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au 31 Mai 21 :
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Lysbeth
Par yotma
Le seigneur des anneaux  -  Action/Aventure/Fantastique  -  fr
59 chapitres - Complète - Rating : K (Tout public) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 34     Les chapitres     5 Reviews    
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Le dessin

 

 

Le dessin Chapitre 34.

 

Lysbeth discutant très poliment avec Vaïrë de ce qu’elle avait vu en Lothlórien, à Edoras, à Minas Tirith et durant son voyage devant une table. La Valië écoutait patiemment avec un grand sourire la fillette raconter son histoire et lui donnait de temps à autre des appréciations sur le dessin qu'elle faisait. En effet pour la faire patienter, Vaïrë avait demandé que l’on apporte des feuilles de papier et des crayons de couleurs pour qu’elle ait quelque chose à faire. Vaïrë avait dit à Lysbeth que ses parents seraient très fiers d’avoir un beau dessin venant de leur fille chérie. Et donc depuis quatre heures, la petite fille dessinait paisiblement avec une application que ne lui avait jamais vu ses parents. Si Lysbeth avait relevé la tête de son travail, elle aurait vu trois Valar la bouche grande ouverte et la mâchoire tombée sur la poitrine. Varda se reprit rapidement et donna quelques coups de coude aux deux autres pour qu’ils arrêtent de gober les mouches. Elle s’approcha silencieusement de Lysbeth et regarda son travail. Ce n’était pas parfait. En fait tout bien considéré c’était incompréhensible voir même très moche.

 

Le dessin ressemblait vaguement mais vraiment très vaguement à cinq bâtons avec quatre tiges sortant de chaque barres et entourées de très longs traits marrons terminés par des nuages verts. deux des cinq bâtons avaient une masse noire qui sortait d’une boule, pour l’un, des points violet et pour l’autre, des points gris. Pour les trois autres bâtons, la masse était jaune, pour l’un les points étaient violet, pour l’autre bleus et pour le troisième gris et enfin, il y avait une espèce de boule avec des points bleus et des pics jaunes qui en sortaient. Varda se creusait la tête pour savoir ce que représentait ce…truc. Elle n’osait demander ce que c’était pour ne pas voir sa fille être déçu par l’ignorance de sa mère,( quelle mère indigne, tout le monde peut voir que se sont des bâtons ). Varda tourna la tête vers les autres Valar et vit la même incompréhension pour son époux, mais une lueur amusée dans les yeux de Namò qui prit soudain ses jambes à son cou avant d’exploser de rire et de déconcentrer Lysbeth. Mais le hurlement de rire qui éclata dans la grande salle fit sursauter la fillette qui remarqua enfin ses parents.

 

Elle leur fit d’abord la tête et se replongea dans son dessin en les ignorant superbement pour les punir de la peur qu’ils lui avaient faite. Varda s’agenouilla devant sa fille et lui murmura doucement :

 

-Oh ma chérie, on a eut tellement peur quand on a vu que tu avais disparu, toute la ville est sans dessus – dessous . Nous sommes tellement désolés, vois – tu, on a fait la fête toute la nuit pour ton retour et lendemain, on a oublié de se réveiller. Tu nous pardonnes, dit ?

 

Lysbeth fit la moue, puis serra le cou de sa mère dans ses bras en lui chuchotant dans le creux de l’oreille :

 

(-WWWWWWWWWAAAAAAAAAAASSSSSSS UUUUUUUUPPPPPPPPPPP ! ! ! !

 

Varda s’écroula les tympans définitivement crevés. Bon, je me suis bien amusée, mais reprenons le cours normal de votre lecture).

 

-J’ai eu très peur, parce qu’il n’y avait personne. J’ai cru qu’un méchant vous avait faire du mal.

 

Quand Lysbeth avait peur, elle reprenait son langage enfantin du début de son vie en Terre du Milieu.

 

Varda serra fort sa fille contre elle et la consola tendrement en même temps que Manwë qui serrait les deux femmes de sa vie contre lui. Après une longue étreinte de cinq minutes, Lysbeth se détacha de ses parents et leur montra le bôôôô dessin qu’elle avait fait. Mais la question qui était dans l’esprit des parents était toujours la même, qu’esssst ce que c’est ?

 

-C’est beau, hein maman ?

 

-C’est magnifique ma puce, dit Varda avec un grand sourire.

 

-C’est superbe ma petite fleur de violette, dit Manwë dans un ton qu’il espérait convainquant avec un sourire à la ultrabrite.

 

Les parents soufflèrent de soulagement quand Lysbeth se mit à décrire ce que le dessin représentait et ils regrettèrent bientôt cette connaissance, enfin, surtout Manwë :

 

-Alors là, ( en désignant deux bâtons, l’un à la touffe noire et aux points gris et l’autre à la touffe jaune et aux points violet) c’est toi papa, et là c’est maman.

 

Manwë souleva légèrement un sourcil en se disant que sa fille avait vraiment bien besoin de cours accéléré de dessin, parce que là, ça atteignait le niveau je vais aller vomir mon quatre heures. Il jeta un coup d’œil vers Vaïrë qui s’étranglait de rire sur son ouvrage. Varda trouva le dessin très réussi, non pas pour ce qui était dessiné, mais pour ce qu’il représentait. Il représentait une famille unie et elle la félicita pour son magnifique dessin, mais Lysbeth n’avait pas terminé.

 

-Mais j’ai pas fini maman, râla Lysbeth d’un ton boudeur.

 

-Je suis désolée ma petite chérie. Continue, répliqua sa mère avec un petit sourire d’excuse.

 

-Alors là, ( en montrant fièrement le troisième bâton avec une touffe noire et des points violet) là c’est moi, et je nous ai dessiné tous main dans la main. Et là ( en montrant les deux derniers bâtons et l’espèce de boule) c’est mon papa, ma maman et mon petit frère de la Lothlórien.

 

A ce moment, Manwë dut se retenir pour ne pas éclater de rire, parce que là ça dépassait tous les niveaux d'horreur absolue. Il laissa échapper un bruit bizarre et se fit pincer la cuisse par son épouse qui le rappelait ainsi à l’ordre. Manwë très digne dit à sa fille :

 

-C’est vraiment magnifique ma fille, mais je dois parler à Namò d’une chose importante. A tout à l’heure ma douce.

 

-A tout à l’heure papa.

 

Manwë rejoignit Namò qui était affalé sur son trône et se marrait comme un dingue. Il essaya de calmer son fou rire quand il vit Manwë, mais il explosa à nouveau d’un rire bruyant. Voir le grand roi des Valar représenté en bâton, c’était très amusant.

 

-Quand as tu compris ? dit Manwë d’un ton calme.

 

-Quand j’ai compté le nombre de bâtons, il y en a six, autant que les membres de sa famille. Ta fille est très gentille, mais elle ne sait vraiment pas dessiner. Tu devrais la confier à Nienna pour qu’elle lui apprenne le dessin.

 

-Ce la fait combien de temps que Nienna n’a pas pleuré ?

 

-Cela fait bien trois ans, depuis la chute de Sauron, elle est toute joyeuse et rie tout le temps. Cela est très étrange.

 

-Je voudrais à nouveau te remercier de l’avoir aider. Et quand elle sera bien reposé, on commencera à lui apprendre à contrôler ses pouvoirs. Ils sont devenus très puissant, encore plus puissant qu’auparavant, comme si son aventure sur terre les avait fait augmenter.

 

-C’est peut – être cela ?

 

-Mais tu sais, je m’en moque. Notre fille nous est revenu et c’est ce qui compte. Je sais qu’un jour elle repartira visiter Arda comme avant, mais pour le moment elle est là et c’est le plus important à mes yeux. Je vais faire ce que les hommes font, vivre au jour le jour afin de voir les progrès de ma fille, ses rires et ses larmes, ses bêtises et ses jeux, ses rêves et ses cauchemars. Je sais qu’elle va en avoir, c’est normal pour une enfant de cet âge, et je veux être près d’elle et pouvoir la consoler quand elle ira mal. Manwë parlait d’une voix douce et tendre, rêvant déjà de ces moments forts avec sa fille.

 

Namò eut à nouveau un sourire compréhensif en voyant le grand roi prit par des sentiments humains.

 

-Tu sais Manwë que tous les Valar seront près de toi, prêt à t’aider dans les moments les plus difficiles. Nous avons retrouvé une partie de ce que nous avions perdue et tout cela grâce à ta fille. Elle est encore plus aimée en tant que Lysbeth qu’en tant que Beriawen. Ulmo voudrait bien lui faire visiter son royaume sous – marin. Irmo attend avec impatience ta fille dans ses jardins afin de pouvoir la revoir et rire avec elle de ses rêves les plus amusants. Aulë voudrait lui apprendre l’art de l’orfèvrerie et lui offrir tous les joyaux du monde afin de rehausser encore sa beauté naturelle. Oromë et Tulkas veulent pouvoir jouer avec elle et faire de longues promenade à cheval à travers les plaines. Yavanna, elle, souhaiterai chanter et danser avec elle, de même qu’Estë. Nessa, elle, voudrait courir dans les bois avec elle et lui apprendre le langage des animaux, elle est déjà tombé amoureuse de Milui la petite boule de poil et aimerai bien en avoir un. Vanà voudrait aider ta fille à développer son pouvoir sur les plantes, car la salle à manger qu’elle a créé en Lothlórien l’a subjugué.

 

Manwë se mit à sourire en entendant les souhaits de tous les Valar qui voulaient apporter leur contribution à l’apprentissage de sa fille. Sa fille, elle était tellement belle, aussi belle que sa mère et aussi douce. Ses parents humains l’avaient élevée au mieux lui apportant une base solide sur laquelle elle pouvait toujours compter dans les moments les plus difficiles, le respect de soi et des autres. Respecte les autres et les autres te respecteront. Aide les autres, et les autres t’aideront. Aime les autres et les autres t’aimeront. La philosophie bien de personnes biens. C’est pour les remercier que Manwë leur avait accordé deux grâces. La première, ils avaient pu revoir leur fille afin de lui dire un ultime adieu et la seconde, ils allaient renaître dans la race des elfes, ce qui jamais n’avait été accordé auparavant à des mortels. Cela avait été difficile, car il avait dû amener les âmes des parents humains de Lysbeth d'un autre monde. Quand Namò lui avait raconté que Lysbeth l’avait appelé « C’est quoi », il avait un peu froncé les sourcils n'appréciant guère ce manque de respect mais sourit quand il apprit les excuses données à Namò par l’enfant.

 

L'histoire du dessin fit rapidement le tour des Valar et tous voulaient voir l'œuvre de la jeune princesse. Toutes les Valier pensèrent comme Varda car elles ne voyaient pas le dessin, mais l'intention de l'enfant, et elles le trouvèrent vraiment magnifique. Alors que les Valar se marraient comme des dingues récoltant le regard noir et outré de ses parents. Pour fêter l'arrivée de Lysbeth, ils organisèrent une dernière fête où allait participer la jeune princesse pour la plus grande joie de tous. Manwë prit la décision de lui faire prendre son bain tandis que Varda discutait avec Nienna des changements qui apparaissaient sur Arda. Elles discutaient tranquillement, quand des éclats de rire, un cri étranglé et un bruit d'inondation retentit dans la pièce. Varda et Nienna se précipitèrent dans la chambre. Enfin ce qu'il restait de la chambre, ça ressemblait plus à l'Isengard après l'attaque des ents qu'à une chambre. Quand elles virent l'état de la pièce, et l'état de Manwë, elles explosèrent de rire. Le roi des Valar était trempé de la tête au pied et la salle complètement inondée et quand Lysbeth, elle se trouvait debout, toute nue, un grand sourire aux lèvres, toute trempée éternuant de temps en temps et frissonnant dans l'air froid et humide. Nienna alla chercher rapidement une serviette et des vêtements secs. Elle commença à sécher Lysbeth pendant que Varda faisait la même chose avec son époux.

 

-Mon époux, mais que vous est - il arrivé?

 

-Notre fille et moi nous nous sommes adonnées à des jeux aquatiques qui ont légèrement détérioré sa chambre. Répondit le roi avec un immense sourire, les cheveux mouillés lui tombant sur le visage.

 

-Légèrement ? Notre fille va devoir dormir dans une autre pièce cette nuit, le temps qu'elle sèche! dit Varda d'un ton sévère en fronçant les sourcils.

 

Le père et la fille regardèrent Varda, puis baissèrent la tête comme des enfants prit en faute. Ils se regardèrent et éclatèrent de rire. Mais le rire de Lysbeth se termina dans une crise d'éternuement bruyant. Ses parents s'affolèrent un peu, puis la réchauffèrent en la serrant fort contre eux. Lysbeth était ravi, c'était encore mieux que dans ses rêves. Elle était vraiment heureuse et le montrait à ses parents chéris. Elle embrassa son père et sa mère. Nienna voyant ce beau tableau familiale décida de les laisser à leur réjouissance. Pendant que Manwë coiffait sa fille, Varda terminait de l'habiller. Elle était belle comme un cœur et ils étaient très fiers d'elle, de son courage, de sa douceur et de sa tendresse. Varda la fit s'asseoir et commença à lui tresser les cheveux tandis que Manwë allait se changer pour être présentable durant la fête de ce soir. Varda mit la touche finale sur la tête de sa fille, son diadème, représentation de sa royauté. Le temps passa assez rapidement et quand les rayons de Telperion prirent le pas sur ceux de Laurelin, Varda dit à sa fille:

 

-C'est l'heure ma chérie, tout le monde t'attend.

 

-Maman, Milui, il peut venir avec moi?

 

-Mais bien sûr ma puce, je t'attends dehors, tu peux aller le chercher.

 

-Merci Maman! s'écria la petite fille en sautant au cou de sa mère.

 

Varda regarda sa fille courir dans les couloirs avec un amour profond dans son regard. Avec grâce, la reine des Valar rejoignit son époux et les autres qui demandèrent:

 

-Mais où est Lysbeth?

 

-Elle arrive, elle est allée chercher Milui.

 

-Milui, il est tellement mignon comme warg. J'adore le voir quand il avance en se dandinant. Tiens en parlant du warg, regardez ce qui arrive, dit Nessa avec un sourire.

 

Tous se tournèrent vers le palais des seigneurs de l'ouest et virent une boule de poil courir en trébuchant vers les Valar. Milui tenta de sauter dans les bras de Nessa, mais il trébucha et s'étala pitoyablement par terre. La pauvre bête se mit à pleurer désespérément. Nessa se baissa, prit le tout petit fauve dans ses bras et le caressa pour le calmer. Le petit monstre lui lécha le visage et cessa de couiner pour se blottir plus profondément dans les bras de la Valië. Les Valar et les elfes discutaient tranquillement quand apparu Lysbeth. Le premier à la voir fut Finarfin qui cessa de parler à Namò et regarda ébloui le fillette venir vers eux. Le Vala se demanda d'abord pourquoi l'elfe le mettait dans le vent, et, suivant le regard du père de Galadriel, il la vit. Il donna un petit coup de coude à Manwë et tous les autres se turent pour voir la fille des Valar avancer vers eux. Elle était magnifique, elle portait une longue robe étoilée et les Noldor rougirent de bonheur quand ils virent sur sa tête le diadème qu'ils avaient fait. Elle marchait avec une grâce divine. Sa mère se mit à sangloter de bonheur et son père sentit des larmes de joie couler le long de ses joues. Après une marche de cinq minutes, elle s'arrêta devant les Valar et leur fit sa plus belle révérence, et sans tomber. Tulkas s'approcha d'elle, lui agrippa l'épaule et la serra très fort contre lui en versant des larmes de joie. La pauvre petite devenait de la même couleur que ses yeux, violette. Puis il la relâcha et la passa à tous les Valar qui furent beaucoup moins étouffant mais tout aussi heureux et larmoyant. Le dernier à la porter fut Irmo qui la prit dans ses bras et l'embrassa tendrement sur les joues. Puis il la remit dans les bras de ses parents qui en pleurèrent de joie.

 

-Nous sommes tellement fier de toi ma chérie, mon petit ange. Tu es devenue aussi gracieuse que tes deux mères.

 

Leur fille rougit devant le compliment de ses parents. Elle se blotti plus profondément dans leurs bras et leurs murmura aux oreilles:

 

-Je t'aime, maman. Je t'aime papa. Je vous aime très fort.

 

-Nous aussi nous t'aimons très fort ma petite fleur de violette, répondit son père avec un grands sourire.

 

-Mais bon, c'est pas tout ça, mais il y a une fête qui nous attend, avec un grand banquet.

 

-OUIIIII!!! crièrent les invités très heureux.

 

Ils allèrent tous à la colline des deux arbres et Lysbeth vit qu'il y avait des centaines de petites tables rondes qui attendaient les convives. Il y avait une grande table qui se trouvait pile sous la colline. Manwë, Varda et les autres Valar prirent place à cette table et Olorin aida avec un sourire Lysbeth à grimper sur sa chaise. Lysbeth regarda le maia et lui demanda toute étonnée:

 

-Tonton Gandalf ? C'est toi tonton ?

 

-Oui ma petite puce c'est moi.

 

-T'as plus ta barbe, t'es plus beau comme ça. Tu ressemble à tonton Legolas, tu ne ressemble plus à grand papa Charles-Maxence. En entendant ce nom, Olorin pouffa un peu de rire.

 

-Merci, Lysbeth mon enfant. Je suis fier que l'on est réussit à empêcher le mal de t'approcher. Et je suis encore désolé pour ce que je t'ai fait, dit Olorin d'un ton un peu triste.

 

-Je t'ai pardonné tonton Gandalf, dit la fillette avec un grand sourire.

 

-Merci mon ange, mais ne m'appelle plus Gandalf, mais Olorin, car tel est mon nom, princesse, corrigea le maia avec le doux sourire que la fillette connaissait.

 

-D'accord tonton Olorin.

 

Elle l'embrassa sur la joue et le regarda prendre un siège près de Lily, Frodon et Bilbon.

 


A suivre

 

 

 

 

 

 

 

 
 
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