¤ Chapitre 4 ¤ 4, privet Drive, Little Whinging, SurreyLe 27 juin 1996, (1) Ca y est, il était chez les Dursley. Son oncle Vernon était venu le chercher comme d’habitude et l’avait tout simplement ignoré. Maintenant, il était dans « sa » chambre en train de réfléchir à un moyen pour s’enfuir. Car malheureusement, Dudley était en vacances et donc sa tante Pétunia aussi. Il ne pouvait pas attendre qu’ils sortent faire un tour. Ca pouvait être demain comme dans un mois. Il sortit de ses pensées quand son oncle l’appela pour manger. Depuis l’annonce qu’Harry avait un parrain meurtrier – même si c’est faux – les Dursley ne lui donnaient plus de tâche ménagère. Il devait rester dans sa chambre et ne rien faire. Harry refusait qu’ils soient au courant. Non seulement, ils rigoleraient de sa peine mais en plus, ils recommenceraient à le traiter en tant qu’elfe de maison. Quand Harry remonta dans sa chambre, son estomac ne criait même pas famine. Encore quelque chose qu’ils avaient arrêtés de faire depuis l’annonce du parrain. Il avait un repas presque normal. Bien sur, il avait un quart de la portion de Dudley mais c’était suffisant pour lui. Ce n’était pas vraiment un grand mangeur, surtout en ce moment. Il réfléchit aux solutions qu’il avait. Non pas qu’il y en avait plusieurs, mais il fallait penser à tout. Il se mit d’accord pour utiliser sa cape d’invisibilité. Maintenant, il fallait trouver le moyen de transport. Il avait deux choix. Son balai ou le Magicobus. Il choisit de prendre son balai. Car si le sort marchait – il avait intérêt à marcher – Sirius ne pourrait pas prendre le Magicobus. Même sous sa forme canine, ce n’était pas possible. Un chien noir attire forcément l’attention. Surtout s’il ressemble au sinistros. Maintenant, il ne restait qu’un problème. Toutes ses affaires étaient dans le placard sous l’escalier. Il les récupérerait cette nuit et demain soir, il partirait. Décidé, Harry s’allongea dans son lit en attendant que les Dursley se couchent. oOo Le lendemain, Il avait réussi à prendre ses affaires. Bien sur, il avait mis du temps – car il ne fallait pas réveiller les Dursley – mais il avait quand même réussi. Le but, maintenant, était d’attendre le soir pour partir. Il attendrait que les Dursley soient couchés pour le faire. Il n’en avait plus rien à faire des conséquences. Il s’en fichait de la déception et la colère de ses amis, du professeur Dumbledore et de toute la famille Weasley. Enfin, pas exactement. Mais, c’était le seul moyen pour ressusciter Sirius ! Il le fallait. Il ne pouvait pas vivre sans lui, Remus ne le pouvait pas non plus. Alors, puisque tout était de sa faute, c’était à lui de le faire. oOo Quand, enfin, les Dursley allèrent se coucher, Harry prit sa cape et son balai. Il mit son sac à dos et ouvrit sa fenêtre. Hedwige se mit à hululer en regardant son jeune maître. Harry se retourna et lui fit une caresse sur la tête. Avant de partir, il décida de l’envoyer chez les Weasley, car s’il réussissait – encore une fois, ça avait intérêt de marcher – il ne reviendrait plus ici ! Il s’installa à son bureau et griffonna quelques mots sur un morceau de parchemin. Il l’accrocha à la patte d’Hedwige. - Donne ça à Ron et reste là bas ma belle ! chuchota Harry. En attendant du moins, rajouta-t-il tandis qu’elle hululait. Après un coup de bec affectueux, elle s’envola dans la nuit. Harry vérifia une dernière fois son sac et sortit à son tour par la fenêtre. Il ne vola pas très haut pour continuer de voir où il allait. Il lui fallut quelques heures pour arriver à destination. Il s’arrêta devant le ministère de la magie. (2) Il prit sa baguette pour réduire son balai et le mit dans sa poche. Il retira sa cape tandis qu’il rentrait dans la cabine téléphonique aux vitres cassées. Il composa le six – deux – quatre – quatre – deux et attendit la voix féminine de la dernière fois. - Bienvenue au ministère de la Magie. Veuillez indiquer votre nom et l’objet de votre visite. - Harry Potter et je suis venu sauver quelqu’un ! dit-il d’un ton las. - Merci. Les visiteurs sont priés de prendre les badges et de les attacher bien en vue sur leurs robes. Quand le badge glissa dans le réceptacle des pièces inutilisées, Harry le prit et le posa sur sa robe. A vrai dire, il n’avait même pas besoin de le mettre vu qu’il comptait utiliser sa cape mais il n’y réfléchit pas. Il remit sa cape juste avant d’arriver dans le hall du ministère. Il entra donc, bien caché sous sa cape. Il fit attention de ne rentrer dans personne et de marcher le plus silencieusement possible. De mémoire, il refit le chemin pour aller dans la salle où se tenait l’arcade avec le voile. Enfin il essaya. Il prit un des ascenseurs de l’atrium. Il s’arrêta devant les douze portes identiques. Comme prévu, la salle tourna et Harry ne sut quelle porte menait à la chambre de la Mort. Il essaya plusieurs portes avant d’ouvrir la bonne. Sans perdre de temps, il s’avança jusqu’au voile et s’agenouilla devant. Il sortit les bougies qu’il avait apporté. Il sortit également son chaudron miniaturisé. Il l’avait réduit à Poudlard et ici ça ne posait pas de problème. Il le remit à sa taille normale et commença à verser sa préparation. Il rajouta les derniers éléments avant de commencer l’incantation. Harry installa les bougies autour de lui, formant un cercle. Il se mit au milieu avec son chaudron et prit une grande inspiration. Il est plus que temps Toi qui a été vaincu par l’ennemi Que par ce sang Je te ramène à la vie Il versa une goutte de son propre sang – qu’il avait préparé la veille – puis une goutte de celui de Rogue. Infanate devora i enfage remo Senso male devolare inselio Par ce sang, j’implore les dieux Que tu reviennes à la lumière Par ce sang, j’implore les dieux Que tu reviennes sur terre Il recommença la même opération. Infantate devora inefane remo Sen sompale devonore inselivo Grâce au sang de l’ennemi Il versa une dernière goutte du sang de son professeur honni. Grâce au sang ami Il fit pareil pour son sang. Tu reviendras à la vie Hoc volo, sic jubeo, sit pro ratione voluntas (3) Une fois l’incantation finie, Harry la répéta encore une fois puis il attendit. Il attendit un signe, une preuve que ça avait marché. Il fallait que ça marche. Il ne pouvait en être autrement. Il se mis à imaginer sa vie quand Sirius sera ressusciter. Il pourrait vivre avec lui. Peut être même avec Remus. Les deux derniers maraudeurs seraient sa nouvelle famille, sa vraie famille. Il sortit de ses pensées quand il se rendit compte que rien ne s’était passé. Tentant le tout pour le tout, il refit l’incantation. Les larmes coulaient librement sur ses joues tandis qu’il prononçait les derniers mots. Il savait qu’il n’avait pas réussi. La dernière parcelle d’espoir qui lui restait, le fit attendre encore quelques temps devant le voile. Mais elle s’éteignit quand rien ne vint. Abattu, il laissa libre cours à sa peine. Ses rêves d’avoir sa propre famille s’évanouirent en même temps qu’il éteignait les bougies. Il les rangea dans son sac, toujours en pleurant. Dans sa tête, c’était le noir complet. Il se sentait de plus en plus nul. Il ne faisait que le mal autour de lui. Il provoquait la mort de ceux qu’il aimait et attirait les ennuis. Et c’était lui le sauveur du monde ? Il en doutait sincèrement. Comment pouvait-il, lui, vaincre Voldemort alors qu’il n’arrivait même pas à protéger ses proches ? Il remit sa cape, se retourna une dernière fois vers le voile, puis, il sortit de la pièce. Il fit le chemin inverse. Il erra dans les rues sans but précis, dans un état semi dépressif. Il n’arrivait plus à réfléchir. Tout ce qu’il savait c’est qu’il avait raté. Sirius ne reviendrait pas. Enfin peut-être que si mais, d’après le livre, il reviendrait en détraqueur. Il fut pris d’une violente nausée. Il courut derrière un buisson puis, il s’assit sur le trottoir tout en continuant de pleurer. oOo Pendant ce temps là, Remus était allongé sur son lit, les yeux grands ouverts fixés sur le plafond. Dix jours… Cela faisait dix jours depuis cette nuit et il ne voulait toujours pas y faire face. Il s’enfermait dans ses pensées, refusant de parler de cette histoire. Des coups légers le sortirent de ses pensées. Quelqu’un frappait à la porte. Il ne répondit pas, il ne voulait voir personne. La personne insista mais Remus ne répondit toujours pas. Finalement, il entendit la porte s’ouvrir. - Remus ? Molly. S’il y avait bien une chose que Remus ne voulait pas, c’était subir la compassion de Molly Weasley. Elle était gentille mais trop mère poule à son goût. Il n’avait aucune envie de l’écouter lui dire que la douleur passerait ou autres phrases bateau. - Remus ? insista-t-elle. Celui-ci garda les yeux fermés, allongé dos à la porte. - Je t’ai ramené de quoi manger ! Il faut que tu te nourrisses. Pas de réponse. Remus pensait qu’elle finirait par comprendre et partir. - Remus… Je sais que pour le moment, la dernière chose que tu veuilles c’est parler de ça mais tu vas finir par te détruire si tu continues. Tu restes enfermé ici, tu ne manges pas et tu ne veux parler à personne ! Au bout de quelques minutes, Molly soupira et sortit de la chambre non sans avoir laissé le plateau sur la table de chevet. oOo Harry s’était relevé et avait continué de marcher. Il ne voulait pas rentrer chez les Dursley. Il en avait ni la force, ni l’envie. Il sortit son balai qu’il remit à sa taille normale. Il vola au dessus des rues à peine éclairées, il s’arrêta juste devant la maison de Sirius. Le 12 square grimmaurd. Il descendit de son balai, qu’il rangea dans sa poche après l’avoir re-miniaturisé. Il hésita à entrer à l’intérieur. Il avait besoin de parler avec Remus, savoir si celui-ci lui en voulait énormément. S’excuser pour sa stupidité. Anxieux à l’idée de se faire rejeter, il entra doucement dans la maison. Il veilla à bien être discret afin de ne pas réveiller le tableau de Mrs Black. Il monta les escaliers sur la pointe des pieds. Il s’arrêta devant la porte de la chambre de Remus. Il avait peur de se faire disputer, peur de voir du dégoût dans les yeux de son ancien professeur. Il frappa doucement à la porte et attendit, le cœur battant à 100 à l’heure. Aucune réponse. Ne sachant pas si Remus était là où s’il était en mission, Harry ouvrit la porte. Dès qu’il fut habitué à la pénombre, il vit une forme allongée sur le lit. Il s’avança doucement, la peur lui nouant le ventre. - Professeur Lupin ? appela-t-il d’une voix mal assurée. Aussitôt, la forme sursauta et s’assit sur le lit. - Harry ? s’étonna une voix rauque. - Euh… oui… désolé je ne voulais pas vous réveiller… je pourrais vous parler plus tard si vous… - Je ne dormais pas Harry ! Mais que fais-tu ici ? - J’avais besoin de vous parler… - Tu t’es enfui de chez les Dursley ? Harry hocha la tête pour seule réponse. Puis il se rappela qu’il faisait quand même sombre. - Oui… je sais que ce n’est pas bien mais il fallait que je parle à quelqu’un… Remus se raidit. - Ils t’ont fait quelque chose ? s’enquit-il d’une voix inquiète. - Non ! Assura-t-il. Ils m’ignorent et c’est aussi bien après tout ! Je… C’était une mauvaise idée en fin de compte… - Harry viens t’asseoir ici ! fit Remus en tapotant le lit à sa droite. Harry s’avança, l’air incertain. Il s’assit légèrement sur le lit, juste à côté du loup garou. - Tu voulais me dire quoi pour que ça te fasse fuguer en plein milieu de la nuit ? - Je… Je… balbutia-t-il, ses lèvres commençant à frémir. Je voulais m’excuser… Remus eut un petit sursaut de surprise. - T’excuser ! Mais de quoi ? - Tout ça c’est de ma faute… si je n’avais pas cru en ce cauchemar Sirius serait… il serait sain et sauf… J’ai foncé tête baissée vers le danger… et maintenant… il est mort ! - Harry ! - Je sais que c’est de ma faute ! Je suis un bon à rien ! J’ai couru là bas comme un fou ! Je croyais quoi ? Que j’allais combattre Voldemort ? Je suis stupide ! Sans moi il serait vivant ! Remus commençait à s’agiter. Il luttait de toutes ses forces pour ne pas crier. Lui ordonner de se taire et d’arrêter de parler de Sirius ! - Pardon… tout ça c’est de ma faute… sanglota Harry. Je suis vraiment désolé… sans moi, ils seraient vivants… Mes parents… Cédric… Sirius… - Tais-toi, siffla Remus d’une voix sèche. Harry sursauta violemment. - Pour commencer tu n’aurais jamais du arrêter les cours d’occlumencie et rien ne se serait passé ! Si tu n’avais pas fait preuve de fierté mal placée pour t’excuser auprès de Rogue, tu aurais pu fermer ton esprit à Voldemort ! C’est ça que tu veux entendre ? Oui c’est de ta faute mais ce qui est fait, est fait ! Si tu n’avais pas été capricieux, tu aurais pu éviter tout cela ! Le silence s’abattit dans la chambre. Harry était comme stupéfixé. Les larmes roulaient sur ses joues. Il baissa la tête et se mordit la lèvre inférieure. Remus soupira. Il se passa la main sur le visage. Le visage atterré, il posa les yeux sur Harry. - Je… Excuse moi Harry… fit-il d’une petite voix. - Non… Je… Vous avez raison… sanglota Harry. - Non ! Ecoute moi ! Je… Tout le monde à sa part de responsabilité dans cette histoire ! Moi y compris ! Harry releva la tête, le fixant comme choqué qu’il puisse penser à une telle chose. - J’aurais pu insister pour que Sirius ne bouge pas d’ici ! J’aurais dû le convaincre de rester ! Mais vois-tu Sirius est quelqu’un de très têtu et fier. Il n’admettait pas de rester enfermé ici ! Quand il a appris que tu étais en danger, il n’a pas réfléchi et… lui aussi… a foncé tête baissée ! Il a suffit d’un regard et j’ai abandonné… Silence. Harry semblait digérer ses paroles tandis que Remus cherchait comment continuer. - Je pense que peu importe la raison… Sirius serait finalement sorti… Il n’en pouvait plus d’être ici… Remus se tritura nerveusement les mains. - Je… Je suis désolé de t’avoir parlé comme ça… La pleine lune est demain et… j’ai un peu de mal à garder mon self control. - Mais c’est normal j’ai tué votre meilleur ami ! Remus sembla choqué d’entendre ces mots. Puis son regard se fit mélancolique. - Ce n’était pas mon meilleur ami… - Quoi ? Je… - Enfin si mais pas seulement, le coupa-t-il. Je… Je ne sais pas trop comment te dire ça… mais je… j’aimais Sirius… Remus se tut. Il semblait anxieux à l’attente de la réaction d’Harry. Celui-ci semblait sous le choc. - Vous… Vous l’aimiez ? Comment ça ? Euh… je veux dire… comme un ami ou… - Plus qu’un ami Harry ! Beaucoup plus, souffla Remus d’une voix rauque. - Ah… Et… il vous aimait aussi ? - Oui… enfin dans le temps oui… mais après douze ans en prison les gens changent… je ne sais pas… - Vous étiez ensemble ? - On a commencé à sortir ensemble quand on avait 17 ans. Ca a continué jusqu’à Halloween 81. Puis il a été en prison et moi je croyais avoir aimé un traître. Quand on s’est retrouvé lors de ta troisième année, on n’en a pas reparlé… Je pensais qu’il ne voulait plus de moi… En fait on s’est remis ensemble… la veille de… de sa mort. Remus avait achevé sa phrase dans un murmure à peine inaudible. C’était la première fois qu’il le disait. La première fois qu’il faisait face à la réalité. Et ça faisait mal. Harry, de son côté, était de plus en plus démoralisé. Ils venaient à peine de se retrouver et il avait fallut qu’il gâche tout. - Je… Je ne sais pas ton point de vue face à l’homosexualité Harry… mais je comprendrais que tu aies du mal à… - Non ! s’écria-t-il. Je m’en fiche de tout ça ! Vous étiez heureux tous les deux c’est tout ce qui importe. J’ai tout gâché ! - Arrête de dire ça Harry ! Je te l’ai dit… Rien n’aurait pu empêcher Sirius d’y aller ! Pendant quelques minutes, aucuns des deux ne prononcèrent de mots. Puis Harry, rompit le silence. - J’ai fait quelque chose de stupide ce soir… dit-il d’une voix anxieuse. Remus releva la tête et l’interrogea du regard. - Je suis allé au ministère de la magie. Dans la chambre de la mort, devant le voile. Remus fronça les sourcils. - Qu’est-ce que tu as fait ? - J’ai… J’ai fait une incantation que j’ai trouvé dans un livre de la bibliothèque. - Une incantation de quoi ? - Pour ressusciter les morts… - Quoi ! Harry… - Je sais que c’était stupide ! - Stupide et dangereux ! Il n’y a que la magie noire qui peut faire ça et il y a toujours des conséquences. - Je sais… soupira-t-il au bords des larmes. Toute façon ça n’a pas marché ! Il n’est pas revenu ! Remus ne sut pas quoi dire. Alors il posa sa main sur l’épaule du garçon et lui pressa de manière réconfortante. Harry n’y tint plus et se jeta dans les bras de Remus tout en pleurant. Passé le premier choc, Remus le serra contre lui pour le consoler. Ils finirent par s’endormir, Harry blottit dans les bras de Remus. oOo Au ministère, pendant ce temps là, … Tout était calme, le silence régnait dans la chambre de la mort. L’air était toujours froid et immobile. Soudain, les échos d’une incantation ancienne emplirent la pièce. Comme un faible murmure, la voix s’élevait dans les airs et tournait dans la pièce. Une douce brise se leva et sembla accompagner cette voix. Puis, le voile de l’arcade commença à bouger. Le vent soufflait légèrement dessus. La voix se fit plus claire, plus désespérée et le voile bougea de plus en plus. Quand le voile se souleva par le bas, un homme fut éjecté de l’arcade. Il tomba dans un bruit sourd sur le sol. Il gisait, inconscient. Ses cheveux noirs couvraient son visage. Quand l’homme ouvrit les yeux et releva légèrement la tête, ses yeux gris se fixèrent sur la pièce qui l’entourait. oOo (1) Date du retour du Poudlard express à Londres, toujours d’après l’encyclopédie d’HP. (2) Je n’ai absolument aucune idée du temps qu’il faut pour aller du Surrey à Londres ni où le ministère est censé se trouver. Alors j’ai préféré ne pas m’avancer. (3) Hoc volo, sic jubeo, sit pro ratione voluntas Ce qui veut dire : « Je le veux, je l’ordonne, Que ma volonté tienne lieu de raison. » Si ce n’est pas tout à fait ça, désolé pour ceux qui parlent le latin mais faut blâmer mon dico ! lol Sinon les autres paroles non francophones proviennent de différentes chansons du groupe Era. oOo A SUIVRE… |