manyfics
     
 
Introduction Les news
Les règles Flux RSS
La Faq Concours
Résultats ManyChat
Plume & Crayon BetaLecture
Nous aider Les crédits
 
     

     
 
Par date
 
Par auteurs
 
Par catégories
Animés/Manga Comics
Crossover Dessins-Animés
Films Jeux
Livres Musiques
Originales Pèle-Mèle
Série ~ Concours ~
~Défis~ ~Manyfics~
 
Par genres
Action/Aventure Amitié
Angoisse Bisounours
Conte Drame
Erotique Fantaisie
Fantastique Général
Horreur Humour
Mystère Parodie
Poésie Romance
S-F Surnaturel
Suspense Tragédie
 
Au hasard
 
     

     
 
au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
Lysbeth
Par yotma
Le seigneur des anneaux  -  Action/Aventure/Fantastique  -  fr
59 chapitres - Complète - Rating : K (Tout public) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 55     Les chapitres     5 Reviews    
Partager sur : Facebook | Twitter | Reddit | Tumblr | Blogger
Retour en Lothlòrien chapitre 55

Retour en Lothlòrien chapitre 55


 

Le repas était terminé depuis longtemps quand Lysbeth dit quelque chose qu'il ne fallait pas du tout dire :

 

-Bon, je vais repartir vers la Lothlòrien, merci pour ce repas et cet accueil chaleureux. Ce souvenir heureux restera graver à jamais dans ma mémoire. Mais je ne peux rester plus longtemps sans abuser de votre hospitalité. Je vais donc m'en retourner en ma demeure, je ne voudrais en aucun cas vous importuner.

 

Elle allait pour se lever quand tous s'insurgèrent de la décision de Lysbeth et avant qu'elle ne puisse dire quoique ce soit, un grand garde l'attrapa et l'amena dans sa chambre, puis il repartit. Lysbeth pouffa de rire devant la réaction possessive des elfes. Elle regarda plus attentivement la pièce et eut un sourire triste en se rappelant le temps de la Communauté de l'Anneau. Elle ne voulait pas rester seule, alors elle sortit de sa chambre et s'installa devant la rivière afin de méditer sur ce qui lui était et sur ce qui lui arrivait.

 

Là, elle ordonna à ses pouvoirs de se manifester. Elle était parfaitement concentrée et leur faisait faire tout ce qu'elle voulait avec une très grande facilité. Ce qu'elle ne voyait pas, c'est qu'il y avait de plus en plus de monde qui l'observait épaté par sa beauté et quand même effrayé par la puissance contenu dans ce charmant et vraiment très sexy.... euh....je veux dire .... heu..... dans ce corps vachement sexy avec une belle paire de...... (Hey ! Espèce de pervers. Tu es en train de parler de Lysbeth là, pas de Pamela Anderson alors tu calmes tes hormones. D'accord. Ce que tu peux être rabat – joie. N'empêche que la petite Lysbeth comme tu dis j' vais m' la...... MAIS TAIS – TOI. DEHORS ! Mais ?! SORT DE CETTE FIC ! Ok, ok !!! Bon, reprenons. ) Elle était pour le moment en train de jouer avec l'eau de la Bruinen. Elle créait des formes de chevaux, de serpents et d'oiseaux. Après trois heures d'amusement, elle passa à plus dur et recréa les larmes aux yeux tout ce que la Communauté de l'Anneau avait supporté, ce qu'elle avait supporté. Puis elle recréa les membres de la Communauté de l'Anneau tel qu'elle s'en souvenait en taille réelle. Les elfes eurent un doux sourire en les voyant. Puis enfin, l'eau reprit sa forme liquide. Enfin, elle rouvrit les yeux et rougit violemment quand elle vit tous les elfes qui la regardaient avec un gentil sourire. Elrond sentant que la jeune Valië était fatiguée la ramena dans sa chambre, mais cette fois, il ne l'aida pas à prendre sa douche, elle était vraiment trop grande et puis il ne voulait pas avoir de problème avec sa douce épouse qui pouvait avoir un très mauvais caractère surtout quand Elrond avait la mauvaise idée de regarder une autre femme qu'elle. Après un bon bain, la jeune Valië bondit dans son lit et s'endormit sur les couvertures dans le plus simple appareil. ( hein ? Complètement nue quoi ! Ohhhhh !!!! ) Heureusement pour elle, elle ne vit pas Elrond rouge comme une tomate lui mettre une couverture sur le dos et la border comme une enfant.

 

Elle se réveilla le lendemain à une heure pas possible le soleil étant levé depuis trrrrrrrrrrrrrrrèèèèèèèèèèèèèèèsssssssssss très très longtemps, quand elle entendit Carnil hennir bruyamment. Elle prit sa douche, s'habilla puis descendit jusqu'à la salle du feu. Là, elle fut très surprise de voir Elrond se cacher tout rouge derrière son livre. Avec un haussement d'épaules, elle l'embrassa sur la joue comme une soeur embrasserait un frère, puis sauta au cou de sa soeur qui éclata bruyamment de rire. Elle entendit Elrond prendre une grande respiration et expira doucement tout l'air qu'il avait gardé. Celebrian fit une grimace à Elrond qui lui tira la langue. Tous les trois éclatèrent de rire face à leur grande complicité. La porte s'ouvrit soudain en grand, puis un grand et bel elfe ( Hein Estel ! ;D) entra, suivit de son jumeau et voyant Lysbeth, il demanda à son père :

 

-Ada ? Qui est – ce ?

 

-C'est une...... amie, dit Elrond à ses fils voulant leur faire la surprise.

 

Elladan alla lui dire bonjour et tomba sous le charme de la grande beauté de Lysbeth. Mais pourtant, il entendait au plus profond de lui même une petite voix qui lui murmurait : elle n'est pas pour toi ! Lysbeth avec un sourire ravie s'approcha de lui et lui dit :

 

-Elladan, tu ne te souviens pas de moi?

 

-Heu... non, je le devrais belle demoiselle ?

 

-Oui, tu le devrais et si je te chante : C'est un éléphant qui se balançait sur une toile toile toile d'araignée.

 

-L.... Ly.... Lysbeth ?! s'exclama – t – il en la regardant de haut en bas avec un air complètement éberlué.

 

-Et oui, c'est moi ! s'esclaffa Lysbeth avec un grand sourire.

 

Elladan était fasciné, la petite fille qui lui avait sauvé la vie était devenu une magnifique jeune femme vraiment superbe. Son frère avait aussi les yeux qui tentaient de sortir de leurs orbites. La jeune Valië éclata de nouveau bruyamment de rire et repartit visiter la cité toujours en riant. Elrond se tourna vers ses fils et leur dit sévèrement:

 

-Je ne veux pas que vous vous approchiez de Lysbeth !

 

-Mais pourquoi ada ?

 

-Pourquoi ? Parce qu'elle n'a que dix neuf ans, qu'elle est totalement innocente et surtout que son père risque d'être furieux contre nous.

 

-Bien ada !

 

-De toute façon pour elle, vous êtes ses frères et rien d'autre.

 

-D'accord ada! soupirèrent les deux elfes.

 

Celebrian regarda sévèrement ses enfants et rajouta :

 

-Lysbeth n'est pas une de vos proies. Et si j'apprends que vous l'avez séduite, vous aurez personnellement à faire à moi, à Celeborn et Galadriel et surtout à Manwë et Varda !!!!

 

-Glups ! Bien, nana. C'est promis.

 

A partir de ce moment, les deux elfes ne regardèrent plus Lysbeth que comme leur petite soeur et gare à celui qui osait tenter de la draguer, il avait à faire aux deux frères. Cependant, deux jours après son arrivée à Imladris, elle décida de repartir et là, rien de tout ce que les souverains d'Imladris pouvaient dire ne la fit changer d'avis. Ils la serrèrent contre eux, puis Lysbeth grimpa sur le dos de Carnil et tous les deux repartirent vers le sud et la Lothlòrien. Le cheval excité comme une puce partit à la vitesse maximal et il ne leur fallut qu'une semaine pour arriver au guet de l'Isen. Là, elle croisa des cavaliers du Rohan qui, croyant au retour d'un Nazgûl, lui coururent après en hurlant de s'arrêter et en tentant de lui jeter des lances, mais Lysbeth fit faire zigzaguer son cheval pour le plus grand plaisir de l'étalon qui s'amusait comme un fou. Lysbeth avec un éclat de rire poussa Carnil à partir au triple galop. Les chevaux des Rohirrims même très rapide ne purent rien contre la puissance de Carnil qui les battit tous sans aucun problème. Au bout d'une autre semaine de chevauchée, ils virent enfin face à eux, les bois dorés, leur destination finale. Lysbeth cria de joie ainsi que Carnil. Ils repartirent tous les deux totalement excités vers leur maison, vers la magnifique forêt de la Lothlòrien.

 

À Caras Caradhon, Miel qui était en train de baver bien heureusement sur Haldir devant les souverains morts de rire s'arrêta brutalement, releva la tête et pointa ses oreilles vers le Sud. Les souverains furent surpris surtout que le fauve remuait la queue comme une fou comme quand il y a longtemps de cela, Lysbeth revenait de ses cours ou tout simplement, se levait le matin. Il fit sursauter tout le monde en hurlant de joie et partit comme un fou. Les souverains pris d'un doute ordonnèrent que leurs chevaux soient préparés. Ils descendirent le plus vite possible, puis suivirent le gros warg qui grattait aux portes du royaume en gémissant misérablement. Les portes s'ouvrirent en grand et Miel partit comme une flèche au coeur de la forêt vers ce quelque chose qui faisait palpiter son coeur, qui emplissait tout son être de bonheur et de joie. Quand ils virent le warg courir dans la forêt, les souverains poussèrent leurs chevaux pour essayer de ne pas perdre l'animal qui courait de plus en plus vite.

 

Lysbeth chantonnait toujours de belles chansons que lui avait appris Manwë ainsi qu'Estë et Yavanna. Quand elle croisa la forêt de Fangorn, les oiseaux chantaient en même temps qu'elle, faisant ainsi un magnifique concert forestier ravissant les ents qui l'écoutaient émerveillés. Ils étaient heureux, car bientôt la race des ents sera sauvé, car les femmes ents reviendraient pour la plus grande joie des ents. Lysbeth eut un magnifique sourire quand elle vit la lisière des bois dorée et encore plus quand elle entendit un bruit de galopade qu'elle reconnaîtrait entre mille. Elle décida de faire accélérer Carnil et quand Miel sortit de la forêt en trombe, elle lui sauta au cou. Riant et pleurant à la fois heureuse comme elle ne l'avait jamais été depuis son retour en Arda, caressant tendrement son beau Miel qui lui léchait le visage heureux comme sa maîtresse adorée qu'il avait enfin retrouvé après douze longues années de séparation. Celeborn et Galadriel quand ils virent la haute et fine silhouette noire qui cajolait le gros warg comprirent immédiatement la raison de l'immense joie de l'animal. Elle était revenue. Leur fille chérie, celle qui leur avait offert une nouvelle vie, un nouveau destin était de retour. Ils descendirent avec hâte de cheval et se précipitèrent vers elle en hurlant de joie et en criant le nom de leur fille adorée. Lysbeth releva vivement la tête aux cris de ses parents et relâcha la grosse tête de son warg. Elle se releva rapidement, se précipita vers ses parents et se jeta à leur cou les faisant tomber sans aucune grâce par terre. Ils se serraient les uns contre les autres pleurant de joie de se retrouver après douze longues années. Elle leur embrassait tout le visage, aussi exubérante que dans le passé. Elle avait attendu tellement longtemps ce moment béni des Valar ( merci papa, merci maman). Quand les gardes virent la, non, leur princesse, ils hurlèrent de joie faisant s'envoler les oiseaux effrayés par le boucan monstrueux que faisait des elfes qui, normalement, étaient des plus discret. Ils se précipitèrent vers la famille royale et les acclamèrent joyeusement. Celeborn et Galadriel oubliant totalement l'endroit où ils étaient, serraient fortement leur fille contre eux et l'embrassaient tendrement. Lysbeth les serrait elle aussi très fort contre elle et les embrassait passionnément en pleurant de joie.

 

Après un quart d'heure de réjouissance humide, ils se relevèrent tous les trois, mais ne purent avancer, car Miel prit de folie se jeta sur eux et se mit à les lécher avec frénésie. Tout son monde était de retour, sa maîtresse aussi était de retour, le pivot de sa vie, sa créatrice, celle qui lui avait permis de découvrir un monde plein d'amis sincères et véritables. Enfin après une ultime léchouille baveuse, toute la famille royale repartit vers Caras Caradhon. Lysbeth montait Miel pour le plus grand plaisir de ce dernier tandis que Carnil attendait que Celeborn le monte. Le père de Lysbeth ne comprenait pas pourquoi l'étalon refusait qu'il monte son cheval. Lysbeth lui éclaira sa lanterne en lui disant :

 

-Papa, il veut que tu le montes et il est assez obstiné. Il n'abandonnera pas la lutte tant que tu ne seras pas sur son dos.

 

-Bien!

 

Celeborn grimpa sur l'étalon et poussa un espèce de couinement étrange quand l'étalon partit d'un coup. Carnil courait le plus vite possible suivit par le reste de la troupe et Miel qui trottinait paisiblement, ravi de ressentir la douce chaleur de sa jeune princesse. Lysbeth et Galadriel discutaient paisiblement de tout ce qui était arrivé sur la Terre du Milieu durant son absence. Elle appris avec beaucoup de peine, que l'enfant de Boromir et d'Aelita avait été assassiné par la propre soeur de cette dernière, Fiona. Poursuivit par le Gondor et ses alliés, elle avait trouvé refuge au Khand où elle mettait vraisemblablement en place un plan pour se venger de sa soeur. Elle apprit aussi que l'Orodruin était entré en éruption dévastant le peu de terre arable de cette région faisant fuir les peu d'aventuriers qui avaient osé s'installer là – bas. Lysbeth fronça les sourcils, c'était de mauvaise augure. C'était une autre preuve du retour du mal. Mais elle ne voulait pas assombrir l'atmosphère festive par des pensées aussi dramatiques et aussi sombres.

 

Quand ils franchirent les portes du royaume, Lysbeth eut la joie de voir tous les elfes arrêter leurs activités et suivre du regard le cortège royal, Celeborn étant encore dans la forêt, tentant vainement de contenir la fusée appelée communément Carnil qui courait dans tous les sens totalement excité. Peu à peu le silence s'installa comme la mer se retire du rivage et quand tout le monde réalisa qui montait Miel, une rumeur naquit au plus profond du peuple, enfla, puis se déversa comme une vague recouvre toute la plage. Les elfes hurlaient de joie en voyant leur princesse qui était vachement bien roulée faut dire (HEY! On ne parle pas ainsi de notre princesse !!! GRRRRRR !!!) (Oups ! Désolé !) Donc je disais, qui avait bien grandi et la toute petite chenille était devenu un majestueux papillon un peu en fait, complètement ignare en matière de féminité et de séduction. Ils se jurèrent tous de la protéger, de protéger le joyau de la Lothlòrien. Et gare à celui qui oserait lui briser le coeur ou lui manquer de respect, il ne vivrait pas assez vieux pour regretter son geste. Arrivés dans la salle du trône, Haldir qui attendait le retour des souverains, ouvrit grands les yeux, se précipita sur la princesse et la serra contre lui à l'étouffer. Il pleurait de joie et lui couvrait le visage de baiser devant Galadriel qui fronçait les sourcils. Puis Haldir s'écarta et s'exclama :

 

-Ma petite puce, tu as tellement grandi. Tu es devenue une magnifique jeune femme.

 

-Haldir, je n'ai plus cinq ans ! grogna Lysbeth.

 

-Mais pour moi, tu auras toujours cinq ans, je te verrais toujours comme la petite fille qui courait dans toute la Lothlòrien et qui trouvait rien de plus amusant de me pousser dans le lac.

 

Lysbeth en se souvenant de ses bêtises éclata bruyamment de rire de même qu'Haldir. Soudain quelque chose derrière le gardien des bois dorés la fit s'écarter de lui. Le sourire qu'elle avait disparu doucement et une expression mélancolique apparut quand elle vit suspendu contre le mur, la tapisserie qu'elle avait faite quand elle était petite. Elle se rappela ce jour, le plus beau de sa vie, le jour où les souverains de la Lothlòrien l'avait adopté, le jour où le peuple l'avait acclamé comme leur future reine. Celeborn arriva sur ses entrefaites les cheveux ébouriffés et recouvert de toiles d'araignées et de mousse, les habits noirs, et un immense sourire aux lèvres. Il s'exclama :

 

-Ma chérie, je n'ai jamais monté cheval plus rapide. Il est puissant et très facile à diriger.

 

-Merci, papa.

 

-Bon, je suis dans un tel état qu'un bon bain me fera le plus grand bien. A plus tard mes deux femmes de ma vie, dit – il en embrassant Galadriel et Lysbeth chacune sur une joue. Galadriel partit préparer la fête qui allait avoir lieu et lui dit d'attendre une servante qui ne devrait pas tarder.

 

Lysbeth regarda avec un grand sourire ses parents quitter la pièce, puis une jeune domestique lui dit d'une voix douce :

 

-Altesse, je vais vous conduire à votre chambre.

 

-Merci, heuuuuuu.... Eläwen, c'est cela ?

 

-Oui, votre altesse. Vous vous souvenez de moi ? Vous me faites le plus grande des honneurs votre altesse, dit la jeune elfe les larmes aux yeux.

 

Elle l'emmena dans la chambre suivit par Miel, puis la jeune Valië lui dit :

 

-Je vais aller prendre mon bain, tu peux aller te reposer. Merci pour tout Eläwen.

 

-Bien altesse. Reposez – vous bien. Votre père m'a dit de vous dire que si vous aviez besoin de lui, il se trouverait dans la salle du trône pour une réunion. La reine votre mère se trouve quant à elle dans la clairière du miroir.

 

-Merci.

 

Après une ultime révérence, la jeune servante repartit et Lysbeth folle de joie à l'idée d'être enfin rentrée chez elle, se mit à danser dans la pièce accompagné par les vocalises très bruyantes de Miel. Elle riait en se déshabillant, faisait tournoyer ses vêtements en chantant à tue – tête des chansons naines entraînantes que lui avait appris Gimli. Les elfes qui entendaient les chansons se demandaient qui chantait dans cette étrange langue si rude. Lysbeth elle s'en moquait et jetait ses vêtements qui volaient à travers la pièce et retombaient n'importe comment dans sa chambre et sur son petit lit, trop petit lit. Puis quand elle fut complètement nue, elle se jeta dans l'eau chaude éclaboussant le warg qui la regardait faire paisiblement une lueur d'adoration et d'amusement au fond de son regard fauve. Elle joua dans l'eau assez longtemps, se récurant la peau salie par de longues journées de voyage, s'il y a bien une chose qu'elle ne supportait pas, c'était d'avoir la peau couverte de crasse et les cheveux gras. Elle se lava consciencieusement les cheveux qui d'une couleur vaguement brun foncé reprirent leur magnifique couleur noir – bleutée. Après une heure de bain reposant et paradoxalement vivifiant, pendant lequel Miel s'endormit, elle prit une serviette épaisse, douce et moelleuse et entreprit de se sécher vigoureusement le corps endolori par le long voyage. Elle se regarda dans une glace et fut surprise que malgré toutes les péripéties qu'elle avait supportées, elle n'avait qu'une seule cicatrice qui n'enlaidissait pas trop son jeune corps, non qu'elle était superficielle, mais elle n'imaginait simplement pas la crise de rage de ses parents si elle en avait eut une seule autre. En fait, la seule qu'elle avait, était celle que la flèche des Rohirrims qui avait failli lui coûter la vie qui se trouvait sous son sein gauche. Elle s'entoura d'une serviette plus longue, et quand elle ouvrit les placards, elle eut la surprise de voir qu'il n'y avait que des vêtements d'enfants et aucun pour une jeune femme, c'est comme si la chambre était resté comme elle était après le départ de Lysbeth il y a douze ans. Elle n'avait rien à se mettre, n'avait rien sur elle, à part la serviette qui enserrait étroitement son corps révélant plus qu'elle ne cachait de sa stupéfiante beauté. La serviette enserrait sa poitrine et descendait à mi – cuisse. Sans réfléchir, sans vêtement et sans pudeur, sans aucune pudeur, elle descendit dans la salle du trône afin de demander à son père où il y avait des vêtements propres pour elle, parce que les vêtements étaient beaux, même magnifique, mais ils étaient un poil trop petit d'à peine dix tailles.

 

Dans la dite salle du trône, se déroulait une réunion sur ce qui se passait dans royaume et la préoccupation majeur des souverains était le manque de place. Leur royaume était saturé et il ne pouvait plus accueillir de nouveaux arrivants. Ils en étaient à ce constat, quand le conseiller qui parlait s'arrêta brusquement et regarda derrière le roi, la bouche grande ouverte, les yeux écarquillés et un filet de bave commençant à couler sur la table. Peu à peu les autres conseillers suivirent le regard du premier et eurent la même expression béate. Celeborn surprit, les regarda puis se retournant, il commença à tester de nouvelles couleurs à son visage, passant très facilement du rouge vif au blanc cadavérique et inversement. Comme les autres elfes présents, sa mâchoire lui tomba sur la poitrine preuve du choc qu'il venait de subir en voyant sa fille, sa toute petite fille à moitié dévêtue. Son regard passa sur ses cheveux noirs gorgés d'eau, son visage doux et souriant, sa peau veloutée d'une douce couleur de pêche, sa poitrine généreuse qui était moulée par la serviette humide, son ventre plat et ses longues jambes musclés. En la regardant, il ne ressentit aucun désir si ce n'est pour son épouse qu'il trouvait encore plus belle que la jeune Valië, mais il avait une excuse, il était fou de sa femme. Mais il ressentait une grande tendresse envers sa fille adorée, et surtout, son instinct de papa poule surprotecteur se remit en place et le regard noir qu'il lança aux autres les défia de continuer à regarder sa fille au risque de subir de violentes représailles humiliantes et douloureuses. Les elfes piquèrent du nez sur leur dossier et ne relevèrent pas la tête. Celeborn se leva d'un bond comme s'il était monté sur ressort et la ramena dans sa chambre plus rouge qu'un couché de soleil. Lysbeth trottinait rapidement derrière lui, puis quand ils arrivèrent là bas, elle lui dit :

 

-Papa! Je n'ai plus de vêtements.

 

-Tu ne dois pas te promener presque nue Lysbeth. Tu n'as plus cinq ans.

 

-Mais je n'ai plus de vêtements et en plus mon lit est trop petit. Et tu sais bien que maman ne veut pas que j'utilise mes pouvoirs à la maison.

 

-Bon, je vais aller demander qu'on t'en apporte et que l'on change ton lit. D'accord ?

 

-Oui, papa.

 

-Et tu ne bouges pas tant qu'on ne t'en a pas apporté. D'accord?

 

-D'accord papa!

 

Elle s'assit sur le petit lit et fut très surprise quand trois servantes vinrent les bras chargés de vêtements plus somptueux les uns que les autres. Elles retirèrent tous les anciens vêtements, et mirent les nouveaux à la place, puis quand ce fut fait, une des trois ramassa les vêtements épars sur le sol et alla les faire nettoyer. Puis les deux autres habillèrent Lysbeth, et lui tressèrent les cheveux pour qu'elle représente bien ce qu'elle était, la fille des souverains de la Lothlòrien. Ensuite, cinq elfes vinrent retirer le petit lit et installèrent un lit beaucoup plus grand digne de la taille de la jeune Valië. Elle les remercia tous chaleureusement, puis descendit accompagné de Miel qui gronda férocement quand un jeune elfe d'à peine mille cinq cent ans commença à vouloir la séduire. Le « jeune » elfe fit précipitamment marche arrière ne voulant pas être dévoré par ce gros animal qui pouvait être très dangereux. Miel attrapa la manche d'une Lysbeth qui regardait étonnée l'elfe ne comprenant pas ce qu'il lui voulait, et la tira pour l'amener à Galadriel qui fut ravie de la voir si bien habillée et si belle.

 

Quand Celeborn retourna dans la salle du trône, il s'assombrit terriblement quand il vit les elfes regarder vers le couloir où était partie la jeune princesse avec un sourire bien niais aux lèvres. Mais quand ils virent l'expression furieuse du roi, ils cessèrent de sourire et piquèrent du nez sur leurs rapports. En quelques heures, l'information que la princesse avait un corps de rêve voyagea dans tout le royaume. Beaucoup regrettaient d'avoir raté ça. Mais quand ils voyaient les regards très énervés des parents, bizarrement, ils ne regrettaient plus de l'avoir raté. Quand Lysbeth réapparut, il y a eut une augmentation brutale de la température corporelle des elfes mâles. Haldir, Celeborn et Miel avaient énormément de travail pour empêcher les elfes de lui tourner autour. Il fallut la colère des souverains pour calmer leurs hormones en furie. Tandis que Lysbeth restait auprès de sa mère afin d'apprendre le futur métier de reine.

 

Enfin après trois semaines de crise hormonale elfique, Lysbeth put sortir sans se faire sauter dessus par une vingtaine de jeunes elfes. Elle passait son temps à jouer dans le royaume de ses parents, plongeant dans le lacs, et les rivières, grimpait aux arbres à toute allure. Et surtout s'amusait à pousser Haldir dans le lac et courir dans tous les sens poursuivit par ce dernier qui espérait se venger ce qui arriva souvent, car la jeune princesse et le garde frontière revenaient souvent trempés de la tête au pieds et hilares la plupart du temps. Les rires étaient de mise là – bas. Il n'y avait pas de larmes, ni de pleurs. La joie régnait en maîtresse absolue depuis que Lysbeth était de retour.

 

Les enfants surtout étaient contents, ils l'avaient attendu longtemps. Mais ils furent un peu déçu car ils ne l'avaient pas encore vu. Alfasion, huit cent ans, dit tout triste à sa soeur Mistë :

 

-Ben tu sais, moi quand je serais grand et bien je me marierais avec elle.

 

Haldir qui passait à côté de lui explosa de rire et lui dit :

 

-AHAHAHAH!!!! Tu es un peu trop jeune pour penser séduire la princesse, de plus, son père n'apprécie guère que les garçons lui tournent autour. Sois heureux, toi au moins, tu peux l'approcher sans risquer de te faire dévorer par Miel.

 

-Ah oui ? Mais est ce qu'elle va venir jouer avec nous ? demanda Mistë doucement.

 

-Je suis désolé, mais la princesse n'a plus trop le temps de jouer, elle se doit au royaume. Mais je vais lui demander. D'accord ?

 

-OOOUUUIIIIIISSSSSSSSS !!!!!

 

Haldir alla rejoindre Lysbeth qui écoutait d'une oreille distraite la réunion sur les effets de la surpopulation. Le gardien des frontières tenta de retenir un éclat de rire quand il vit Lysbeth regarder d'un oeil torve les conseillers qui se disputaient pour ça. Soudain Lysbeth en eut assez, se leva et hurla :

 

-ASSEZ !!!! S'EN EST ASSEZ !!!!

 

Il y eut un violent tremblement de terre et la foudre frappa un vase qui explosa en une myriade d'éclat. Le silence se fit et tous se tournèrent vers la jeune princesse dont le regard flamboyait d'énervement. Heureusement pour eux, elle n'était que légèrement agacée. Elle reprit :

 

-Pourquoi vous vous énervez ainsi ? Vous savez pourtant que le Beleriand reviendra. Si vous voulez, je pars immédiatement et je ramène les terres immergées ainsi vous cesserez de piailler comme des moineaux affamés.

 

-Calmes – toi ma chérie, dit Celeborn d'une voix douce, il est hors de question que tu quittes la maison. Ils s'habitueront c'est tout.

 

Le regard noir de Celeborn et les morceaux brisés du vase calma rapidement les conseillers. Lysbeth remarqua Haldir et lui demanda :

 

-Oncle Haldir ? Que se passe – t – il ?

 

-Je ne voudrais pas vous importuner, princesse Lysbeth.

 

-Haldir recommence à me vouvoyer et à m'appeler princesse, et je te promets sur mes parents de Valinor que tu deviendras la plus belle elfe d'Arda.

 

Celeborn et Haldir explosèrent de rire tandis que les conseillers étaient choqués des paroles de la jeune Valië. Haldir accepta d'un hochement de tête. Il continua :

 

-D'accord, Lysbeth. C'est Mistë et tes amis qui voudraient savoir quand tu pourras jouer avec eux.

 

-J'ai dépassé depuis longtemps cet âge. J'ai fait couler plus d'une fois le sang. L'innocence de mon enfance est depuis longtemps envolée et ce n'est pas un mal. Car, j'ai maintenant l'expérience nécessaire pour vivre dans un monde dangereux où le mal peut toujours apparaître. Je n'ai plus la naïveté de mes premiers jours ici.

 

-Cela me fait du mal de t'entendre parler ainsi. Tu as tellement changé, murmura Celeborn avec mélancolie.

 

-Tout le monde change et mûrit au contact de Morgoth pour le meilleur ou pour le pire. Et surtout pour le pire malheureusement, soupira – t – elle doucement.

 

-Tu as raison. Mais ne parlons pas de lui aujourd'hui. Vivons le moment présent, dit sagement Galadriel.

 

-Tu as raison maman. Papa ? Quand je suis allée à Imladris, Elrond m'a dit que Gandalf avait raison et que j'aurais pleins de prétendants.

 

-Pffffuuuuuuu!!!! Oui, et alors ? demanda Celeborn qui commençait à être de très mauvaise humeur.

 

-C'est quoi un prétendant ? demanda – t – elle toujours aussi curieuse.

 

Tout le monde éclata bruyamment de rire, devant Lysbeth qui ne comprenait pas leur hilarité. Galadriel lui demanda :

 

-Mais pourquoi ne l'as – tu pas demandé à Elrond, ma chérie ?

 

-Mais je l'ai fait, mais il m'a dit de le demander à papa, qu'il serait plus à même de m'expliquer, répondit sa fille avec un regard étonnée.

 

-Elrond, tu vas me le payer, marmonna Celeborn. Il entendit dans sa tête son gendre qui riait devant sa salade. Vois – tu ma chérie, un prétendant est quelqu'un qui se bat pour... heu.... comment dire. Pour avoir la main d'une jeune fille.

 

-Mais c'est horrible ?! hurla Lysbeth horrifiée. Tous se demandaient pourquoi c'était aussi horrible. Des gens vont se battre pour avoir ma main ? Mais c'est ma main ! Je ne vais pas la donner à quelqu'un. Elle est à moi ?!

 

Tous pouffèrent de rire en voyant que la jeune Valië n'avait pas compris ce que son père venait de dire.

 

-Non, non, tu ne m'as pas compris. Ils ne prennent pas la main physiquement, c'est une façon de dire de se marier.

 

-Se marier ?

 

-Oui, être unis pour l'éternité. Comme ta mère et moi. S'aimer et se chérir.

 

-Oh! D'accord.

 

-Et pour tes petits amis, on fait quoi ? demanda Haldir avec un grand sourire.

 

-Je vais aller les voir, je leur dois bien cela.

 

-D'accord. A tout à l'heure ma puce, lui dit son père avec un sourire.

 

Lysbeth lui décrocha un sourire qui fit baver tous les autres elfes. Elle se dirigea vers les enfants, ils savaient qu'elle était revenue, mais ils ne l'avaient pas revue. Ils furent donc très surpris quand ils virent cette belle jeune femme s'accroupir devant eux et les saluer. Mistë la salua poliment :

 

-Bonjour madame.

 

-Madame ?! Ai – je autant changé ?

 

-Qui êtes – vous ? demanda Elwen très étonnée.

 

-C'est moi, Lysbeth. Tu ne me reconnais pas ?

 

-Lysbeth ?! Mais tu es grande ! s'exclama Alfasion déçu.

 

-Ben oui, j'ai grandis à la même vitesse que les mortels. Oncle Gandalf avait prévenu mes parents de ce fait. Et maintenant, j'ai dix neuf ans et pour les mortels, je suis adulte. Mais j'ai encore plein de chose à apprendre.

 

-Mais tu ne peux plus jouer avec nous ?

 

-A la poupée ? Non. Je suis trop grande maintenant et en plus Mitzy est resté à Menegroth.

 

-Je ne le savais pas. Mais comment as – tu fais pour dormir la nuit ? lui demanda Haldir.

 

-Oncle Haldir, j'avais seize ans quand j'ai quitté Doriath. Je n'avais plus besoin de Mitzy, même si elle me manque terriblement. Cependant, je sais que je la reverrais quand j'irais au Beleriand.

 

-Oui, tu as raison, ma puce. Mais je n'ai pas envie que tu quittes ce royaume.

 

-Je n'en ai pas envie moi – même pour l'instant, mais je sais qu'un jour, je voudrais repartir et à ce moment, personne ne pourra me retenir.

 

-Mais nous le savons tous, même si cela nous déplaît fortement, bougonna le garde frontière.

 

-Je le sais très bien. Je suis désolée, mais j'ai depuis longtemps dépassé l'âge de jouer avec une poupée. J'espère que vous me pardonnerez.

 

-Oui, Lysbeth. Mais on peut jouer à autre chose, jouer à cache – cache ou à plein d'autres jeux.

 

-D'accord, il n'y a aucun problème.

 

Lysbeth joua le reste de la journée avec les enfants qui étaient plus que ravis. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait pas joué avec eux. Toute la population décida de cacher son retour et de ce fait, seuls les royaumes elfiques du Lindon, d'Imladris et de la Lothlòrien étaient au courant de son retour. Galadriel contacta Elrond et Círdan et leur demanda de ne rien dire afin de faire la surprise de son retour aux autres. En effet, tous les ans le jour du départ de Lysbeth, se déroulait une grande fête réunissant toutes les races de la Terre du Milieu et les représentants de tous les royaumes. Mais cette année serait spéciale, car il y aurait aussi l'anniversaire du couronnement du roi et de la fin de la guerre. Tous les habitants de tous les royaumes étaient conviés à cette fête grandiose. Il ne restait plus que deux semaines avant le grand jour, et les couturières travaillaient avec acharnement pour terminer les robes de cérémonie à temps. Celle qui leur demandait le plus de travail était celle de Lysbeth car elles voulaient que leur princesse soit la plus belle de toutes.

 

Les deux semaines s'écroulèrent très rapidement et toute la délégation de la Lothlòrien qui se composait de la totalité de la population s'ébranla vers Minas Tirith. Après la frontière, Lysbeth hurla vers ses parents hilares :

 

-Papa ! Maman. Je vous retrouve à Minas Tirith ! YYEEEEAAAAAAAAAHHHHHHHHHH !!!! Noro lim Miel.

 

Le warg partit comme une flèche suivit par Carnil qui portait Haldir. Les deux animaux se faisaient une course terrible. Mais Miel abandonna au coucher du soleil, il était plus vieux que l'étalon et légèrement moins rapide et surtout pendant ces douze années, il s'était empâté. Haldir et Lysbeth se préparèrent pour la nuit et ce ne fut que tard dans la nuit que le reste de la troupe les rattrapa, leurs chevaux épuisés. Ils ne repartirent que tard le lendemain, Miel ne désirant plus faire la course avec cette fusée sur patte. La troupe avançait tranquillement et rattrapèrent la délégation d'Imladris et du Lindon qui étaient, elles aussi, composé de toute la population des deux royaumes. Il leur fallut trois jours pour arriver devant la cité blanche. Elrohir et Elladan passaient leur temps à empêcher les jeunes elfes de tourner autour de Lysbeth.

 

Le soleil étant couché depuis longtemps au moins deux bonnes heures quand la cité blanche apparu au détour du chemin illuminé par la clarté de la lune et des étoiles qui apportaient une touche mystérieuse à la cité humaine joyau du Gondor. Lysbeth poussa un :

 

-OOUUUUAAAAAHHHH!!!!! Très impressionné.

 

-Ma chérie, on ne dit pas « OOUUUUAAAAAHHHH  » mais, « c'est splendide » ! rétorqua sa mère tandis que Celeborn pouffait de rire.

 

Lysbeth hocha rapidement la tête, trop occupée à regarder la cité blanche tacheté de rouge. Elle était éblouie, la cité était vraiment magnifique. Arrivés devant les portes, les elfes installèrent rapidement une véritable ville composée de tentes en tout genre. Et quand les hommes se réveillèrent le lendemain, ils furent surpris de voir une ville de cinq cent mille elfes sous leur murs. Et encore, tout le monde n'était pas arrivé, car ils virent au loin une autre délégation elfique arriver d'Eryn Lasgalen. Tout le monde était enfin arrivé, pile à l'heure pour la cérémonie qui aurait lieu l'après – midi. Galadriel, Celeborn et Lysbeth décidèrent qu'elle ne sortirait qu'au moment de la cérémonie et que personne ne devait savoir qu'elle était là. Lysbeth riait en imaginant la tête de ses amis quand ils la reverraient. Tandis que Galadriel et Celeborn étaient partis présenter leurs voeux aux souverains du Gondor, Lysbeth réfléchit intensément sur le moyen d'entrer dans la cérémonie en faisant le plus de surprise possible et surtout que ce soit mémorable. Après que ses parents aient salué Aragorn et Arwen, ceux - ci leur demandèrent la raison du nombre élevé d'elfes sur la Terre du Milieu. Galadriel leur répondit qu'une prophétie avait été faite et qui disait que les terres du Beleriand allaient bientôt émerger de l'océan et que tous se préparaient pour cet événement historique. Ils hochèrent la tête, mais continuaient à penser que les deux elfes leur cachaient quelque chose.

 

 

 

A suivre

 

 

 

 

 

 
 
Chapitre précédent
 
 
Chapitre suivant
 
 
 
     
     
 
Pseudo :
Mot de Passe :
Se souvenir de moi?
Se connecter >>
S'enregistrer >>