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au 31 Mai 21 :
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Lysbeth
Par yotma
Le seigneur des anneaux  -  Action/Aventure/Fantastique  -  fr
59 chapitres - Complète - Rating : K (Tout public) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 31     Les chapitres     5 Reviews    
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Le Mariage de Lenwen

Le Mariage de Lenwen


 

Elaurë avait été plus que surprise quand elle avait appris que sa mère allait se remarier et avec un roi qui plus est. Elle avait fait le chemin en se demandant comment était le fiancé de sa mère, et s’il avait une famille. Et surtout allait – il l’accepter, n’allait – il pas la rejeter comme son père l’avait rejeté il y a cent cinquante ans. Quand elle avait vu Thranduil, elle avait été éblouie par sa beauté et sa gentillesse. Et voulu immédiatement l’avoir pour père. Elle s’approcha de lui et lui demanda d’une toute petite voix presque inaudible :

 

-Votre altesse. Heu…………. Puis- je…..

 

Elle avala difficilement sa salive et se lança à toute allure :

 

-Puisjevousappelerpère, sicenestpasvousinsulter.

 

-Comment ? s’exclama Thranduil en fronçant les sourcils qui n’avait rien compris.

 

-Je suis désolée.

 

La fillette fondit en larme et s’enfuit de la salle devant le regard plus qu’étonné de Thranduil qui ne comprenait plus rien. Lenwen s’approcha et lui dit d’une voix douce :

 

-Ma fille a énormément souffert du manque d’amour de son père et je le regrette, de sa violence.

 

-Il la battait ? demanda Thranduil outré.

 

-Non, il nous battait. Un jour après nous avoir battu, il est parti voir son frère. J’ai pris Elaurë, nos affaires, mon cheval et nous nous sommes enfuies et Dame Galadriel a bien voulu nous recueillir et elle nous a protégé quand mon époux est venu nous reprendre. Il a brisé notre union en me crachant à la figure que j’aurais dû mourir comme mon bâtard de père. Je n’ai jamais eu aussi mal de ma vie.

 

-D’après Gandalf, certains elfes reviennent en Terre du Milieu. Je vais demander les noms des arrivants pour prévenir votre ancien époux de ne pas s’approcher de vous.

 

-Merci, mon roi.

 

-Mais c’est tout naturel, ma reine. Je voudrais vous demander, que m’a demandé Elaurë ?

 

-Si elle pouvait vous appeler père.

 

-Oh, c’est cela. Je vais aller lui parler.

 

Il se leva avec grâce et parti retrouver la fillette qu’il trouva pleurant à fendre l’âme adossé à un grand arbre. Il s’assit près d’elle, mais ce qu’il vit le fit frissonner d’horreur, la fillette se collait au tronc et s’écarta de lui comme si elle avait peur qu’il ne la frappe. Il la prit dans ses bras et se mit à la consoler comme un père le ferait avec sa fille. Elle s’agrippa à la riche tunique du roi en redoublant de sanglot. Il l’embrassa avec douceur sur le haut du crâne et lui murmura :

 

-Elaurë, ma petite chérie. Voudrais – tu m’appeler, père ?

 

-Oh oui ! ! Père

 

Elle se jeta à son cou et sanglota de plus belle au creux de son épaule. C’est dans cette position que les trouva Legolas :

 

-Bonjour ada.

 

-Bonjour, yondo. Je voudrais te présenter ta nouvelle petite sœur, Elaurë.

 

-Elaurë, étoile de l’aube. C’est un réel plaisir de t’accueillir dans notre famille. Je m’appelle Legolas, je suis ton frère aîné. Viens, je vais te présenter à ton nouveau frère et ta nouvelle sœur. Tu vas voir, ils sont très gentils.

 

-Je vais avoir deux frères et une sœur. La princesse avait raison quand elle m’a dit que j’allais être heureuse à présent, dit – elle en séchant ses larmes.

 

-Tu l’aimes ? Demanda Legolas d’un ton doux en lui prenant la main pour l’emmener voir son nouveau frère et sa nouvelle sœur.

 

-Oh oui ! comme tous les gens de bien sur Arda, répondit – elle en le suivant. Elle se retourna en entendant le roi.

 

-Elaurë, tu ne m’en veux pas de te prendre ta mère ? demanda Thranduil d’une voix un peu hésitante.

 

-Au début si, J’ai crié et pleuré et fait une scène horrible à ma mère. Et puis la princesse Lysbeth m’a dit que j’avais de la chance, car j’allais avoir une nouvelle famille et que mon nouveau père serait quelqu’un de bien. Et elle avait raison. Elle va tellement me manquer.

 

-Mais vous n’êtes pas si éloigné l’une de l’autre. Et tu pourras toujours prendre Amaurëa et aller en Lothlórien et puis la même chose pour Lysbeth mais elle avec Miel. Et tu sais qu’elle arrive pour assister au mariage.

 

-J’espère que ses pouvoirs vont faire des leurs comme à la cérémonie d’adoption par le roi Celeborn et la reine Galadriel.

 

-Oh ! j’espère pas. Au couronnement du roi Elessar, nous avons eut droit à la traditionnelle ondée, puis aux chèvres, aux abeilles aux papillons et aux fleurs. Ta mère et moi n’avons trouvé qu’une seule solution pour y échapper, nous nous sommes cachés sous la table avec Miel et Amaurëa. Cependant le mariage du roi Elessar et de la reine Arwen était merveilleux, la reine en a pleuré de joie. Lysbeth lui a offert comme cadeau de mariage, le retour définitif de sa mère. Je veux que notre mariage soit aussi parfait.

 

Une semaine plus tard en Lothlórien.

 

-PAPA ! ! ! On va être en retard.

 

-Mais non ma douce. Regarde, tu vois, nous sommes prêt à y aller. Rigola Celeborn en montant sur son cheval tandis que Lysbeth gigotait presque d’impatience montée sur Laurisië tandis que Miel sautait dans tous les sens ravi de pouvoir revoir Amaurëa.

 

La troupe mené par Haldir avançait tranquillement et lentement au grand dam de Lysbeth qui aurait plutôt voulu aller au galop, vers La forêt de Mirkwood, quand soudain il y eut une grande clarté bleue éblouissante et ils se trouvèrent devant Thranduil aussi étonné qu’eux. Ils étaient tous dans le palais de Thranduil à cheval alors qu’ils venaient juste de quitter la Lothlórien. Thranduil se leva et leur demanda :

 

-Vous avez changé d’avis, je pensais que vous partiez aujourd’hui. Peut – être ai – je mal compris et qu’en fait vous arriviez aujourd’hui.

 

-Non, mon ami, vous ne vous trompez pas. Car nous venons juste de quitter la Lothlórien. Les pouvoirs de Lysbeth augmentent en puissance. Je m’inquiète de plus en plus, dit Galadriel de sa belle voix.

 

-Le temps va passer vite et deux ans vont passer comme une journée, dit Thranduil avec douceur. Mais venez, descendez de cheval. Vous êtes les derniers arrivés. Le roi Elessar, la reine Arwen, l’intendant Boromir ainsi que son épouse Aelita, et le prince et la princesse d’Ithilien sont arrivé avant – hier de Minas Tirith. Ils sont en train de visiter la cité en compagnie de Legolas et de mes enfants. Elrond, Celebrian et ses enfants sont arrivés il y a une semaine et se sont installés dans la bibliothèque. Ah ! Princesse Lysbeth, il y a quelqu’un qui n’en pouvait plus de vous attendre. Ma petite étoile ?

 

Elaurë habillée comme une princesse. Elle était habillée d’une longue robe bleue ciel avec des incrustations de dentelles et en fils d’argents et ses cheveux étaient tressées avec des perles, des pierres et de longs filaments en or et en ithildín. Elle était tout simplement radieuse. Elle s’approcha avec grâce de son père et lui fit un immense sourire mais son sourire s’accentua encore plus quand elle vit Lysbeth. Celle – ci demanda à ses parents qui souriaient ravi de la joie de leur fille :

 

-Papa, maman, je peux aller jouer avec Elaurë. Miel viendra avec moi.

 

-D’accord, mais vous ne sortez pas de la ville. D’accord ?

 

-D’accord Maman.

 

Les deux enfants partirent jouer dans la belle cité suivit par Amaurëa et Miel qui étaient tout fous. Elaurë fit visiter la ville à Lysbeth qui était émerveillée par la beauté des lieux et la gentillesse des gens. Miel et Amaurëa s’amusait tous les deux comme de jeunes chiots comme Elaurë et Lysbeth qui était maintenant de même statut.

 

Elles étaient égales, Lysbeth princesse de la Lothlórien et de Valinor et Elaurë princesse des Noldor et d’Eryn Lasgalen par alliance. Les elfes avaient été ravis de savoir que leur roi allait se remarier et quand Lenwen était arrivée, ils avaient été conquis par sa douceur, sa sagesse et sa beauté. Ils lui avaient fait un accueil chaleureux. Ils avaient aussi craqué pour la petite fille de leur nouvelle reine, si discrète et si douce. Aiwë et Míriel avaient immédiatement adopté leur nouvelle petite sœur et gare à celui qui lui manquait de respect où qui l’embêtait, il se retrouvait face à toute la famille royale furieuse. Lenwen avait été ravi que sa fille se soit aussi bien incorporée dans la population et adaptée à sa nouvelle vie. Au petit déjeuné, devant toute la famille royale qui tentait vainement de se réveiller complètement, elle avait dit à sa fille :

 

-Elaurë ma chérie. Il faut que je te dise quelque chose de très important.

 

-Et de quoi veux – tu me parler, nana ?

 

-C’est à propos de Lysbeth.

 

-Elle ne vient plus c’est cela, elle me déteste parce que je suis partie, commença à pleurer Elaurë totalement paniqué.

 

-Non, non, ce n’est pas cela. Ils partent aujourd’hui de la Lothlórien et devraient arriver ici dans une semaine.

 

-Ouf ! Cela me rassure nana, soupira la fillette soulagée.

 

-Non, ce que je dois te dire, c’est que Lysbeth n’est pas une elfe, c’est une Valië. La fille de Manwë et de Varda, un jour elle repartira chez elle. Ses parents sont déjà au courant et elle aussi. Mais il faut que tu saches que Lysbeth…comment dire…. est assez particulière. Elle ne réagit pas comme nous. Quand tu es triste, tu pleurs, quand Lysbeth est triste, et cela va se voir de plus en plus, tous les éléments vont être perturbés par ses émotions. De plus, elle ne sait pas comme toi marcher avec grâce, ça va à l’encontre de sa nature de Valië et entre en conflit avec ses pouvoirs qui se déchaînent. Ce que je veux te dire, c’est que Lysbeth se comporte comme une enfant mortelle et non comme une princesse. Elle sait se comporter en société, mais c’est le minimum qu’elle connaisse. Elle va faire des choses qu’une jeune fille elfe ou humaine n’a pas le droit de faire, alors je voudrais que sans en avoir l’air, tu arrive à lui apprendre ce qu’elle ne sait pas. Tu es d’accord ?

 

-Je n’ai pas tout compris. Hésita sa fille tandis que la famille royale d’Eryn Lasgalen pouffait de rire.

 

-Bon, on va faire simple. Tu vas lui apprendre en vous amusant à marcher comme sa mère, à parler comme sa mère. Moi je suis trop vieille et elle me voit comme un professeur, mais toi elle te verra comme une amie. Donc il faut que vous jouiez. Tu as compris maintenant ?

 

-Oui, j’ai compris nana. Et je le ferai. C’est promis.

 

-Merci ma douce.

 

Lysbeth était fasciné par un écureuil aussi fasciné qu’elle quand Elaurë s’approcha et lui dit :

 

-Et si on jouait à faire comme si nous étions nos mamans.

 

-Oh oui, c’est une bonne idée, s’exclama Lysbeth ravi de s’amuser avec sa meilleure amie.

 

Celeborn et Galadriel ouvrirent de grand yeux quand ils virent s’approcher d’eux une petite elfe qui marchait avec une grâce divine. Celeborn s’approcha avec la même grâce que sa fille, mit sa main sur le cœur s’inclina devant elle avec un grand sourire puis lui tendit son bras:

 

-Princesse Lysbeth de la Lothlórien, c’est un honneur pour moi de vous rencontrer. Me ferez – vous l’honneur de vous accompagner en la belle demeure du roi Thranduil.

 

-Mais ce serait pour moi, majesté, un immense honneur, répondit la fillette en lui faisant sa plus belle révérence et en posant avec grâce sa main sur le bras de son père.

 

Galadriel regardait avec fierté sa fille marcher avec cette grâce. Une grâce naturelle qu’Elaurë avait permis de montrer au grand jour. La reine des galadhrims se tourna vers la fille de Lenwen et lui demanda :

 

-Comment as – tu fait ce miracle, Elaurë ?

 

-Je lui ai demandé si elle voulait jouer à imiter nos mamans. Elle a eut un peu de mal au début, mais après c’est allé tout seul.

 

-Je suis très fier de toi, dit Thranduil en embrassant la fillette qui rosissait sous le compliment de son père adoré. Me ferez – vous l’honneur princesse Elaurë des Noldor de bien vouloir m’accompagner dans mon humble demeure ?

 

-Ce serait pour moi un immense honneur et une immense joie, votre altesse, dit – elle en lui faisant sa plus belle révérence.

 

Ils entrèrent dans le palais afin de se reposer et se préparer pour le mariage qui avait lieu le lendemain. A peine la tête de Lysbeth toucha son oreiller que la fillette s’endormit ne sentant et n’entendant même pas ses parents lui souhaiter bonne nuit. Tous furent réveillé le lendemain par les jurons de Boromir :

 

-ESPECES DE SALES BBBIIIIPPP, BBIIIPP, BBIIIIPPPPPP !!!!!!

 

-BOROMIR ! ! ! CESSEZ DE JURER, VOUS N’ÊTES PAS UN CHARRETIER ! ! !

 

-MAIS CHÉRIE, C’EST DE LEUR FAUTE !

 

 

Arwen et Aragorn se retrouvèrent sur le plancher, se marrant d’entendre les jurons de l’intendant, son engueulade d’avec Aelita et le bruit des deux fauves courant dans les couloirs après avoir réveiller Elrond et Celebrian qui les maudirent ainsi qu’Elladan et Elrohir qui se mirent à leur courir après pour le leur faire regretter. Tout ce boucan acheva de réveiller les autres. La dernière à être réveillé fut Lysbeth :

 

-AHAHAHAHAHAHAHAHAH ! ! ! ! ! ARRETEZ, ARRETEZ. Miel, Amaurëa. D’accord, je me lève. Beurk, j’ai les pieds gluants.

 

Après le petit déjeuner, Lysbeth se prépara et mit la belle robe qu’elle avait porté au mariage d’Aragorn et d’Arwen, mais elle se débattait avec les attaches de son dos quand arriva Galadriel. Elle eut un doux sourire en voyant sa fille aussi bien vêtu. Elle s’approcha doucement vers elle et lui attacha sa robe. Lysbeth la remercia avec douceur. Puis sa mère prit une brosse et lui coiffa avec tendresse ses longs cheveux, quand elle eut terminé, elle demanda à une servante de coiffer comme il se doit la princesse. La jeune servante lui fit une coiffure très élaborée avec des diamants et des perles dans les cheveux ainsi que de longues et fines tresses en ithildín. Ensuite quand ce fut fini, Galadriel posa le diadème de Lysbeth signe de sa royauté et de son appartenance au peuple des Valar. Thranduil avait voulu qu’elle soit habillée de cette façon. Ce fut Celeborn qui bénit le mariage de Thranduil et Lenwen pour le plus grand plaisir de cette dernière qui avait toujours vu Celeborn comme le père qu’elle n’avait plus. Durant le mariage, les pouvoirs de Lysbeth mirent encore une bonne ambiance. Un arc-en-ciel magnifique apparu au-dessus d’eux et une pluie de pétales dorée et argentée leur tombèrent dessus. Des oiseaux multicolores voletèrent et lâchèrent des pétales de roses au-dessus d’eux en poussant des chants mélodieux qui ravissaient les oreilles sensibles des elfes. Lenwen comme Arwen précédemment pleurait de joie, son mariage était parfait, et rien ne pourrait le gâcher. Quand elle arriva devant Celeborn qui lui souriait, une pluie d’or et d’argent la recouvrit et elle réapparue dans les atours d’une reine, elle portait une longue robe argentée qui chatoyait aux moindres de ses mouvements, il y avait des incrustations de dentelle dorée ainsi que des pierres précieuses. Elle avait posé, sur sa tête, un magnifique diadème création ancienne des Noldor d’avant leur chute. Thranduil avait la bouche grande ouverte et les yeux exorbités, la passion, l’amour et le désir se lisant dans son regard bleu. La fête fut joyeuse et très longue. Thranduil passait son temps à regarder son épouse, à l’embrasser et à la serrer dans ses bras. Puis vers le milieu de soirée, il commença à se réveiller et vit que tout le monde était aussi heureux que lui. Il s’approcha de tout le monde et les remercia d’être venu et leur demanda s’il ne manquait de rien. Mais il eut la même réponse, que tout était parfait et qu’il n’avait besoin de rien. Il se promenait à travers la pièce, quand il vit Lysbeth, il ne l’avait jamais vu ainsi, ses cheveux scintillaient comme le ciel d’une nuit d’été. Il tourna la tête et vit sa petite dernière qui écoutait tout ouïe les aventures de la communauté de l’Anneau. Il était très fier d’elle, elle ressemblait à sa mère mais elle avait les yeux vert alors que sa mère avait les yeux gris très clairs. Il se promis encore une fois de protéger sa fille et son épouse contre le monstre qui les avait fait tant souffrir. La fête dura jusqu’aux premières lueurs du jour, mais Lysbeth s’endormit très rapidement dans les bras de sa mère, le pouce dans la bouche et des rêves plein la tête.

 

Le mariage terminé, tous rentrèrent dans leurs royaumes respectifs une semaine plus tard. Et la vie reprit son cours. 8 mois plus tard, Galadriel offrit un héritier à Celeborn et un petit frère à Lysbeth. Il avait de grands yeux bleus, les oreilles pointues, une peau blanche comme la neige et une petite touffe de cheveux blonds comme le sable en plein soleil. Ses parents lui donnèrent le nom du frère de Galadriel, Finrod. Celebrian donna naissance le même jour à une petite fille, brune aux yeux gris clairs. Ils la nommèrent Luthíen. Arwen donna naissance à l’héritière du Gondor, Eladiel, une petite fée qui était le portrait craché de sa mère snas les oreilles pointues. Eowyn donna naissance à un fils, Ithilion, il était né alors que la lune était pleine et l’un de ses rayons avait touché le nouveau – né. Il avait une touffe de cheveux blonds et de beaux yeux bleus aussi. Lothíriel donna naissance elle à des jumeaux, Eorl et Theorell qui avaient respectivement des cheveux blonds roux aux yeux bleus et blonds cendré aux yeux vert. Boromir et Aelita vivaient le parfait amour et attendaient leur premier né qui devait arriver trois mois plus tard et qui aurait les cheveux de son père et les yeux de sa mère. Toutes ses naissances avaient eut lieu le même jour. Quant à Amaurëa, elle avait mis au monde six petits que Thranduil avait donné après leur sevrage aux autres souverains. Il en avait donné un à Aragorn qui fondait à chaque fois qu’il croisait les beaux yeux fauves de la douce chienne qui s’obstinait à chauffer les pieds des souverains et accessoirement les lécher, un à Elrond qui quand personne ne le regardait cajolait l’animal pour le plus grand plaisir du jeune warg qui comme son père et sa mère pétait les plombs, sautait dans tous les sens et laissait le souverain elfique tout baveux, il y a certaine chose qui ne change pas. Un à Faramir et Eowyn qui jouaient à courir dans leur palais d’Eryn Arnen poursuivit par le chiot et un à Eomer qui devenait chèvre avec le fauve qui ne pensait qu’à jouer et à lécher les gens. Un à son fils Legolas qui lui avait tanné le cuir pour en avoir un afin de pouvoir avoir un confident quand il allait mal. Et le dernier à Lysbeth pour que le père puisse voir ce qu’il avait fait. Miel n’était pas jaloux enfin sauf si quelqu’un regardait son rejeton Milui, sa plus grande fierté.

 

 

A suivre

 
 
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