treize repris la conversation sur un ton plus grave : [6] - Cela m’embête de devoir vous demander ça maintenant, mais tant que j’y pense. Duo, Myriam, quelque chose me tracasse… mais j’aurai peur de vous vexé… - Ça dépend de quoi vous voulez parler, professeur, car c’est bien en cette qualité-là que vous voulez parler, non ? - Tu as raison Myriam, c’est bien en tant que votre professeur que je vais vous demander ça. Sachez avant que vous n’êtes pas obligé de répondre. Ça ne tient qu’à vous de faire partager la réponse… - Comme l’a dit ma sœur, ça dépend du sujet. Treize hocha la tête et commença avec hésitation : - Bien,… comment dire…J’ai remarquer depuis quelques temps que vous étiez un peu dissipé en cours, alors je me pose des questions, comme tout bon professeur qui fait attention à ses élèves… - Venez-en au fait, professeur, arrêter de tergiverser, s’impatienta Myriam, traduisant aussi la pensée de son jumeau. - Bien… Avez-vous des problèmes familiaux quelconques ? Je m’inquiète vraiment. Un lourd silence s’installa dans l’assemblée. Les jumeaux se regardèrent puis jetèrent un œil sur leur grand frère qui regardait Treize dans les yeux, tristement. Myriam répondit au bout d’un moment qui paru une éternité aux autres : - Oui, vous avez raison, monsieur, il y a des problèmes à la maison. Pourquoi s’en cacher de toute façon, tout le monde est au courant, sauf vous, votre famille et vos amis. Elle regarda Duo avec un regard disant « Non, je ne pouvait pas cacher ça à mon petit ami ». Donc, Zech était au courant, mais ça ne le dérangeait pas. Le regard de Treize allait et venait sur les visages triste des trois Maxwell. Il ne savait pas tout, mais en connaissait assez pour envisager certains scenarii : maladie grave, licencemant malheureux, accident, voire une violente dispute qui aurait pu avoir ébranlé les jumeaux. Il n’osait penser à un divorce. Pour lui, M. et Mme Maxwell s’entendait trop bien pour y penser. Duo brisa ses illusions : - Dans une semaine, nous sommes convoqués au tribunal. Le divorce va être prononcé. Zéphis : Alors, quelque chose à redire !? Les persos : … *aux anges* (sauf Wufei, Meiran, Sally et Mariemaya, évidemment…) Zéphis : Voilà, suffit de leur donner leur petit moment de tendresse et ils sont contents. Ah oui, euh… pour Meiran… euh… j’avais pas du tout l’intention de la faire apparaître. Et puis, je vais travaillé avec moins de persos, parce que là… ils étaient 16 à la fin, si je compte bien…… bon, je suis contente, il est un peu plus long que les autres ! bref ! Des commentaires ? Des review ? [1] C’est Lady Une, mais je ne connais pas son prénom, alors, j’innove. [2] Mince alors ! Mais qu’est-ce qu’elle fait là… C’était pas prévu, je vous assure ! [3] Vous connaissez pas Mimi la souris… ? Bah, mon petit frère m’a fait chier avec quand il était petit, alors… bref, c’est pour les bébé ! [4] Et dire que j’ai faillit mettre un « s » à quatre… heureusement que je ne parlait pas de Quatre… [5] en fait, je sais pas si elle va en avoir un ou non…comme elle est arrivé à l’improviste… bref, on verra plus tard…si on la revoit… [6] Il fallait bien que j'y arrive à un moment ou à un autre, par tous les moyens... |