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au 31 Mai 21 :
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Union
Par gets35
Harry Potter  -  Romance/Action/Aventure  -  fr
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    Chapitre 45     Les chapitres     18 Reviews    
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Je m’en vais serein
Je m’en vais serein



« Je croyais qu’il devait mourir si il ne vous tuait pas ? Et il ne vous a pas tué puisque vous êtes toujours vivant ! »

« Oui mais il va le faire. »

« QUOI ! »

« Oui Harry, le professeur Rogue va me tuer demain ! »



« Non c’est pas possible c’est une blague. » Commença à paniquer le jeune homme en secouant continuellement la tête de gauche à droite.

« De tout façon je suis condamné. Tu te souviens de ce que je t’ai dis pour ma brûlure à la main ? » Harry acquiesça. « Et bien cette maladie incurable provient d’un poison que j’ai dans mon organisme et rien ne peux l’arrêter. Le professeur Rogue m’a aidé à tenir plus longtemps que prévu grâce à ces merveilleux dons en potion. Il repousse juste le moment ultime un peu plus longtemps ! »

« Mais alors si de tout façon vous allez mourir, pourquoi me faire venir ici ? Vous voulez me voir encore plus souffrir ? »

« Je sais que ce n’est pas évident pour toi. Tu crois me voir mourir puis au bout de plusieurs mois je réapparais pour te dire que je vais mourir demain. Jamais je ne t’aurais fait subir toutes ces épreuves si je n’avais pas été obligé. »

« Comment ça obligé ? Je ne comprends pas. » Dit-il déboussolé.

« Ne t’inquiètes pas Harry. Je vais tout t’expliquer. » Il baissa la tête quelques secondes semblant chercher le meilleur moyen d’expliquer la situation au gryffondor. « J’ai découvert un sortilège enfin je devrais dire plutôt une incantation qui te permettra d’acquérir ma magie. » Harry le regarda interrogatif ne comprenant vraiment pas ce qu’il voulait dire par acquérir sa magie. « C’est simple Harry, tu vas utiliser ma magie pour devenir plus fort et ainsi tuer Voldemort. »

« Mais c’est impossible de faire ça ! » S’exclama le jeune gryffondor.

« C’est vrai que ce n’est pas un sortilège très utilisé et surtout très connu. Je crois que la dernière fois où il fut utilisé, doit être il y a plus de mille ans. Ce procédé est très peu connu car difficile à faire. Il faut avant tout un maître dans l’art des potions pour bien concocter le « ciblacor ». C’est une potion qui permet de concentrer toute la magie dans une seule partie du corps. Cela prend beaucoup de temps car la magie est faite pour prendre possession de chaque parcelle du corps et varie en fonction de la puissance du sorcier. Ensuite la personne qui donne ses pouvoirs, devra prendre cette potion tous les jours à la même heure pendant six mois. Une fois que la potion a bien fait effet, il suffit que la personne qui donne sa magie ainsi que la personne qui la reçoit récitent l’incantation. »

« Mais ce n’est pas dangereux d’avoir trop de magie en soit ? Ça ne risque pas de me détruire ? »

« Si bien sur que ça pourrait te détruire si tu la gardais trop longtemps en toi. Mais ne t’inquiètes pas car dès que tu auras tué Voldemort, elle se libérera de toi. En attendant, il faudra que tu fasses attention de ne pas te laisser posséder par un trop plein d’énergie. Mais je te fais confiance, tu n’as jamais voulu aller du côté du mal et seul quelqu’un de malveillant prendrait la grosse tête et l’utiliserait à des fins personnels. Tu es quelqu’un de droit et tu y arriveras. En plus, le professeur Rogue a promit de t’entraîner régulièrement afin de contrôler toute cette puissance. Et ne t’inquiètes pas, tout ce passera bien cette fois, il a promit de faire des efforts vis à vis de toi. De plus, Hagrid sera présent pour vérifier que le professeur Rogue tienne sa promesse de ne pas être trop dur. » Reprit Dumbledore devant le regard horrifié de Harry.

« Mais alors pourquoi devoir vous tuer ? Rogue arrive à vous soigner et il est possible de vivre sans sa magie et puis peut-être pourrez vous la récupérer si je tue Voldemort ! »

Dumbledore sourit devant l’air déterminé d’Harry à vouloir le garder en vie. Il l’avait toujours beaucoup aimé et non pas seulement parce qu’il était Harry Potter et qu’il avait eu une jeunesse plutôt difficile. Il aimait sa fougue, sa détermination, sa fidélité envers ses amis et même envers lui malgré tout ce qu’il avait pu lui cacher. Il adorait également son courage, son tempérament emporté et impulsif. En fait, quand il voyait Harry, il avait l’impression de se voir lui au même age. Bien sur maintenant, il était plus posé et calme qu’avant mais il fallait dire qu’il avait vieillit et les épreuves de la vie lui l’avaient changé.

« Et bien il y a deux raisons au fait que je veux et je vais mourir demain. La première est que le professeur doit absolument me tuer pour rester en vie à cause du serment inviolable qu’il a fait avec Narcissa Malefoy. Et la deuxième raison est que les potions du professeur Rogue pour me garder en vie ne font presque plus effet. Et puis me dire que j’ai contribué à amener la paix me ravie. » Dit-il avec un sourire malicieux. « Maintenant, si tu voulais bien aller chercher le professeur Rogue car j’ai à lui parler. Ensuite je me reposerais un petit peu et tu pourras venir cette après-midi me dire où tu en ais avec les horcruxes. »

Harry comprit à ce moment là qu’il pourrait dire n’importe quoi, le professeur Dumbledore avait de tout façon, déjà prit sa décision. Il resta quelques minutes sans rien dire à graver les traits de cette personne qu’il admirait et respectait plus que tout. Sur un dernier sourire réconfortant de son mentor, il quitta la chambre pour le laisser se reposer et rejoignit ses deux anciens professeurs dans la cuisine. Il indiqua à Severus que Dumbledore le demandait. Ensuite, il aida Hagrid à préparer le repas et mettre le couvert. Une fois Severus redescendu, ils mangèrent tous les trois dans un silence absolu. Harry était trop bouleversé et perdu dans ses pensées pour participer à une conversation. Tandis que Severus et Hagrid ne avaient préféré laisser Harry digérer tout ce qu’il venait d’apprendre.

Dans l’après-midi, Harry se retrouva de nouveau en face son ancien directeur mais cette fois-ci Severus et Hagrid restèrent avec lui. Albus avait l’air d’aller un peu mieux. Il avait reprit quelques couleurs et semblait moins fatigué. Sans doute grâce à la fameuse potion de Rogue se dit Harry. Cependant, il ressemblait quand même à un homme qui arrivait au bout de sa vie.

Ils passèrent le reste de l’après-midi à parler des horcruxes pour savoir où en était rendu Harry. Celui-ci bien que réticent au départ à en parler devant Severus, du se résigner. De tout façon, il en avait bien parlé aux membres de l’ordre et Severus était un des membres, même si sa position actuelle restait délicate. Il leur expliqua qu’ils les avaient tous détruits sauf l’amulette de Kaïla. Il leur révéla comment grâce à la mère de Neville et ce que lui avait dit Drago, ils en avaient déduit qu’il s’agissait certainement du dernier horcruxe. Ensuite il raconta la fameuse journée où Hermione avait trouvé dans un de ces livres la solution pour détruire l’amulette.

« Je vois que miss-je-sais-tout n’a pas changé ! » Rajouta sarcastiquement Severus.

« Peut-être oui mais sans elle, nous en serions toujours à chercher le dernier horcruxe ! » S’énerva Harry.

« Décidemment mis Granger est vraiment très douée ! Je pense que vous avez eu raison en supposant que c’était le dernier horcruxe. Je connais bien Tom et il aura voulu quelque chose de quasiment impossible à détruire pour que personne ne puisse le tuer définitivement. Cependant il a toujours oublié un élément important dans ces projets. Et cet élément c’est toi Harry. Il t’a toujours trop prit à la légère
et c’est qui lui a coûté treize ans de sa vie et s’est également ce qui le conduira à sa perte. »

Severus acquiesça aux paroles pour la plus grande surprise de Harry. Il leur parla de cette fameuse amulette que Voldemort possédait et ne laissait jamais personne poser les yeux dessus. Lui-même n’avait jamais pu la voir véritablement mais il fallait admettre que tout concordait. De plus, personne ne voyait ce qu’avait pu être le dernier horcruxe. Ils passèrent le reste le l’après-midi à parler de tout et de rien. Dumbledore posant plein de questions à Harry sur la vie de Poudlard et sur les professeurs qu’il avait tant aimé. Severus resta en retrait. Harry cru au départ que c’était parce qu’il ne s’intéressait pas à tous ces bavardages mais il s’aperçu très vite que son ancien professeur semblait songeur. Comme-ci il réfléchissait sur quelque chose d’important. Harry finit par se dire qu’apprêt tout c’était normal, le lendemain il devrait tuer de ses propres mains le seul homme qui l’avait toujours respecté et qui lui avait donné toute sa confiance. Il réalisa à ce moment là, que tout ça ne devait pas être facile pour l’ancien mangemort. Pour la première fois, il ressentit de la compassion pour lui.

En fin de journée, ils laissèrent Dumbledore se reposer. Ils dînèrent dans le même silence que le midi et allèrent vite se coucher. Harry ne dormit pas beaucoup cette nuit là. Il était tourmenté par tout ce qu’il venait d’apprendre en une journée. Toutes ces défenses venaient de tomber. Il était perdu mais le lendemain matin quand il se leva, il se dit qu’il serait fort et qu’il ne craquerait pas devant le professeur Dumbledore.

Il ne vit pas le sorcier de toute la matinée et se douta de la raison. Chacun leur tour, Hagrid et Severus était entrés dans la chambre pendant un long moment. Hagrid en était ressortit en larme. Mais ce qui bouleversa encore plus Harry ce fut de voir Severus ressortir les yeux rougis. Après le repas, ce fut à son tour de rendre une dernière fois visite à son ancien directeur. Lorsqu’il entra dans la chambre, il constata que l’homme paraissait serein et heureux. Il lui fit un sourire et se rapprocha pour s’asseoir sur le bord du lit comme venait de lui indiquer le malade.

« J’ai été vraiment fier de faire ta connaissance Harry. »

« Moi aussi professeur. »

« Tu sais tu peux m’appeler Albus maintenant. Après tout je ne suis plus ton professeur depuis l’année dernière. » Harry sourit à cette remarque quelque peu étrange mais acquiesça tout de même.

« J’aurais tellement voulu faire autrement ! »

« Je sais Harry mais ne t’inquiètes pas, je m’en vais serein. Je sais que tu y arriveras. Tu n’as plus besoin de moi. J’ai vécu une longue et belle vie, j'ai fais de magnifiques rencontres comme la tienne, celle de tes parents, le professeur Rogue, Hagrid, la jeune Hermione Granger, toute la famille Weasley, les maraudeurs, les membres de l’ordre du phénix, sans oublier monsieur Malefoy et monsieur Zabini qui m’ont beaucoup surpris et encore bien d’autres que tu ne connais pas forcément. Je pars heureux ! »

Ils restèrent pendant de longues minutes à se regarder avec un maximum de respect. Harry qui s’était pourtant promit de rester fort avait les yeux pleins de larmes mais il ne craqua pas. Pas une seule larme ne coulerait le long de sa joue, il se l’était promit. Il voulait garder en mémoire un visage heureux et il voulait également que Albus en face de même avec lui.

« Tu veux bien aller chercher Hagrid et Severus Harry ? Il va être temps. » Ce dernier acquiesça et commença à se diriger vers la porte, il se retourna et se précipita dans le bras du vieil homme.

« Je vous ai toujours considéré comme mon grand-père Albus et je vous aime très fort. » Albus le serra dans ses bras.

« Et j’aurais été très honoré d’avoir un petit fils comme toi Harry. Moi aussi je t’aime beaucoup. » Sur ces dernières paroles, il se redressa et quitta la pièce le cœur plus léger.

Lorsqu’ils revinrent tous les trois, ils savaient que c’était la fin. Severus donna la dernière potion à Dumbledore. Il demanda à Harry de se rapprocher. Il savait ce qu’il devait faire, il l’avait lui-même répété avec Severus le matin même pendant que Hagrid faisait ses adieux. Il se plaça au bord du lit et prit la main d’Albus dans la sienne qui commença aussitôt à réciter sa partie d’incantation.

« J’en appelle au pouvoirs Mystiques,
Pour extraire mon énergie magique,
Pour lui la transmettre,
Et libérer chaque être,
Lorsqu’il aura accomplit sa destinée,
L’énergie lui sera retirée. »

Une sphère de couleur bleu foncé, aussi grosse qu’un melon sortit de la poitrine d’Albus. Ce fut au tour d’Harry de réciter sa formule.

« J’en appelle aux pouvoirs Mystiques,
Pour extraire son énergie magique,
Pour me la transmettre,
Et libérer chaque être,
Lorsque j’aurai accompli ma destinée,
L’énergie me sera retirée. »

Aussitôt la sphère se plongea dans le corps d’Harry qui faillit en tomber à la renverse. Dès aussitôt, il ressentit une drôle de sensation. Une sensation de bien-être et de puissance.

« Comment te sens-tu Harry ? » lui demanda doucement Hagrid.

« Bien. Vraiment bien. Je me sens fort. » Dit-il encore stupéfait de la force qu’il ressentait en lui.

« Et vous Albus ? » Questionna Severus.

« Un peu vide mais bien Severus. » Il se tue quelques instant avant de reprendre. « N’oubliez pas tous les trois que je suis fier de vous et que de tout façon je veillerais quand même sur vous. » Personne ne répondit. Hagrid était en larme, Severus restait de marbre mais on pouvait y lire toute les tristesse ressentie dans ses yeux. Harry, lui ne pleurait pas comme il se l’était promit mais il savait qui en faudrait peu pour que ses barrières s’effondrent.

« Embrassez mes parents et Sirius pour moi Albus. » Lui dit-il.

« Je n’y manquerais pas Harry. »

Puis il soutint le regard de Severus pour lui faire comprendre qu’il était temps. Ce dernier comprit et douloureusement il leva sa baguette sur le corps d’Albus Dumbledore et prononça ces trois mots qui restèrent à jamais gravé dans leur mémoire.

« Avada Kedrava ! »

Le rayon vert fusa droit vers le corps du malade et celui-ci ferma tranquillement les yeux, un sourire aux lèvres. Harry se dit qu’à ce moment que même dans la mort cet homme garderait toujours son air malicieux donnant l’apparence qu’il savait quelque chose que vous ignorez totalement.

Harry caressa une dernière fois la joue de son mentor en murmurant un merci à peine audible et quitta la pièce en laissant une unique larme couler.

Pendant le reste de l’après-midi, Hagrid et Severus expliquèrent à Harry que le corps de Dumbledore transplanera de lui-même dans son cercueil pour remplacer le corps qui y était avant lui. Il avait fait le nécessaire pour que cela arrive. C’était également un sortilège très ancien mais Albus, même étant malade avait plus d’un tour dans son sac. De plus, il voulait absolument reposer auprès de son école et des ses élèves.

Severus lui expliqua tout de même qu’il aurait sûrement du mal au début à maîtriser cette nouvelle magie et qu’il devrait venir toutes les semaines, le samedi matin à la même heure avec la même clé comme portoloin. Il lui donna également plusieurs lettres signées de la main de Dumbledore. Harry comprit qu’elles étaient pour les membres de l’Ordre. Au moment de partir, Severus le retint quelques minutes de plus.

« Une minute Potter. Tenez ! » Harry regarda alors la main de son ancien professeur et il y vit une bague en argent. C’était un anneau assez large avec au milieu un serpent émeraude qui faisait le tour. C’était magnifique et Harry l’adorait déjà. Par contre il se demandait bien pourquoi son professeur lui offrait une bague. Il reçut très vite la réponse à son interrogation. « Ne vous faites pas d’idées Potter. Ceci est une bague pas comme les autres. Je veux que le jour où vous retrouverez en face de Voldemort vous l’activiez. »

« Et comment l’active-t-on ? »

« Et bien c’est simple, il vous suffira d’embrasser la tête du serpent ! » Harry fut étonné, il ne s’attendait pas à ce genre de réponse. « Ne faites pas cette là Potter ça ne vous va pas du tout ! »

« Ça ne fait pas un peu trop serpentard pour moi ? » Demanda-t-il en voulant provoquer volontairement Severus.

« Ça je m’en contrefiche ! Je veux juste que vous fassiez ce que je vous dis ! Et ne me demandez pas pourquoi car vous le saurez en temps voulut ! »

Harry ne posa pas plus de question car il savait que de tout façon il n’aurait pas plus de réponse. Il entra dans la cheminée et regarda une dernière fois Hagrid avec ses yeux rougit. Et prononça ‘Trois balais’ avant de disparaître. Il atterrit encore une fois à genoux dans la cheminée des ‘Trois balais’. Cependant personne ne fit attention à lui et il en fut heureux. De tout façon on ne pouvait pas trop le reconnaître car il portait une longue robe de sorcier noire et avait mit sa capuche.

 ‘Personne n’a besoin de savoir que le survivant n’est pas au château.’ Lui avait rétorqué Severus lorsqu’il lui avait donné la cape.

Il reconnu assez vite Remus et se dirigea vers lui. Celui-ci fut d’abord étonné de voir Harry dans cette tenue mais ne posa pas plus de question. Ils sortirent assez rapidement et se retrouvèrent à marcher tranquillement vers le château. Remus vit très vite que quelque chose clochait.

« Je sais que tu ne veux rien nous dire de ce que tu as été faire mais on dirait que tu ne vas pas bien ! Qu’y a-t-il ? Il s’est passé quelque chose de grave ? »

Là s’en fut trop pour Harry, toutes les barrières qu’il s’était efforcé de garder pendant la journée tombèrent en même temps. Il craqua et s’effondra par terre en sanglot. Remus se précipita dès aussitôt vers lui et lui demanda se qu’il se passait mais la seule chose qu’il pu entendre des pleurent de Harry était une litanie continuelle.

« Il es mort, ils s’est sacrifié pour nous tous, il est vraiment mort cette fois,…. »

« Mais qui est mort Harry ? Qui ? » S’inquiéta Remus.

Harry ne répondit pas dès aussitôt tellement il était plongé dans sa douleur. Cependant quand, il prononça le nom d’Albus Dumbledore Remus ne comprit pas. N’était-il pas sensé être mort il y a presque un an ?

……………………………………………………………

Voilà !
Et bien je dois vous dire que c’est plus dur que je ne le pensais de tuer un personnage. Le pire c’est qu’il n’était pas très présent dans ma fiction ! J’imagine ce que se sera si je tue un personnage plus important ! (Et oui, une guerre sans mort n’est pas vraiment possible !)
 
 
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