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Lysbeth
Par yotma
Le seigneur des anneaux  -  Action/Aventure/Fantastique  -  fr
59 chapitres - Complète - Rating : K (Tout public) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 39     Les chapitres     5 Reviews    
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Les lettres III chapitre 39

 

 

 

 

Les lettres III chapitre 39

 

 

Finwë encore un peu secoué par l'accueil un peu piquant des Rohirrims, allât vers le Gondor et il espérait vraiment être mieux accueillit. Quand il arriva au – dessus de Minas Tirith, il vit de nombreux hommes lever les yeux vers lui. Thorondor encore méfiant s'approcha doucement et atterrit avec grâce près le l'arbre blanc, qui n'avait jamais été si beau. Avant que Finwë est pu dire ou faire quoique ce soit, les gardes lui offrir l'hospitalité ainsi qu'à l'aigle. Ils avaient encore une longue route à faire, mais l'elfe et l'aigle étaient fatigué et acceptèrent avec joie l'offre si généreuse. Ils restèrent toute une nuit, car le roi, la reine et le prince héritier étaient partis chez Faramir et Eowyn afin de leur rendre une petite visite et accessoirement prendre des vacances. Aragorn, Arwen, Eldarion, Faramir, Eowyn et Ithilion venaient d'arriver, quand Boromir arriva en courant poursuivit par Meleth la louve du couple royale qui avait l'air aussi excité que l'intendant. Avant même qu'ils aient pu mettre pied à terre, Boromir cria :

 

-Nous avons un messager de Valinor, il a un message de la princesse Lysbeth, de notre petite puce.

 

Aragorn ordonna à son cheval de grimper jusqu'au palais, suivit de près par Arwen qui portait son fils, Faramir, Eowyn qui tenait Ithilion et l'escorte. Ils montèrent à fond de train jusqu'au palais et là, Elessa sauta de son cheval et demanda à voir l'elfe qui regardait béat d'admiration le point de vu unique de Rath Dinen. Il se tourna et salua avec grâce le roi et la reine des hommes qui venaient d'arriver. Arwen tenait son fils qui gigotait gaiement dans ses bras et bavouillait avec entraint. Aragorn faisant fi des convenances, attrapa l'elfe par l'épaule et le serra fort contre lui et lui demanda en sindarin, langue que connaissait Finwë:

 

-Vous venez de Valinor?

 

-Oui, votre altesse.

 

-Comme va notre petite puce, heu... enfin je veux dire, comment va la princesse Lysbeth?

 

-Elle va très bien, vous lui manquez et pas qu'un peu. Pardonnez – moi cette expression. Manwë est désolé de devoir faire ainsi souffrir sa fille, mais laisser une Valië qui n'a aucun contrôle sur ses pouvoirs déambuler dans les terres d'Arda serait de la folie.

 

-Oui, vous avez raison. Mais comment vous nommez – vous?

 

-Je me nomme Finwë, je suis le fils de Finarfin.

 

-Le père de Galadriel, donc, vous êtes l'oncle de Lysbeth.

 

-Je suis un des oncles de Lysbeth. Tous les Valar sont ses oncles. Ils l'adorent et elle le leur rend bien. Qui ne pourrait pas aimer une enfant si adorable?

 

-Oui, vous avez raison, répondit Arwen de sa douce voix. Mais vous n'êtes pas venu ici pour regarder du Rath Dinen, je me trompe?

 

-Non, votre altesse. J'ai un paquet pour vous de la part de la princesse Lysbeth. Je ne vais pas pouvoir rester plus longtemps, je dois encore aller en Erebor, à Mirkwood et ensuite en Lothlorien. Tenez.

 

Il donna aux souverains de la cité blanche un paquet un peu volumineux où il y avait écrit avec un écriture enfantine « Fragile ». Aragorn et les autres se demandaient ce qu'il y avait dans le paquet mais Finwë n'en avait aucune idée. Il remonta sur Thorondor et fit ses adieux aux souverains et intendants des hommes, puis repartit vers l'ouest, pour l'Erebor obéissant ainsi aux ordres, ( enfin plutôt à la demande ) de Lysbeth. Aragorn salua longtemps l'elfe, parce qu'il avait remarqué que son épouse et ses amis avaient tendance à reluquer le paquet. Après cinq minutes de geste vers l'aigle qui avait disparu depuis déjà dix minutes, il se tourna et se mit à regarder intensément le colis plus pour énerver son épouse qui était de plus en plus impatiente d'ouvrir le paquet que par réelle méfiance. Soudain, Arwen n'en put plus et houspilla son royal époux qui éclata de rire:

 

-AAAHHH! Estel meleth nin. Tu vas continuer longtemps à nous faire attendre.

 

-Je l'ouvre ma mie, je l'ouvre.

 

Avec précaution, il ouvrit le paquet et découvrit une lettre qu'il décida de lire à haute voix pour les autres :

 

Bonjour tonton Aragorn, bonjour Arwen, bonjour tonton Boromir, bonjour madame Aelita, bonjour Faramir, bonjour madame Eowyn. J'espère que vous zallé bien, moi, je vai très bien et Carnil ( mon cheval) et Milui aussi. Papa et maman m'aprènent à bien lire, j'ai réussi à terminé 8 chapitres de l'istoir du monde. Il a un nom spécial, mais il est tro long et je ne m'en rapèle pas. ( Aragorn, Arwen, Boromir, Faramir, Eowyn et Aelita éclatèrent de rire. Mais le ton de la lettre changea brusquement et les rires cessèrent.) Tonton Boromir, tu doi fair atension. D'acor ? Je continu à faire de vilains rèves et tonton Irmo dit que se sont des visions. ( Boromir répondit en serrant sa femme contre lui : je ferais attention ma toute douce, je te le promets. Puis le ton de la lettre changea à nouveau.) Arwen, tu sai et bien j'ai vu mon grand – père, il s'apèle Finarfin. Il est genti, et je l'aime bocou, il ressemble à maman de la Lothlorien. Vous me manqué bocou, bocou, bocou, bocou. Je vous aime, Lysbeth.

 

-Il y a une chose qui n'a pas changé avec Lysbeth, s'exclama Faramir.

 

-Sa gentillesse? demanda Arwen.

 

-Non, ses fautes d'orthographe.

 

Tous éclatèrent de rire puis, l'attention revint sur le paquet. Aragorn le défit totalement et une lumière intense s'échappa du colis et ils durent fermer un instant les yeux pour ne plus être éblouis. Quand leurs yeux furent habitués, ils virent une plante, une magnifique plante. Arwen sortit le pot et tous furent éblouie par la beauté de ce.....rosier. Un magnifique rosier avec des feuilles dorés et des fleurs argentés. Arwen sentit la rose et poussa une exclamation de ravissement. La rose embaumait l'atmosphère d'un doux parfum frais et délicat. Arwen murmura:

 

-Je sais où je vais planter ce rosier.

 

-Où mon amour ? demanda Aragorn.

 

-Devant l'arbre blanc.

 

-Oui, tu as raison meleth nin. C'est sa place. Attend, il y a autre chose, au fond du colis.

 

Avant qu'Aragorn ait pus faire quoique se soit, Aelita sortit une petite plante insignifiante et pourtant de toute beauté. Elle ressemblait à un rubis dans un écrin de verdure. Une fleur d'un rouge vif comme une goutte de sang et avec un parfum fruité et apaisant. Aelita la montra à tout le monde et soudain une voix douce résonna dans l'air matinal de Minas Tirith. Une voix que personne n'avait jamais entendu :

 

-Bonjour, je me nomme Yavanna. Si je vous contacte, c'est pour vous expliquer l'importance de la fleur que vous tenez jeune Aelita. Cette fleur est inestimable, car elle a été créé avec le sang de Lysbeth et elle ne se fanera jamais car elle représente la pureté et l'innocence de Lysbeth.

 

-Pourtant cette fleur a l'air si insignifiante et en même temps, elle est la plus belle de toute.

 

-Oui, comme Lysbeth, une enfant qui pourrait – être comme les autres et qui n'en est pas moins une puissante Valië. Une voix que tout le monde adorait, résonna dans l'air froid de la cité pour le plus grand bonheur de tout le monde.

 

-Tata Yavanna, Je peux leur dire bonjour ?

 

-Oui, vas - y ma puce.

 

-Bonjour tonton Aragorn, bonjour Arwen, bonjour tonton Boromir, bonjour Madame Aelita, bonjour Faramir, bonjour madame Eowyn. Vous avez reçu mon cadeau? J'espère qu'il vous plaît? Tata Yavanna m'a aidé à le faire.

 

-C'est vraiment magnifique ma puce, s'exclama Aragorn avec un sourire.

 

Ils entendirent tous une voix tendre et douce qui appelait Lysbeth.

 

-Ma chérie, c'est l'heure ton cours de musique.

 

-J'arrive maman. Je vous aime tous. Au revoir !

 

-Nous aussi ! Au revoir ma douce, s'exclamèrent – ils en souriant. Ils éclatèrent de rire quand ils entendirent la voix de la fillette s'évanouir en chantonnant. Aragorn continua au nom de tout le monde:

 

-Merci. Merci de nous avoir permit de lui parler. Elle nous manque terriblement. Mais nous savons que ses parents n'avaient pas le choix et nous ne leur en voulons pas, et en fait, nous attendons avec hâte la belle jeune femme qui nous reviendra pour voir les ravages qu'elle va faire dans la gent elfique. Je pense que ce sera assez amusant de voir ces puits de sagesse redevenir des adolescents amoureux, rigola Aragorn qui reçu une claque de la part de sa femme. Mais un rire joyeux accueillit ces paroles et cette claque.

 

-Je ne crois pas que son père serait ravi. Ne lui dite pas, mais Manwë est extrêmement jaloux et n'apprécie guère le regard des garçons sur sa fille. Alors je n'imagine même pas sa colère quand elle sera adulte.

 

La voix de la Valië disparu dans un ultime éclat de rire. Et le Rath Dinen redevint calme et paisible. Arwen alla donc planter le rosier devant l'arbre blanc. Le rosier se mit à grimper autour de l'emblème du Gondor, mais sans l'étouffer, l'embellissant encore plus, lui donnant une beauté irréelle qu'il n'aurait jamais eut sans lui. Aelita prit la décision de planter la petite fleur, nommé mìrdan ( rubis ) à l'extérieur de la cité et en une année, la petite fleur rouge avait colonisé toute la cité et recouvrait les murs pour la plus grande joie des habitants qui se levaient tous les matins réveillé par la fraîche et apaisante odeur de ces fleurs.

 

Finwë monté sur Thorondor continua vers l'ouest pour aller en Erebor pour donner un colis à Gimli. Quand ils y arrivèrent deux jours plus tard, les nains très aimables qui n'avaient pas oublié l'aide non négligeable des aigles leur apprirent que Gimli était avec Legolas à Eryn Lasgalen. Finwë les remercia abondamment et il repartit vers le Sud. Les paysages étaient beaux, mais lui et Thorondor commençaient à être lassé de voler de la sorte, ils souhaitaient vivement rentrer chez eux. La nuit commença à tomber quand ils arrivèrent à Eryn Lasgalen et l'aigle ne voulu pas rester, pour pouvoir rentrer le plus vite possible chez lui. Donc Finwë dut faire rapidement et donna les colis à deux elfes qui passaient par là pour les donner à Legolas de Mirkwood et à Gimli fils de Gloin ensuite, ils repartirent vers le sud et la Lothlorien. Thranduil et Lenwen n'avaient rien comprit à l'affaire et se retrouvaient tous les deux avec des paquets dans les mains comme s'ils étaient de simples livreurs, eux des rois. Thranduil commençait à voir rouge quand Lenwen s'exclama:

 

-Meleth nin, c'est un paquet qui vient de Lysbeth.

 

Tous les deux partirent retrouver Legolas et Gimli qui furent surpris de voir les deux souverains leurs donner des paquets. Gimli avec sa douceur légendaire secoua le paquet dans tous les sens et commença à l'ouvrir devant le regard étonné de Legolas qui restait le paquet dans les mains. Gimli reçu une lettre qu'il lut à haute voix ( j'ai plus d'idée pour la lettre, alors imaginez-la, avec des fautes d'orthographe et ce sera ça. ) Il en eut les larmes aux yeux et en pleura littéralement quand il ouvrit le paquet et vit le présent que lui avait offert Lysbeth. C'était une représentation en pierre de tous les membres de la communauté de l'anneau, il y avait dix petites statuettes et les proportions étaient gardés, la plus petite était celle qu'il garda la plus longtemps sur son coeur en pleurant. Elle ne l'avait pas oublié, elle pensait toujours à lui, sa petite puce, celle qui avait tenté de le rapprocher des elfes et qui avait réussit. Avec douceur Lenwen le serra contre elle et le nain fondit en larmes devant les elfes qui voyaient pour la première fois la profonde sensibilité du nain. Il garda précieusement ces statuettes qui représentaient une grande aventure et amitié.

 

Legolas prit une grande respiration et ouvrit son colis, il y avait une lettre, qu'il lut en sentant ses yeux le piquer et un paquet qu'il ouvrit. Il fut surpris de voir que c'était un livre. Il l'ouvrit et une feuille tomba à terre. Il y avait un message écrit dessus:

 

Cher tonton Legolas, j'ai eu du mal à trouvé ton cado et pui je me suis rapelé les belles zistoires que tu me racontai avant de dormir. Alors je t'ofre ce livre, c'est mon livre préféré, c'est celui que maman me lit avant de dormir. J'espère que tu vas les aimé autant que je les aime. Ta petite Lysbeth qui t'aime tonton.

 

Legolas sentit les larmes lui couler le long de ses joues et il remercia abondamment son père et sa belle – mère pour le lui avoir apporté. Il garda précieusement le livre qui devint son livre de chevet, son porte bonheur, il ne sortait jamais sans lui et souvent, il faisait courir ses doigts sur la couverture en imaginant la fillette sauter dans les bras de sa mère et lui demander de lui lire une des histoires.

 

 

 

A suivre

 

 

 

 

 
 
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