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au 31 Mai 21 :
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Union
Par gets35
Harry Potter  -  Romance/Action/Aventure  -  fr
52 chapitres - Complète - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 43     Les chapitres     18 Reviews    
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Un aller pour la France
Un aller pour la France



« C’est génial ! » S’exclama Blaise.

« C’est trop trop bien même ! » Continua Ron.

« Je n’aurais jamais cru y arriver ! »

« Mais si Neville, moi j’en étais sur ! » Lui dit Ginny.

« En tout cas moi j’aimerais bien profiter de mon animagus ce soir ! » Suggéra Harry.

« Quoi ! Ne me dis pas que tu voudrais aller te promener ce soir ? » S’offusqua Hermione.

« Et bien si ! J’ai envie de me dégourdir les pattes ! »

« Et moi j’aimerais bien voler ! » Dit rêveusement Luna.

« Mais c’est dangereux ! »

« Et en quoi c’est dangereux. » Lui demanda Drago en entourant sa taille de ses bras en faisant un clin d’œil aux autres pour dire qu’il fallait le laisser faire.

« Et bien on pourrait se faire attraper ! »

« Mais personne n’est au courant de notre statut d’animagus. » Dit-il en lui dégageant les cheveux pour l’embrasser dans le cou.

« Et si on se faisait attaquer par des créatures de la forêt interdite ! » Expliqua-t-elle en penchant la tête sans se rendre compte pour qu’il continue ses bisous.

« Tu crois qu’un chat, une biche, un écureuil, un renard, un hibou, un papillon et un loup peuvent réellement les intéresser ! » Continua-t-il en devenant plus entreprenant et en glissant ses mains sous son pull pour lui caresser le ventre.

« Oui tu as peut-être raison ! Mais on sera prudent ! » Dit-elle un sourire niais sur le visage. Elle se retourna puis voyant la mine stupéfaite des ses amis elle leur demanda ce qu’il y avait pour qu’il fassent une tête comme ça !

Et oui, ils faisant tous une tête de six pieds de long ! Il fallait admettre que ce n’était pas tous les jours qu’on voyait Hermione-je-suis-parfaite-Granger, meilleure élève de Poudlard depuis des générations et préfète en chef pointilleuse sur le règlement, céder rien qu’avec des caresses et des bisous dans le cou !

« Non rien ! » répondit dès aussitôt Harry.

« Alors là moi je dis chapeau ! » Ne pu s’empêcher de répliquer Ron sous l’œil totalement perdu d’Hermione. Elle ne comprenait pas le comportement de ses amis. Et d’un autre côté, elle s’en fichait un peu étant plus intéressée par les caresses de son petit ami.

« Qu’est ce que tu crois Weasley ! On a la classe où on ne l’a pas ! » Dit le principal intéressé avant d’être entraîné par Hermione dans leur salle commune pour passer à des activités plus intéressantes selon lui. Ils laissèrent donc les quatre autres plantés là avec la bouche grande ouverte !

« Ah bah ça alors ! Je n’aurais jamais cru Granger comme ça ! J’avoue que ça change de la miss-je-sais-tout qu’on a l’habitude de voir. »

« Oh et bien faut croire que ton meilleur ami doit être un coup d’enfer ! » Rigola Ron sous l’œil amusé de tout le monde.

Le soir même, on pouvait voir un loup, un chat, un renard et une biche vagabonder dans un pré tandis qu’un écureuil s’amusait à sauter d’arbre en arbre et qu’un hibou voulait au dessus de tout ça. Il ne fallait pas oublier le papillon qui passait de fleur en fleur.


Le lundi matin suivant, Harry recevait un petit colis par un hibou qu’il ne connaissait pas et qui n’appartenait pas à l’école. Il su tout de suite qu’il venait de Hagrid car il utilisait toujours un hibou différent pour ne pas se faire repérer. Un peu comme Sirius le faisait quand il lui envoyait des lettres. Cependant, il savait que cette fois-ci, ce n’était pas une lettre comme les autres. Nous étions le premier mai et Harry avait bien précisé à Hagrid qu’il lui donnait jusqu’en mai pour lui dire toute la vérité. Il appréhendait un peu de lire cette lettre car il ne savait pas vraiment ce qu’elle contenait. Il avait peur de ce qu’il allait découvrir. Il n’était pas prêt à revoir Rogue même si en laissant Hagrid le rejoindre, il savait qu’il lui donnait un peu de sa confiance. Au bout d’une journée entière de questions, il se rendit dans la salle sur demande pour être tranquille et décida d’ouvrir le colis.

Il fut surpris d’y trouver une clé toute simple avec une lettre.

Mon cher Harry,

Cette lettre, comme tu dois bien t’en douter, n’est pas comme les autres que je t’ai envoyé ces derniers temps. Nous sommes en mai et comme je te l’ai promis il y a quelques semaines, tu vas enfin savoir ce qu’il s’est passé. Tu te doutes bien que je ne peux pas le faire dans cette lettre. C’est pour ça que j’ai joint au colis un portoloin qui s’activera samedi matin à dix heures précise. Pour qu’il s’active tu devras pointer ta baguette dessus cinq minutes avant et prononcer mon nom et prénom. Nous faisons cela pour que personne ne puisse l’utiliser à part toi. Si nous voyons que tu ne viens pas c’est que le courrier aura été intercepté et donc nous trouverons une autre solution. Et ne t’inquiètes pas, nous te renverrons dimanche soir par cheminette au 'Trois balais' à dix huit heures. C’est pour cela qu’il faudrait que quelqu’un vienne te chercher. Une dernière chose, ne donne pas la raison de ton absence à l’Ordre du Phénix. Ils ne doivent pas savoir maintenant.
Et bien je te dis à vendredi Harry.

Bucky.


Le vendredi soir suivant, Harry annonçait au membre de l’Ordre du Phénix qu’il devrait s’absenter pendant tout le week-end. Mais vu qu’il ne voulait pas dire où il devait aller, personne n’était d’accord pour le laisser partir. Seuls, Ginny, Hermione, Luna, Blaise, Drago et Ron étaient au courant de ce qu’il se passait.

« Il est hors de question que vous partiez comme cela sans nous dire où vous allez monsieur Potter ! » S’exclama le professeur McGonagall.

« Sauf votre respect professeur, je ne vous demande pas votre avis ! » Répondit Harry d’un ton plus dur qui fit tressaillir tous les membres de l’Ordre et même la directrice.

« Mais monsieur Potter…. »

« Je sais très bien que vous voulez me protéger mais je peux vous assurer que je ne risque rien. »

« Mais dit nous au moins où tu veux aller ! » Demanda doucement Thonks.

« Je suis désolé mais ça m’est impossible. Je ne vous faisais pas une requête en vous annonçant ça ! Je vous préviens juste que je serais absent de l’école à partir de samedi matin à très exactement dix heures et que je reviendrais au chaudron baveur à dix huit heures. Si vous avez peur pour moi, je vous demanderais juste de venir me chercher dimanche au 'Trois balais'. »

« Bien sur Harry, je viendrais moi-même te chercher. Ce n’est pas un problème mais comprends nous que tu ne peux pas quitter l’école comme ça et sans que l’on sache où tu vas. » Lui dit Lupin.

« Je vous jure qu’il n’y a aucune raison de vous inquiéter mais comme je vous l’ai dit et redit, je ne vous demande pas l’autorisation, je vous préviens juste. De tout façon, vous m’aviez bien dit professeur McGonagall que j’aurais l’autorisation de sortir de l’enceinte du château autant de fois qu’il m’en sera utile. »

« Oui mais je pensais que vous nous diriez pourquoi. »

« Et bien là je ne peux pas ! Mais je ne vois pas ce que ça remet en cause. Si je suis celui qui dirige l’Ordre du Phénix, je suis capable de prendre mes décisions tout seul ! Je suis maintenant majeur et je ferais ce que bon me semblera ! Sur ce je vous dis bonne soirée et à dimanche Remus ! » Il se leva et quitta la pièce.


Une heure plus tard, Ginny rejoignait Harry dans la salle sur demande. Elle savait qu’il était là et qu’il n’était pas aussi fort et déterminé qu’il l’avait fait montré devant les membres de l’Ordre du Phénix. Elle était heureuse car il avait choisit de penser à la même chose que quand ils se retrouvaient tous les deux pour passer la nuit. Ils étaient les seuls à savoir qu’il fallait penser à ‘Univers de Harry et Ginny’. Elle en était heureuse car cela voulait dire qu’elle était la seule qui pouvait venir le voir.

Quand elle entra dans la chambre, elle le découvrit allongé sur le lit, les bras sous la tête, l’air pensif.

« Ca va ? » Lui demanda-t-elle doucement.

« Oui t’inquiète pas ! Je réfléchissais juste. »

« Je peux venir réfléchir avec toi ? »

« Bien sur, tu peux faire ce que tu veux avec moi. » Rajouta-t-il en rigolant ce qui détendit considérablement l’atmosphère.

« Mais ne t’inquiètes pas, j’y pense sérieusement depuis que je viens de te voir sur ce lit ! » Il rigolèrent de bon cœur tous les deux. « Maintenant plus sérieusement Harry. Je veux que tu me promettes que tu feras attention. Et que tu ne tues pas dès aussitôt Rogue avant d’avoir eu toutes les explications ! »

« Pour ce qui est de faire attention, il n’y a pas de problème mais pour ce qui est de l’autre chauve souris, je ne peux rien te promettre ! »

« J’ai peur tu sais. »

« Je sais. » Elle vint se blottir des ses bras et ils restèrent un moment comme ça sans rien dire juste à profiter de la présence de l’autre. « Tu sais il y aurais une solution pour savoir que je vais bien. » Finit-il par dire.

« Et laquelle ? »

« Et bien tu pourrais prendre ma montre pour le week-end et faire le sort pour moi comme ça tu sauras toujours si je vais bien ! »

« Tu ferais ça ? »

« Bien sur ! »

« Oh oui je veux bien ! Oh moins comme ça je serais rassurée ! »

« Alors c’est d’accord, on le fera demain matin mais pour l’instant j’ai d’autres choses en tête qui m’aidera sûrement à me changer les idées ! » Dit-il malicieusement en se tournant vers sa petite amie.

« Voyons monsieur Potter, vous n’êtes qu’un obsédé ! »

« Oui mais juste de toi ! » Ils passèrent le reste de la soirée à faire l’amour et à se cajoler.


Le lendemain, Harry dit au revoir à ses amis et ce rendit en dehors des terres protégées du château. A dix heures moins cinq, il pointa sa baguette sur la clé et prononça Rubeus Hagrid. La clé scintilla un peu puis redevint normale. A dix heures précises, il posa la main dessus et disparu.

Comme à son habitude, il atterrit sur le sol à genoux. Il releva un peu la tête et y découvrit une cuisine toute simple en bois clair avec une tapisserie sur les tons bleus et jaune. L’espace était assez grand et très clair. Il se surprit à penser qu’il se sentait bien dans cet endroit.

« Bienvenue en France monsieur Potter. Toujours aussi doué avec les moyens de transport sorcier à ce que je vois Potter ! » Peut-être avait-il pensé trop vite.

Il se retourna et découvrir Severus Rogue dans toute sa splendeur. Il n’avait pas changé, ses cheveux étaient toujours aussi gras et il portait bien entendu ses éternelles robes noires. Seul ses traits, quand on regardait bien, semblaient plus tirés qu’à l’habitude. Soudain, il croisa son regard et il se rappela de la dernière fois où il avait vu ses yeux là. Severus du s’en apercevoir car il répliqua très vite avec son air cinglant.

« Tout doux Potter ! Vous me tuerez plus tard ! Ce n’est pas le moment ! »

« Oh mais ça oui, je me réjouirais de pouvoir faire cela moi même ! En attendant, j’aimerais bien savoir qu’elle excuse bidon avez-vous trouvé pour que Hagrid puisse vous faire confiance ! »

« Calme-toi Harry ! Nous allons t’expliquer. » Harry se retourna dès aussitôt pour voir Hagrid à l’embrasure de la porte.

« HAGRID ! Je suis tellement content de vous revoir ! » Dit-il avant d’être entouré des bras puissants du demi géant.

« C’est pas possible ! Stupides gryffondors qui ne peuvent s’empêcher de se cajoler ! » Harry ne releva pas la remarque et préféra passer au vif du sujet. Il avait aussi promit à Ginny de rester calme ce qui était très difficile devant un être qu’il détestait autant.

« Et maintenant je veux mes explications ! »

« Bon très bien Potter » Dit-il d’un ton doucereux. « Comme vous voulez ! Mais je pense que vous montrer sera un choix plus judicieux et que ça vaudra toutes les explications du monde. De tout façon je ne suis pas sur que votre petit cerveau soit apte à comprendre sans ça ! »

« Je ne vous permet pas ! » Dit-il en pointant sa baguette sur son ancien professeur. Il commençait vraiment à se demander si il pourrait tenir sa promesse.

« Ça suffit vous deux ! Harry fais moi confiance si tu ne veux pas le faire à lui ! » Rogue poussa un grognement mais ne rajouta rien.

Il les suivit donc dans la maison, ils montèrent un étage et il les regarda enter dans ce qui lui semblait ressembler à une chambre. Il entra également et remarqua qu’elle semblait confortable et chaleureuse. Tout le contraire de Rogue se dit-il. Il fit le tour de la pièce avant de poser enfin son regard sur le lit. Ce qu’il y vit le foudroya sur place.

« Oh par la barbe de Merlin ! » S’exclama-t-il.

« Bonjour Harry. »

……………………………………………………………

Voilà !
Bon je crois que je vais encore avoir des problèmes pour couper à un moment pareil ! Et le pire c’est que ça me fait plaisir. Enfin non, le pire c’est qu’au chapitre prochain ce sera la même chose ! Que voulez-vous c’est tellement agréable ! lol.

Bon maintenant la question que tout le monde doit se poser (et pour laquelle tout le monde doit me détester de couper si vite). Qui peut bien être dans le lit ? (D’un autre côté, je suis sur que la majorité d’entre vous ont déjà trouvés !)
 
 
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