Correspondance, Chapitre 12 Harry remonta sa couverture et essaya de trouver le sommeil. Mais peine perdue, les évenements de la journée réstés encrés dans son cerveau. Après la petite blague de Drago (que les Dursley n’vaient pas du tout appréciés), les Dursley avaient tout bonnement mis les 2 garçons à la porte. Ils étaient, en désespoir de cause, allés au chaudron baveur après avoir alerté Dumbledore. Ils avaient convenus avec le directeur de passer le reste de la semaine au Chaudron baveur avant d’aller chez les Malfoys. Mais Dumbledore avait imposé une condition : ils devaient passer leurs journées ensemble et dormir dans la même chambre. « Tout ce que vous voulez mais plus chez des moldus dans le même genre » avait répondu Drago. Harry avait esquissé un sourire à cette remarque, et ils avaient emménagés numéro 11 , chambre du chaudron baveur. La pièce était agréable, mais Tom les avaient prévenus qu’ils allaient devoir déménager en cours de séjour car cette chambre était réservée pour le lendemain. Harry trouva enfin le sommeil, et ses rêves furent peuplés de garçon blond à l’œil tempête. La journée du lendemin ne déroula sans encombres, et les 2 garçons firent le tour des magasins du chemin de traverse. Il s’arrétèrent pour manger dans le nouveau restaurent sorcier à la mode ; « Aux sombrals dorés ». Puis, rassasiés, ils passèrent toute l’après midi chez Fleury et Botte, à feuilleter des magazines. Il rentrèrent au Chaudron Baveur en fin de soirée, après avoir grignoté un sandwitch. Tom les accompagna jusqu’à l’étage, pour leur présenter leur nouvelle chambre où toutes leurs affaires étaient déjà installées. Ce fut avec effroi qu’ils découvrirent l’unique lit qui tronait au centre de la chambre, ainsi que l’absence de canapé. Avec un petit sourire sadique, le patron les laissa seul, en leur souhaitant une bonne nuit. Après un long moment de silence, Drago se lança : « Bon Potter, je pense qu’on a pas le choix, alors dormons et n’en faisont pas une patacitrouille. » « C’est que… Je n’ai jamais dormi avec quelqu'un …Même pas avec une peluche… » fit Harry, géné. Drago le regarda, ébahit « Tu veux dire que tu n’as jamais dormi avec ta mère ou ton père ? » A l’expression qu’vait pris le visage du gryffondor il se rendit conte de son énorme gaffe. « Oh je … je suis vraiment désolés, ça m’était totalement sorti de la tête… » « C’est pas grave tu sais, j’ai l’habitude… » Mais Drago s’en voulu, et pendant qu’il se reprimandait, il entendu Harry qui murmurait, d’une petite voix timide : « Je me demandais… Tout à l’heure, j’ai acheté une pensine, et je voulais savoir (il baissait tellement la voix que Drago dû se pencher pour l’entendre)…Accepterais-tu de me faire partager quelques souvenires heureux de toi et tes parents ? Car je ne me souviens de rien et je n’ai jamais eu de moments heureux pendant mon enfance… » «Bien sûr », dit doucement Drago, et ces 2 mots semblèrent immensément soulager le Gryffondor. Ce dernier sortit la pensine de sous son lit, et Drago commença à y déposer ses souvenirs. Quand au bout d’un quart d’heure il eu finis, et il saisi la main d’Harry avec détermination, voyant que celui ci hésitait, il l’entraina dans la pensine. Ils atterrirent dans un luxueux salon, où une quantité impressionant de cadeaux était entreposée sur une gigantesque table basse. Un petit garçon blond comme un ange qui devait être agé de 4 ou 5 ans affiché un air impatient et un sourire réjouit devant la montagne de présents qui s’offrait à lui. « Tu peux commencer à les ouvrir, mon chéri » dit Narcissa Malfoy d’une voix douce et mélodieuse. Le petit garçon remercia poliment en essayant de cacher son excitation, puis n’y tenant plus, il sauta littéralement sur la pile de cadeaux sous le rire de ses parents. Sa mère le regardait avec tendresse, et son père avec une fierté non feinte, mais on pouvait sentit sous son masque l’amour qu’il portait pour son fils. En découvrant jouets, livres et divers bibelots, le jeune Drago poussait des exclamations et des petits cris de joie. Quand il eu finis de tout déballer, il s’avança vers ses parents et sortie de derrière son dos un splendide dessin enfantin où l’on pouvait apercevoir3 bonhommes déssinés avec soin aux feutres de couleurs. Ses parents l’embrassèrent, et ils commencèrent à danser tous les 3 au rythme d’un doux air de Noël. Le visage de Harry était inondé de larmes, et Drago voulu interrompre les souvenirs, mais Harry résista en le suppliant de ne pas le priver de ces joyeuses images. Le sourire radieux que le Gryffondor arborait à présent et qui avait remplacé les larmes de ce joli visage convinqurent plus que tout le reste le serpentard. |