La voiture de Greg Cornebuse était garée sur le bas-côté d’une petite route des Landes, un pneu à plat ; tandis que lui, deux kilomètres plus loin, était assis dans un fauteuil du salon d’une maison bourgeoise, en train de mater deux filles tout juste majeures qui se trémoussaient de façon érotique sur une musique a fortiori prévue pour ce genre de pratiques.

 Une, la cadette, Catherine, fourrant sa langue dans la bouche de l’autre, l’aînée, Marina, tout en passant une de ses mains dans son décolleté pour lui caresser les tétons qui pointaient sous son t-shirt ; pendant que cette dernière, ayant relevé la jupe de la première, farfouillait dans sa toison d’or qui avait déjà trempé la petite culotte en dentelle blanche qui la cachait à la vue de Greg.

 Celui-ci, qui n’était pas à l’aise malgré qu’une protubérance entre ses jambes démontrait qu’en même temps tout cela l’excité au plus haut point, ne resta pas longtemps comme simple voyeur. Effectivement, très vite les deux filles le prirent chacune par une main et l’emmenèrent dans une chambre ou elles l’allongèrent sur le lit. Marina, se glissant entre ses jambes, lui déboutonna son pantalon et le fit glisser, ainsi que son slip, au bas de ses cuisses, laissant son sexe prendre toute son ampleur, dressé vers le plafond dans une de ses plus belles érections. Elle se mit alors à lui lécher et lui mordiller le gland tendrement, du moins pour commencer.

 Sa soeur, qui avait fait voler sa culotte détrempée dans un coin de la pièce, s’assit alors sur sa face, sa chatte baveuse directement en contacte avec sa bouche, écartant ses lèvres et celle de Greg pour qu’il puisse y fourrer sa langue au plus profond. Elle attrapa ensuite deux foulards de soie avec lesquelles elle l’attacha par les poignées au montant du lit, serrant tellement qu’il en avait presque le sang coupé.

 Et ce fut à partir de cet instant que, pour Greg, l’histoire vira du fantasme au cauchemar. Car, en plus des foulards, elle avait attrapé une pince à épiler, avec laquelle, après avoir déchiré sa chemise, elle se mit à lui arracher les poils du torse un par un. Puis elle descendit vers sa verge plus du tout dressée fièrement, mais à présent ratatinée par la peur qui gagnait son propriétaire, et reprit son étrange manège sur ses poils pubiens ; Marina mordillant toujours son gland et la peau qui l’avait à nouveau recouvert, mais de manières plus douloureuses que précédemment, le mordant même jusqu’à l’en faire saigner.

 Greg paniquait de plus en plus, ne comprenant pas comment cela avait pu déraper jusqu’à en arriver là, et encore moins comment deux si charmantes demoiselles, qui étaient pourtant si douces et attentionnées quelques minutes avant, avaient pu aussi vite se transformer en de si cruelles sadiques. Et le pire, c’est que cela n’était qu’un avant-goût de ce qui l’attendait après.

 Effectivement la plus jeune, abandonnant sa pince à épiler, alla chercher de la cire prévue pour le même usage et déjà chaude (preuve qu’elles avaient déjà tout calculé depuis le début), et se mit à lui en badigeonner le torse et le pénis. Et, tandis que l’autre soeur commençait à lui arracher celle déjà suffisamment refroidie, Greg se dit qu’il vivait sûrement là ses derniers instants et eut une pensée pour son ami Franck avec lequel il ne boirait certainement plus jamais...