Une fois les Malfoys partis, Harry soupira. Il avait échappé de peu au dîner de famille, ce qui n’était pas envisageable ! Il n’était pas près à rencontrer une tripotée de Malfoys ! Baissant les yeux vers Glace, qui leva la tête vers lui, c’est un sourire en coin qui apparut sur les lèvres d’Harry. Certes Lucius avait découvert son envie d’explorer la maison, mais il lui avait donné la permission ! Il pouvait donc visiter n’importe quelle pièce de la maison sans être en « fraude » !
Se retournant, et ajustant le col de la chemise style XVIIème, doté d’une coupe moderne, qu’il avait passé au matin, Harry embrassa du regard le corridor. Maintenant une question existentielle se posait a lui « Par ou commencer ? ».
- Bien … Je propose de commencer par le rez de chaussée, autant procéder méthodiquement …
C’est autant à Glace qu’à lui qu’il s’adressait en ces termes. Frottant ses mains l’une contre l’autre avant de s’étirer, témoignant ainsi d’un certain stress, Harry fini tout de même par se décider.
- Bon, courage …
Prenant son courage a deux mains, Harry se mit en devoir de visiter chaque pièce une a une … C’est ainsi qu’il découvrit :
* une pièce totalement dédiée aux potions, avec un laboratoire et tout le nécessaire. * une pièce remplit de vase de la dynastie Ming, d’après ce qu’il pouvait en déduire des arabesques bleues sur fond blanc. Etait ce des vrai, ça il n’aurait su le dire … * un pièce donnant sur une serre intérieure tropicale. Entendant le cri d’un fauve, il ne se risqua pas à rentrer dedans. * une pièce totalement noire, qui lui donna la chair de poule. * une pièce remplit de musique, qui lui donna le sourire en entendant des musiques de cabaret (nda : pensez a Balibalo et vous aurez un exemple de ce que les « chastes » oreilles potteriennes ont entendues !) * une piscine intérieure qui lui donne furieusement envie de se baigner …
Voila les pièces intéressantes qu’il découvrit au rez de chaussée, rien de bien dangereux en sommes, si l’on exceptait la salle Noire. Mais Harry aurait pu jurer que les Malfoys n’y entraient jamais … Trop cauchemardesque …
Une fois cela fait, il soupira et se massa les tempes. Bon, rien de dangereux dans cette partie, est ce que le premier étage serait aussi inoffensif ? Il jeta un coup d’œil a Glace qui l’avait suivit jusque la. Le loup était resté silencieux et semblait s’ennuyer … Etait il paranoïaque de penser que les Malfoys avaient quelque chose à cacher ? Était-il ingrat en les soupçonnant alors qu’ils l’avaient sauvé des griffes de son oncle ? Pourtant une petite voix au fond de lui, lui soufflait que les Malfoys n’avaient rien fait par le passé pour qu’il leur fasse une confiance aveugle, et qu’il était normal qu’il se méfie ! Secouant la tête, Harry se dit que si les Malfoys n’avaient rien a cacher, alors cela lui aurait permis de visiter ce grand manoir et de se réconforter dans l’idée qu’il était en sécurité ici. Parce que malgré tout ce qu’il pouvait penser ou dire, depuis qu’il s’était réveillé ici, il s’était sentit en sécurité, comme si rien ne pouvait lui arriver tant qu’il restait dans ce Manoir avec cette famille de sangs purs …
Se passant la main dans les cheveux, ébouriffant totalement sa tignasse charbon, il se décida enfin à bouger et à monter les escaliers. Quand il passa devant une grosse horloge à pied, il constata qu’il avait passé une heure et demie à visiter le rez de chassé, ce qui faisait qu’il était dix heures et demie. S’il continuait a ce rythme il aurait simplement passé la matinée à visiter le Manoir, se laissant l’après midi a ne rien faire … Aussi ralentit il le rythme, ne se contentant plus d’ouvrir les porte et de jeter un coup d’œil. Il prit son temps pour observer avec plus de minutie ce qui se trouvait à l’intérieur. Comme au rez de chaussée il découvrit quelques pièces hétéroclites, comme cette pièce contenant un monstre marin qui essaya de le dévorer et dont il referma bien vite la porte pour s’appuyer contre, effarer. Comment pouvait-on garder un truc pareil dans une pièce ? Et comment, par tout les saint, pouvait il y avait une mer dans cette même pièce ?? Décidant que la magie était vraiment quelque chose de particulier, Harry continua sa visite, Glace sur les talons, toujours silencieux, baillant de temps en temps. Quand il arriva devant une grande porte d’ébène, d’une couleur noir ténèbres, ornementée de créatures magiques tel qu’une hydre, un cerbère et autres chimère, d’une facture absolument sublime, mais un sinistre tout aussi splendide, Harry se dit qu’il tenait le bon filon et qu’il allait enfin les confondre ! Une joie morbide s’empara de lui. Caressant le bois et retraça les contours d’une gorgone, Harry poussa le bâtant de la porte. Et qu’il vit en entrant faillit lui couper le souffle. Derrière cette porte effrayante, se trouvait la plus belle bibliothèque qu’il ait jamais vue ! Des rayonnages a perte de vu, des livres plus qu’il n’en pourrait lire en une vie, ou même qu’Hermione ne pourrait lire en toute sa vie ! Plus grande même que celle de Poudlard, cette bibliothèque le fit déglutir de respect. Il en oublia son envie de visiter le manoir, à la recherche de preuves contre les Malfoys, tout ce qui retenait son attention à cet instant était les rayonnages et les livres qui l’appelaient ! Contrairement à ce que pouvait croire tout le monde, il ne détestait pas la lecture. Simplement, Hermione était trop portée sur la lecture instructive, et Ron détestait la bibliothèque de manière maladive. Et Poudlard ne regorgeait pas exactement de livres romanesques pouvant éveiller son intérêt ! En effet le type encyclopédique n’était pas le genre l’attirant. Passant entre les rayonnages, oublieux du reste du monde, il en oublia même le loup … Qui lui s’était installé près du coin lecture, composé d’une table de lecture, et de quelques fauteuils de cuir magiquement assouplie et enchanté pour ne pas provoquer de mal de dos a force de rester assit. Arrivant dans un rayonnage intitulé « magie ancestrale et autres » Harry constata que les « autres » prenaient beaucoup de place. Haussant un sourcil impressionné et poussant un sifflement du même genre, il fit couler ses doigts le long des livres. Quand il arriva devant un livre intitulé « les Nymphes, magie sauvage et légendes ». Quelque chose en lui, une espèce d’instinct, lui souffla de prendre ce livre. Suivant cet instinct (que sans qu’il le sache avait été suivit par des centaines de Nymphéas1 avant lui) il sortit le livre du rayonnage, et se dirigeant vers le coin lecture, il l’observa sous toutes ses coutures. C’était un livre de cuir rouge sang, doté d’une couverture rugueuse, sa troisième de couverture étant d’un noir fluctuant, semblant aspirer la lumière autour d’elle. Les lettres du titre étaient d’un argent brillant et terne à la fois, et Harry se demanda comment cela était possible. Sur la première de couverture, un arbre dépourvu de feuilles, avec un loup couché a ses pieds, fait du même matériau que le titre, toute fois doté de reliefs arc en ciel semblait vivant. Et Harry aurait gagé que le loup avait ouvert un œil rouge pour le regarder, avant de le refermé, rassuré sur le sort du livre …
Une fois arrivé près des fauteuils, il se jeta littéralement en travers du premier, croisant les jambes sur un des bras, il se cala, et soupirant de bien être, il ouvrit la livre a la première page. Une simple page blanche quelque peu jaunie doté du titre en lettre noir s’étendait devant ses yeux. Tournant la page, ce qu’il lu était assez … étonnant.
« Bonjour a toi descendant de la grande lignée des Nymphrimes. Par ce livre tu apprendras les fondements de notre civilisation et ceux de ton pouvoir. Ne peuvent lire ce livre que ceux dont le sang Nymphrimes est assez pur …De par les générations, de par les âges, du premier Nymphrimes au dernier, la lecture de cet ouvrage est leur initiation. Afin qu’ils sachent d’où ils viennent et ou ils vont … Apprend, enfant de la Lune. »
Harry grogna devant le « pur ». Qu’était ces Nymphrimes, encore des espèces de fanatique du sang pur ? Reniflant de dédain, il tourna toute fois la tête et sursauta. Qu’est ce que …
« Bonjour à toi Harry Potter. Il a été constaté qu’hier tu as reçu ton héritage de Nymphrimes. Depuis plusieurs générations, les gênes des Nymphrimes sont restées lattant dans ta famille. Tu te demandes surement comment nous savons qui tu es et comment ce livre peut communiquer avec toi ? C’est assez simple. Il contient la mémoire de tous les Nymphrimes qui ont vécu avant toi. Car chaque Nymphrime recevait un exemplaire de ce livre quand il révélait sa puissance, et par la suite écrivait sa vie et ses découvertes dedans. Ce livre est un de ceux que les humains ont réussit à nous prendre. Toute fois tu ne dois pas en avoir peur, tu es le seul à pouvoir le lire a présent, a pouvoir l’ouvrir et sache que tu n’en risques rien. Ce livre fera ton éducation sur les tiens et sur ceux du passé, il contient également ton arbre généalogique, afin que tu sache d’où viennent tes gênes Nymphrimes, et il te montrera les pouvoirs que tu peux utiliser en tant que Nymphéas, et plus tard en tant que Nymphe adulte. Ce livre s’écrira au fur et a mesure de ta lecture, afin que tu ne sautes pas d’étape, ce qui pourrait être dangereux, autant pour toi que pour les autres. Tu dois savoir que les pouvoirs des Nymphrimes sont différents de ceux des Nymphes normales. Les Nymphrimes sont rare, ils ne naissent pas souvent et il est difficile de les repérer, car beaucoup de Nymphrimes se sont lié a des humains. Et il n’en est plus né depuis deux cents ans. Bientôt, le conseil des Nymphes saura qui tu es, et tu devras être préparé et apte a comprendre ce qu’ils te demanderont, sous peine de voir quelque chose de peu enviable arriver. Donc la première chose que nous allons t’enseigner est : tes racines. »
Harry se gratta la tête. Bon, déjà il se rappelait ce qui s’était passé l’année dernière avec le livre de Tom Elvis Jedusor. Et d’abord, c’était qui ces histories de Nymphrimes, Nymphéas et autres Nymphe ? Et depuis quand, par l’enfer, en était il un !? Se frottant les yeux de lassitude d’être toujours plus différent des autres à chaque jours qui passaient, Harry se dit que tant qu’à faire, il pouvait bien continuer de lire ce livre, de tout manière il n’avait rien d’autre a faire, et l’exploration du manoir a la recherche d’indice prouvant la mangemortitude des Malfoys l’ennuyait, vu qu’il ne trouvait rien. RAS. Et puis ce livre ne semblait pas dangereux. Il lui suffisait de le lire, et s’il constatait qu’à la fin de sa lecture il n’était pas dangereux, il pourrait toujours écrire dedans … A débattre … avec lui-même. Frottant sa nuque, et se réinstallant confortablement dans son fauteuil, il reprit en main le livre qu’il avait fermé, et le rouvrit à la page qu’il avait quitté. Toute fois la page ne faisant pas mine de lui en dire plus, il tourna la feuille, et fixa avec de grands yeux l’arbre généalogique qui était entrain de s’inscrire sur la double page, partant de son nom, pour remonter vers le passé.
Harry Potter * Lily Evans - James Potter * Jean Evans – Marianne Evans ~ Morphéus Potter – Mylène Potter * … - … ~ … - … […] * Ivans Jeantim (Nymphrime) – Maria Jeantim ~ Jean Philipe de Latour – Talisha de Latour (Nymphe) […] * Merwin T’il Namur (Nymphrime) 2 - Vivyana T’il Maera 3 ~ Shafrul Mul Taror (Nymphe) – Jehanne Taylor
Et cela continuait. Harry tiqua en voyant que Merlin faisait partit de ses ancêtre. Quand il vit que Godric Gryffondor également (nda : j’ai coupé un peu l’arbre généalogique, mettant un peu de suspense pour vous et moins de travail pour moi, et aussi par ce que je me souviens plus de tout le monde u_u’), il faillit tourner de l’œil. Mais c’était quoi ces ancêtres ? Et comment, par l’enfer, pouvait-il avoir Gryffondor ET Serpentard comme ancêtre ? Bon, il n’était pas « ensemble », ce qui l’aurait à peine étonné vu ce qu’il découvrait, mais leurs petits enfants s’étaient unis, ce qui les liait de toute manière … (nda : désolé aux fans de Gryffondor-Serpentard. J’ai trouvé que ça aurait fait « un peu trop ».) Et Merlin … Pourquoi, par les couilles de Salazar, Merlin faisait il parti de ses aïeuls ? Franchement ? N’était ce pas assez d’avoir deux des fondateurs, mais en plus l’icône de la magie, franchement ? Et depuis quand, le fils d’un démon et d’une femme était il une nymphe ? A moins que … à cette époque, peut être que les Nymphrimes était considéré comme des démons ? Olala, que cela était compliqué … Se grattant l’arrière du crane et se frottant les yeux dans un tic qui lui devenait naturel, Harry se dit que plus le temps passait, et plus il devenait bizarre et différent des autres … Et cela commençait à lui peser … Alors qu’une pensée noir l’habitait, il sentit la grosse tête de Glace se poser sur sa cuisse. Le loup, comme tous les canidés, avait sentit sa détresse. Passant sa main dans les poils souple de l’animal, Harry prit encore une fois son courage à deux mains et en bon Gryffondor qu’il était ouvrit une troisième fois ce livre. Tournant la page habité de l’Arbre, il arriva encore une fois sur une feuille blanche, avant qu’elle ne commence à se remplir d’elle-même magiquement d’écriture noire.
« Voila, tu connais à présent tes origines. Nous pouvons déduire des sentiments qui t’habites (et qui sont transmit aux livre par le touché de tes mains sur la couverture) que tu es étonné et un peu … triste ? N’est tu pas fier d’avoir ces puissant Nymphrimes et humains dans ta famille ? Tu devrais, un Nymphrime n’a jamais honte de ses origine, il s’en fait une joie ! A présent, nous allons t’expliquer ce qui différencie un Nymphrime d’une simple Nymphe. En fait c’est assez simple. Un Nymphrime est un mâle de la famille royale et … »
Harry se gratta les tempes. Plus il avançait dans sa lecture, et pire ça devenait ! En plus d’être un descendant de Merlin, de Gryffondor et de Serpentard, d’être une sorte de Nymphe différente, maintenant il faisait parti de la famille royale ? Et puis pourquoi pas le prochain Merlin, hein ?
« …et il ne net qu’un Nymphrime par dynastie. Le Nymphrime est celui qui prend en charge les décisions royales et qui sert de médiateur entre les humains et les Nymphes. Bien sur, le pouvoir royale n’est pas une charge facile, et même si il alloue un pouvoir hors du commun, faisant des Nymphrimes des presque Dieux, il leur apporte aussi une « malédiction ». … »
Qu’est ce qui allait encore lui tomber dessus … N’y avait il pas assez de chose moche qui l’avait assaillit pendant sa courte vie, qu’il doive en plus supporter une malédiction ? Soupirant de lassitude, et de dépit, il continua sa lecture.
« …En effet, à l’image des Vampire qui ont un calice, ou des Vélane, leurs cousines, qui n’ont qu’un compagnon, les Nymphrimes n’ont qu’un amour. Un amour pour lequel ils peuvent mourir ou tuer … La jalousie, la puissance, la dévotion et bien d’autre sentiment découle de cette personne. Afin de préparer le Nymphrime a la possibilité que cette personne ne soit pas une femme, il est notable que les Princes (Nymphrimes) sont attiré autant par les femmes que par les hommes. Et … doté d’une capacité à enfanter …»
- …
C’était une blague n’est ce pas ? D’après les derniers examens il n’avait pas d’utérus, comment pourrait il enfanter, franchement ? À moins que … Oh non, il ne pouvait pas se faire modifier par magie, c’était impossible ! … N’est ce pas ? Et cette question avait un arrière goût de désespoir …
« … grâce à une modification du corps au 7ème mois de grossesse. Bien sur cette modification ne dure que le temps de l’accouchement … Et après le corps du Nymphrime reprend sa masculinité. Toute fois, ils ne peuvent concevoir à n’importe quel moment. Il faut que ce soit le 17ème jour et que le soleil soit couché et que la Lune pointe. »
Harry ferma le livre d’un mouvement sec. Bon, au moins, il ne tomberait pas enceinte n’importe comment ! Prenant le livre sous le bras, il prit la direction de la porte de sortie de la bibliothèque, saluant les ancêtres Malfoy posé aux murs d’un mouvement de tête. Une fois sorti, il descendit dans le salon et posa le livre sur la table à manger avant de s’installer pour déjeuner, les elfes de maison ayant déjà tout servit. Une fois qu’il eut fini ses lasagnes, très bonnes soit dit en passant, il se leva, prenant le livre afin d’aller le poser dans sa chambre. Il en continuerait la lecture plus tard, trop d’émotions pour la journée … Il redescendit au salon ou l’attendait Glace et se laissa tomber sur un fauteuil pour attendre les Malfoy … Si au moins ils avait une télé … Alors que cette pensée traversa sa pensée, comme par magie, un écran plat apparut devant lui et s’alluma, la télécommande apparaissant sur le bras de son fauteuil. Décidant de ne pas poser de question, il regarda la télé en attendant le retour des Malfoys.
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1. Une Nymphéas est une Nymphe non adulte. Avant d’être adulte, la Nymphéas doit suivre un rite et être initiée par ses paires. 2. Merlin l’Enchanteur en langage Nymphe. 3. Viviane du Lac en Nymphe. ---
Moka : Voila seconde partie ! Enfin ! Et … Si j’ai été si long c’est que j’avais du travail ! Je devais en effet faire un book pour mon entrée dans une prépa (dans laquelle j’ai été prise, youpee !!) Harry et Draco *applaudissements* Moka : merci ! Je suis fier de moi … xD Lucius : Et le prochain chapitre ? Moka : la semaine prochaine peut être … Va savoir ! Plus vraisemblablement la semaine d’après … Draco : pourquoi je n’étais pas dans cette partie ? Moka : parce que tu seras dans la prochaine ? Draco : Ouais … Je veux beaucoup de place dans le prochain ! Moka : On verra … Et je m’excuse encore pour les fans de God-Sal … Euh … Salazar et Godric (trop zarb sinon XD) mais a cette époque la l’homosexualité n’était pas toléré hors mariage (ce que je veux dire c’est que si un homme était marié il était toléré qu’il aille voir un homme a coté, mais le tout en secret bien sur …).
A bientôt ! ^^ Review ?
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